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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
1940- 1941, l'Angleterre, après l'appel du 18 juin, tente d'organiser la résistance, en France, on écoute radio Londres, François, du haut de ses 14 ans, est à l'écoute et se montre motivé pour essayer d'agir avec Lisa et Eusèbe. Parfois maladroitement, manquant de discrétion, apprenant à ses dépens. Il sera malgré tout obligé de solliciter l'aide de son père. Adoptant un nom de guerre, son père va l'aider sans savoir que c'est son fils qui lui donne des instructions.

Ce tome 2 aborde la question des anglais qui arrivent sur le territoire et l'aide que leur fourniront les résistants, ainsi que la question des tirailleurs sénégalais traqués par les Allemands et tente d'expliquer la politique raciale des nazis, sujet qui sera plus explicite à la fin de l'ouvrage qui, comme le premier tome, comporte un exposé détaillant les sujets abordés dans la bande dessinée.

On notera l'aspect « fermé » des groupes de résistants bien mis en évidence dans le récit, chaque groupe ignorant parfois l'identité voire l'existence des autres.

Je maintiens mon opinion avec le deuxième tome, de cette bande dessinée très lisible, très complète et passionnante.

Je ne suis hélas pas en possession des autres volumes, mais je compte bien y remédier ! J'imagine bien que les volumes suivant seront terrifiants, ils mettront en action des résistants qui s'exposent, aucun doute, mais aussi des collaborateurs qui commencent à s'exprimer dans ce tome 2. J'ai bien hâte de lire la suite. Merci aux auteurs pour ce travail !
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
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Dans ce deuxième opus, nous retrouvons notre bande de joyeux drilles François, Eusèbe, Lisa et les autres résistants vivant une époque pas très heureuse.
Ils sont plus que jamais déterminés à combattre les nazis occupant le « charmant » village de Pontain L'église.

La croix gammée figure au premier plan de la première planche, symbole de l'ennemi à abattre. La croix contraste avec les vignettes montrant le beau décor, toujours paisible et bucolique dans lequel évoluent les protagonistes de l'histoire mais très vite apparaissent des planches aux couleurs beaucoup plus sombres des bombardements, des luttes, des choses que l'on doit cacher. le bien et le mal s'incarnent dans ces images.

La guerre s'étend au monde entier, les français se divisent et se battent entre eux, ailleurs. Les partisans de De Gaulle et les pétainistes se font eux-mêmes la guerre.

Dans ce deuxième épisode l'action résistante s'amplifie dans le village, jeunes, adultes associations s'unissent pour protéger et faire passer les évadés en zone libre mais malheureusement ces actions seront suivies de dommages collatéraux et la fin de la BD est bien triste sans pour cela soulever un pathos à outrance, le petit François est bien courageux face à son malheur.

Cet épisode se concentre donc sur l'organisation nécessaire de la Résistance face aux répressions que subissent tous ceux que les nazies souhaitent détruire ; les soldats français, les soldats sénégalais aussi car comme les juifs, les maghrébins, tous les autres soldats faits prisonniers qui sont tous la cible de la politique raciale du IIIe Reich, Ils doivent rejoindre la zone libre puis leur pays.

Cette BD constitue un témoignage instructif sur la période de l'automne 1940 à l'hiver 1941 ; la répression nazie et la bataille d'Angleterre qui fait rage et qui signe les premières défaites du côté allemand.

Le dossier figurant en fin de BD éclaire de manière simple et pertinente l'épisode que nous venons de lire, d'autres épisodes sont à venir.

Je renouvelle la recommandation de la lecture de cette série de BD sur la Résistance et la deuxième guerre mondiale.

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1940.
Dans le petit coin tranquille (autrefois) où habitent Eusèbe, François et Lisa, les Allemands passent de plus en plus souvent. Allemands, pas du tout contents d'avoir vu le canal qu'ils utilisent pour transporter toutes sortes de ravitaillement, être bouché. Ils crient au sabotage ! Heureusement, le maire a une bonne explication à leur fournir…

Nos trois jeunes apprentis-résistants ont décidé de créer un réseau… Et d'entrer en contact avec ce général, réfugié en Angleterre et qui incite les Français, via les ondes de la BBC, à poursuivre le combat.

