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Punisher Max tome 1 sur 5
EAN : 9782809418866
120 pages
Panini France (11/05/2011)
4.3/5   10 notes
Résumé :

Wilson Fisk est l’homme de main du mafieux Don Rigoletto, mais il a des ambitions bien plus grandes. Il va donc utiliser le Punisher pour parvenir à ses fins et devenir le Caïd. Saura-t-il assouvir sa soif de pouvoir sans faire exploser la bombe à retardement qu’est Frank Castle ? Voici une nouvelle série qui s’annonce prometteuse !

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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Le Punisher , tout le monde connait ! Non ? Ça commence mal . Pour la faire courte , il est un personnage de comics facilement identifiable grâce à la tête de mort blanche floquée sur sa panoplie de justicier irréductible . Aucun super pouvoir à déclarer . le bonhomme ne compte que sur sa force brute et l'entraînement spécial qu'il a reçu de l'armée . Son credo , la mort systématique de tous ses opposants dans la violence la plus absolue . Ni pardon , ni pitié d'aucune sorte à attendre de ce joyeux luron cynique et brutal qui a fait de la pègre sa cible privilégiée . Tout super-héros possède son pendant antinomique . Spider-Man et le Bouffon Vert , les 4 Fantastiques et le Dr Fatalis , Iron Man et le Mandarin , Céline Dion et Classe Girl , bref , deux faces d'une même médaille se tirant la bourre sans jamais prendre le dessus , continuité de franchise oblige...
Le Punisher , lui , devra déployer des trésors d'ingéniosité et de bestialité pour espérer supprimer le Caïd .
Voici son histoire .

Le Caïd , sa vie , son oeuvre en quelques cent planches , pari relevé et atteint dans sa globalité .
Le style comics ne surprendra personne . Un graphisme épuré , des couleurs qui vous pètent à la tronche – plus pratique pour apprécier à leur juste valeur les seaux d'hémoglobine généreusement offerts- , un scénario que l'on sent aussi travaillé que ses personnages , le récit se lit tout seul et fait montre d'un intérêt croissant quant à la genèse de ce super méchant tout plein qui se sera brillamment construit à coups de manipulation bien sentis .
Le canevas est retors à souhait et justifie pleinement que l'on se penche sur le Caïd en évitant toutefois de lui taper dans l'oeil . Car même si le personnage semble équilibré et épanoui au sein de sa famille , il n'hésitera pas une seule seconde au sacrifice ultime pour arriver à ses fins !
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Après un passage à vide et l'arrêt de la série, le Punisher version MAX revient. Garth Ennis ne s'en occupe plus mais c'est l'actuel chouchou de chez Marvel, Jason Aaron, qui hérite du bébé avec le dessinateur historique, Steve Dillon.
Un récit plus sombre avec moins d'humour et tout autant de violence qui voit un Punisher revisité car hors-continuité. On y découvre l'ascension du Caïd et une grand-mère de choc: Mama Cesare qui nous rappelle l'oeuvre de Garth Ennis

Steve Dillon s'amuse toujours autant à faire dans le gore et y brille comme à son habitude. Mon regret principal est l'absence d'onomatopées lors des bagarres car le style de Dillon y est très statique. L'immersion est donc parfois plus difficile. Comme il s'agit visiblement d'un choix artistique, malgré un regret tout personnel, je me dois de dire que sa narration reste efficace voire plus. Il permet de donner une autre dimension au Punisher, plus percutante et épurée pour laisser place à la simplicité de sa cruauté.

Mais dans l'ensemble, c'est réellement un coup de coeur. Une série vraiment inspirée par un duo de choc.
A lire (et à ne pas mettre entre les mains de jeunes enfants!)
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Après l'incontournable run de Garth Ennis sur la série « Punisher (Max) » et quelques tomes à rallonge signés Gregg « Foolkiller » Hurwitz (plutôt décevant), Duane Swierczynski (assez moyen) et Victor Gischler (pas mal), c'est donc une nouvelle ère qui commence pour le Punisher : une toute nouvelle série régulière, baptisée « PunisherMax » (en un mot), scénarisée par Jason Aaron et illustrée par Steve Dillon.

Dans ce tome qui contient les cinq premiers épisodes de la série, Jason Aaron (Scalped) reprend tous les ingrédients qui ont fait le succès du Punisher d'Ennis. On retrouve donc l'esprit violent et gore de la collection MAX et un héros qui se contente de faire ce qu'il fait de mieux : tuer des truands ! La recette est donc connue et fonctionne à merveille : des vilains qui valent le détour (même si la présentation du Mennonite n'est pas des plus maîtrisée), une ambiance mafieuse sans pitié, un humour bien sombre et des scènes ultra-violente particulièrement gores.

La nouveauté de cette saga est qu'elle recycle quelques vilains très connus de l'univers Marvel, sans respecter la fameuse continuité. Ce premier arc intitulé le Caïd revisite ainsi les origines d'un Wilson Fisk qui n'est qu'au début de sa carrière alors que le Punisher roule déjà sa bosse depuis plusieurs années. Cette version MAX du Caïd n'est finalement pas trop éloignée de la version connue et je suis curieux de voir ce que les auteurs vont faire de Bullseye, le suivant sur la liste.

Visuellement, Steve Dillon est à la hauteur de ce qu'il a déjà propose en compagnie d'Ennis sur la saga Punisher ou sur l'incontournable Preacher. Les avis sont souvent partagés concernant son dessin, mais personnellement j'aime assez bien ce dessin bien gore à l'humour choquant.

Retrouvez ce comics dans MON TOP 2011 !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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critiques presse (1)
Un gros coup de cœur pour ce premier récit rebaptisé Punisher Max ! Tout est béton, on reste scotché de la première à la dernière page par cette histoire façon roman noir.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees

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