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sur 133 notes
Une lecture qui sort de mes habitudes. Un roman policier considérer comme jeunesse par la maison d'édition qui permet de faire connaître le genre a de jeunes lecteurs. L'histoire bien que classique reste facile à lire et à comprendre. Loin d'être un roman nous plongeant dans le macabre à outrance, nous sommes ici avec un meurtre, celui d'une jeune femme dans les années 1900, quelques scènes explicites sur le meurtre en lui-même donc à faire lire à un public jeunesse mature, mais rien de choquant dans son ensemble.

Ce roman nous plonge dans une enquête qui se déroule de nos jours, sur un meurtre vieux de plusieurs dizaines d'années. La double temporalité, même si très peu utilisé (et cela est bien dommage), est le point fort de ce roman. L'ambiance mystique rend la lecture intéressante malgré une intrigue cousue de fil blanc qui s'avère facile à comprendre et doter d'une chute qui de mon côté était loin de me surprendre (j'avais d'ailleurs compris dès le début qui était le tueur). C'est donc un final sans surprise , mais une intrigue que j'ai tout de même pris plaisir à suivre grâce à la plume de l'auteure.

Ce roman reste très classique dans le genre, sans prise de risque avec une intrigue simple, mais qui reste efficace. Les personnages sont intéressants, sans être marquant. L'attachement de mon côté ne s'est pas fait. J'ai suivi leurs péripéties sans m'y plonger corps et âmes. J'en ressors donc ni conquise, ni déçus. C'est un petit polar sympathique qui sera, je le pense vite oublié de mon côté.
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Tout d'abord, un grand merci à Bayard éditions et à Babelio pour la découverte de ce roman !

Début XXe siècle. Marie Legay est une jeune femme, danseuse à l'opéra, pose aussi en tant que modèle pour Odilon Voret, un artiste exigeant et très effrayant. Elle se fera assassiner violemment à la fin d'une séance. Par qui ? Pourquoi ?C'est le grand mystère.
XXIe siècle. Antonin et Elizabeth, étudiants en art, tombe en fascination devant un tableau au musée d'Orsay : le coeur déchiré, d'Odilon Voret. Stupéfait, il se rend compte que Flavie, élève posant pour la classe de dessin, porte sur elle les mêmes cicatrices que sur le tableau. A t'elle un lien avec la jeune femme tuée sur le tableau ? Et Marie Legay, qui est-elle dans tout ça ?

J'ai eu le bonheur de lire ce livre de Malika Ferdjoukh, auteur prolifique de la littérature jeunesse, qui est très bien écrit. Il y a beaucoup de références à la pop culture tout au long du texte, parfois un peu cachées, et c'est sans doute une des choses que j'ai le plus apprécié.

L'histoire en elle-même est bien construite et jusqu'à la fin on a des doutes sur qui est le meurtrier de Marie Legay. Même si on est peu surpris (les candidats au meurtre étaient peu nombreux), j'avoue que le petit twist de fin a fini de me contenter.

Le petit côté fantastique de l'histoire m'a toutefois un peu perturbé. Ce livre est un mélange de roman dans lequel Antonin, Flavie et Elizabeth enquêtent sur ce tableau et l'horrible meurtre qui l'a inspiré. Ajouter du fantastique est presque trop, même si cela amène une aura encore plus sombre au tableau le Coeur déchiré.

Moi qui n'aime pas trop les histoires de meurtre et d'enquête en général, j'ai donc passé un agréable moment en compagnie de ces personnages un peu loufoques, apprécié l'histoire et la touche d'humour de l'auteur.
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J'ai reçu ce roman dans le cadre d'une opération Masse Critique et je remercie encore une fois Babelio ainsi que Bayard pour l'envoi de ce roman. Je dois avouer que je ne connaissais pas du tout l'auteure mais j'avais très envie de la découvrir avec ce roman. le résumé était intriguant et j'avais plutôt hâte de le découvrir. On part, au premier abord, sur une policier jeunesse. Mais au fur et à mesure que l'on avance dans notre lecture on se rend compte qu'il y a en plus de ça une petite part de fantastique qui apporte un côté très sympa à l'histoire.