23 :00. Chez l'instituteur.
Un homme, malgré le couvre-feu, frappe à la porte ! … Surprise ! C'est un soldat français échappé d'un camp de prisonniers. Et il est probable que d'autres vont suivre le même chemin…


Critique :

Français, Françaises. Au risque de vous faire beaucoup de peine, et croyez que je le regrette sincèrement car je vous aime bien, NON, ce n'est pas de la littérature française ! le scénariste et le dessinateur sont tous les deux BELGES ! Et à moins que vous ne les ayez nationalisés, comme des entreprises, voire naturalisés, ou que la France ait envahi la Belgique et l'ait administrativement collée à la République, ils produisent de la littérature BELGE. Oui, je sais, cela se passe en France et je suis le premier à le regretter, mais commercialement parlant, avec presque soixante-sept millions d'habitants, c'est plus intéressant de rappeler le souvenir du maréchal Pétain, que celui du roi Léopold III pour faire plaisir à quatre millions et demi de francophones belges. Leur roi Léopold III dont la captivité n'empêcha pas le mariage avec Liliane Baels, ce qui allait provoquer ce qu'en Belgique on appelle « La Question royale » qui se terminera par l'abdication du roi Léopold III le 16 juillet 1951… Mais je m'égare…

Dans cet album, nous découvrons comment commencent à s'organiser les premiers réseaux de résistance… Et les premiers résistants arrêtés, torturés et exécutés… On y découvre également comment des filières se mettent en place pour permettre à des militaires évadés de passer en zone libre, certains rejoignant les Forces françaises libres, emportant parfois avec eux de précieux renseignements. le rôle de la BBC est évoqué, de même que la Bataille d'Angleterre. le sort que les nazis réservent aux soldats français d'origine africaine montre que certains prisonniers de guerre étaient clairement plus maltraités que d'autres, voire carrément assassinés.

Et comme à chaque fois, à la fin du livre, on trouve des documents authentiques qui illustrent les propos du scénario. Dessins magnifiques et couleurs splendides de Ers, scénario riche et documenté de Dugomier, que faut-il de plus pour que le petit peuple de la BD manifeste toute sa joie ?
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Je viens de me plonger dans Premières répressions tome deux de la série Les Enfants de la Résistance de Vincent Dugomier et Benoît Ers.
Grâce à l'impact de leurs actions, François, Eusèbe et Lisa ne sont plus les seuls à se rebeller contre l'occupant allemand ; des adultes entrent aussi à présent en résistance, notamment le maire, le curé et les parents d'Eusèbe et François.
Tout en gardant leur anonymat, les jeunes résistants font à nouveau preuve d'un culot extraordinaire en faisant le lien entre adultes pour organiser un système de passage de prisonniers français évadés vers la zone libre.
En parallèle, les Allemands renforcent leur surveillance et n'hésitent pas à recourir à la violence voire au meurtre.
Dans une France de plus en plus divisée, de petits grains de sable isolés parviendront-ils à enrayer la machine nazie ?
Premières répressions est un second tome passionnant, avec des jeunes héros absolument incroyables !
Ils vont réussir à mobiliser les adultes contre les allemands. Les enfants ont un nom d'emprunt, le Lynx, et c'est grâce à cela qu'ils vont réussir à faire faire aux adultes des choses surprenantes, comme permettre à des prisonniers français de s'évader en zone libre ! C'est complètement fou.
François, Eusèbe et Lisa sont trois enfants formidables qui refusent de laisser faire les allemands. Pour eux, il est inconcevable de laisser l'envahisseur être tranquilles dans leur village.
Ils vont se mettre en danger, tout comme les adultes qui résisteront eux aussi.
Ce second tome est captivant, l'histoire est très bien ficelé et les personnages très intéressants.
La fin est triste, mais laisse présager un troisième tome tout aussi captivant.
Ma note : un gros cinq étoiles.
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De nombreuses critiques ont déjà été faites sur ce second opus des enfants de la résistance et d'une manière générale,tout le monde est d'accord sur la qualité de cette bande dessinée. A noter les documents présents à la fin du livre, très riches et qui permettent de mieux comprendre l'histoire .
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2ème opus de la série. On retrouve les 3 enfants de plus en plus engagés dans la Résistance, ce qui n'est pas sans conséquences dramatiques.

