Il faut reconnaître à Auguste Franco (alias
Anthony Feek) un certain talent mais uniquement pour tenir les 260 pages du roman avec un argument aussi simple.
Si il a réussi à construire une certaine atmosphère autour de ses deux protagonistes principaux qui n'est pas inintéressante, le roman s'effondre à sa fin.
Le dénouement banal que l'on subodorait se produit bien faisant totalement fi de toute vraisemblance. Un fiasco qui nous fait regretter d'avoir tenu jusque là.
On doit dans la même collection Fleuve noir à Auguste Franco le roman «
La mantille espagnole »