Un essai historique qui laisse un peu sur sa faim. Ce personnage de Schulmeister se révèle au final bien plus un simple "flic" qu'un James Bond des temps napoléoniens. L'auteur a tendance à le mêler à toutes les zones d'ombre de la période et à lui faire tirer toutes les ficelles sans apporter de preuves toujours convaincantes.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.