Dans ce tome, est traité le problème des prisonniers évadés, qu'ils soient français ou sénégalais, qu'il fallait faire passer en zone libre.

On comprend très bien comment s'organisaient petit à petit les réseaux de Résistance même si le rôle des enfants ici est bien entendu surréaliste.
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Comme mentionné pour le premier tome, c'est un vrai plaisir de découvrir des BD, normalement destinées à des enfants.

Dans ce tome, j'ai découvert qu'une partie de l'Alsace Lorraine a été interdite de retour aux réfugiés étant partis pendant l'exode de 1940 pour laisser la place aux seules populations allemandes. Je ne le savais pas.
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Deuxième tome de cette série.

A la radio la BBC donne des nouvelles et l'envie de combattre les envahisseurs. Lisa va devenir la cousine de François grâce à de faux papiers. Un soldat Français évadé d'un camp Allemand va se réfugier dans le petit village et François, Eusèbe et Lisa vont encore intervenir sous la signature du Lynx pour aider les résistants à les évacuer du village.
Malheureusement, dans la BD comme dans L Histoire, il y a ceux qui se sont fait prendre et qui l'ont payé de leur vie.
Il y a également les Français, de tous les âges, qui ont choisi le camp de Pétain contre De Gaulle et les résistants.

Là encore, en fin de BD, quelques articles qui retracent les faits réels de l'époque. Affiches, camps, résistants, prisonniers et pays étant neutres ou en guerre.

Cette BD très bien faite me plait beaucoup et je vais donc continuer avec le troisième tome bientôt.
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Excellente bande déssinée. le petit coin de France rurale avec son petit côté nostalgique contraste fortement avec la gravité des évènements décrits. Dans ce second tome toujours aussi bien réalisé tant du point de vue du graphisme que du scénario, les tois enfants entreprennent de cinstituer un résau en contactant des adultes de manière discrète. Il y a ceux qui s'engagent avec résolution et ceux un peu contraints de suivre. le réseau commence par des actions d'exfiltration de prisonniers vers la zone libre ou l'Angleterre. Excellente idée des auteurs que celle d'aborder aussi le sort des combattants d'outre mer venus sauver la Franc et qui se sont retrouvés emprisonnés dans des conditions extrêmement dures voire abattus sans autre forme de procès. Cette bande déssinée ne fait pas dans le monde des busounours (comme en atteste le drame de la fin), mais elle reste toujours digne et on peut la mettre entre les mains des plus jeunes. Bon dossier documentaire en fin d'album.
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Ce second tome est dans la lignée du premier mais avec beaucoup plus d'action et surtout d'émotion. L' ambiance y est plus sombre puisque le nazisme et sa violence sont montés d'un cran. La résistance quand à elle fait ses premiers pas et ses balbutiements vont avoir de graves conséquences. Les enfants sont toujours aussi déterminés à jouer des tours aux soldats allemands tout en restant invisibles aux yeux des adultes. Mais ces actes de bravoures ne seront pas sans conséquences et leur innocence risque d'en payer le prix.
Cette bd est toujours aussi addictive. On s'attache aux enfants et les dessins sont assez percutants sans pour autant tombés dans une violence malsaine.
On retrouve également toujours en fin d'ouvrage ce cahier documentaire richement illustré et à la portée de tous que j'avais apprécié dans le premier tome qui relate L Histoire avec un vocabulaire adaptés aux jeunes lecteurs tout comme aux adultes.
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