Elizabeth Wurtzel/5
15 notes
Résumé :
Elizabeth Wurtzel ne veut ni mourir ni vivre, mais le problème, c'est qu'il n'y a rien entre les deux. Sauf le pire, c'est-à-dire la dépression clinique. Brillante et pleine de promesses à l'âge de dix ans, elle s'inflige l'année suivante sa première overdose médicamenteuse en camp de vacances et, dès douze ans, se taillade régulièrement les mollets à coups de lame de rasoir.
Étudiante, puis journaliste, elle accumule crises et tentatives de suicide, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Prozac nation est un drôle de bouquin. Il est à resituer dans le contexte de son époque et le fait que la prise en charge des pathologies psychiatriques a évolué. Néanmoins, il reste un instantané saisissant d'une petite fille jusqu'à l'âge adulte, qui souffre d'une pathologie psychiatrique et pour laquelle, les structures et la pharmacopée de l'époque était assez restreinte et c'est rien de le dire. L'apparition du Prozac fut une béquille chimique qui a aidé l'auteur à aller mieux ou moins mal.
L'auteur nous conte son parcours, celui de sa mère qui l'a accompagné malgré les difficultés, ses propres contradictions, celui de son père, absent et vain, son histoire familiale. J'espère qu'elle va mieux maintenant dans une Amérique dont le système de santé est bien pire que le nôtre. L'accompagnement psychiatrique reste le parent pauvre de la médecine avec tous ses a-priori et ses tâtonnements. Je reste surprise de la couverture qui semble indiquer que toute l'Amérique est sous Prozac alors qu'il s'agit ici surtout d'une histoire individuelle, complexe. J'ai bien fait de passer outre cette couverture.
L'auteur nous conte son parcours, celui de sa mère qui l'a accompagné malgré les difficultés, ses propres contradictions, celui de son père, absent et vain, son histoire familiale. J'espère qu'elle va mieux maintenant dans une Amérique dont le système de santé est bien pire que le nôtre. L'accompagnement psychiatrique reste le parent pauvre de la médecine avec tous ses a-priori et ses tâtonnements. Je reste surprise de la couverture qui semble indiquer que toute l'Amérique est sous Prozac alors qu'il s'agit ici surtout d'une histoire individuelle, complexe. J'ai bien fait de passer outre cette couverture.
Citations et extraits (5)
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He says something about how when i'm on lithium i seem to be fine. Like that make it all okay. I start crying hard
I was not frightened in the least bit at the through that i might live because i was certain, quite certain, that i was already dead.
I dream that i am in terrible trouble, completely paralyzed, and no one believes me. In m'y waking life, i am almost this tired.
One morning you wake up afraid you are going to live.
As if i were an insect that was squashed onto the bottom of someone's shoe.
Video de Elizabeth Wurtzel (1)
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Prozac Nation, un film américano-allemand réalisé en 2001 par Erik Skjoldbjærg, avec Christina Ricci, Jessica Lange, Jason Biggs, Michelle Williams et Anne Heche dans les rôles principaux. Le scénario est basé sur l' autobiographie de la journaliste américaine Elizabeth Wurtzel. Bande-annonce.
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