Dans ce roman, on va être sur deux temporalités. On a d'abord une petite partie du roman qui va se dérouler durant l'hiver 1910. Tous les jeudis, la jeune danseuse Marie quitte l'Opéra de Paris et va poser pour le peintre Odilon Voret. Ce peintre elle le surnomme l'ogre. C'est un homme, grand, sombre, terrifiant et qui peint au couteau. Mais ce jeudi là le destin de Marie bascule dans l'effroi. La deuxième temporalité se trouve dans le présent. On va suivre Antonin et Elisabeth, deux étudiants en art, observent avec stupeur la jeune fille qui sert de modèle à leur cours. Flavie, porte au niveau du coeur semblables à cinq coups de couteau. Quelques jours plus tard, Antonin découvre avec fascination un tableau signé Odilon Voret. le tableau s'intitule le coeur déchiré. Il représente une jeune fille assassinée de cinq coups de couteau.. Au même endroit que la cicatrice de Flavie..

Je découvre l'auteure avec ce roman. J'ai beaucoup aimé sa plume. Elle est très agréable à lire. On a le côté jeunesse sans pour autant que ce soit trop jeunesse. C'est un roman qui se lit relativement vite et on ne voit pas les pages défiler. C'est très addictif, on est vraiment embarqué dans cette histoire assez particulière. On veut savoir ce qu'il s'est vraiment passé. On se prête carrément au jeu! C'était vraiment une lecture très sympa et j'ai vraiment beaucoup aimé cette intrigue avec son côté policier mêlé avec une pointe de fantastique.

J'ai beaucoup aimé les différents personnages que l'on côtoie. J'ai adoré l'énergie que dégage Elisabeth, c'est une jeune femme pétillante et pleine de vie, j'ai vraiment beaucoup aimé son personnage. J'ai adoré la suivre. Au début , elle essaye d'attirer l'attention de Antonin. On voit bien qu'elle a le béguin pour lui et elle fait tout pour pouvoir passer du temps avec lui. Quant à lui, il est si préoccupé par ce qui lui arrive qu'au début il ne le remarque même pas. Il est plus concentré sur le personnage de Flavie. Tous les trois se lancent dans cette enquête pour savoir pourquoi Flavie a les mêmes cicatrices que sur ce tableau. Surtout qu'elle fait partie de la lignée Voret. Je regrette tout de même un gros manque de profondeur autant sur les personnages que sur l'intrigue en elle même. Alors je sais bien que c'est un roman jeunesse mais j'ai trouvé parfois que tout était trop simple. Tout se réalisait bien trop facilement à mon goût. Et puis malgré l'étrangeté de la situation par moment, j'ai trouvé que les réactions des personnages manquaient de réalisme. Ils leur arrivent des choses étranges mais on dirait qu'ils n'ont pas vraiment de réactions.

En résumé, ce roman jeunesse est très intéressant malgré quelques petites choses qui m'ont « dérangées ». Enfin dérangée c'est un bien grand mot. Ce sont juste des détails qui m'ont légèrement chiffonnée. L'histoire a vraiment ce petit côté passionnant et addictif. J'avais vraiment hâte de savoir le secret de ce tableau mystérieux. Bon, on ne va pas se mentir, c'est tout de même assez prévisible. Mais étant donné que c'est un roman jeunesse ça peut se comprendre. Ce n'est pas une lecture qui m'a marqué mais ça reste une lecture assez sympa à lire.
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Babelio m'a proposé de lire Portrait au couteau de Malika Ferdjoukh. J'ai évidemment accepté après avoir lu le résumé et découvert qu'il s'agissait d'un roman ado écrit par une autrice que j'avais envie de découvrir. Malika Ferdoukh a en effet écrit Quatre soeurs et Broadway Limited qui me tentent pas mal. A défaut, Portrait au couteau allait me permettre de faire connaissance avec la plume de l'autrice, ce qui me semblait être un bon début.

Ce roman commence en 1910. Marie Legay, jeune danseuse à l'Opéra de Paris est modèle pour le peintre Odilon Voret. Elle ne l'aime pas vraiment, le surnomme l'Ogre, mais ce travail lui offre un salaire plutôt correct, alors elle passe des heures à prendre la pose, sans bouger, parfois dans le froid de l'atelier. Un vendeur de marrons qui l'aime beaucoup s'arrange pour être souvent sur son chemin pour la croiser et discuter un peu. C'est vrai que Marie Legay est gentille et très jolie avec son grain de beauté au dessus des lèvres. Un soir, alors qu'elle sort de l'atelier d'Odilon Voret, Marie est assassinée, on la poignarde à cinq reprises. Odilon Voret, qui n'a jusqu'alors pas réussi à percer dans le monde de l'art va connaître un succès fulgurant avec son portrait de Marie gisant dans une mare de sang, immortalisée alors qu'elle pousse un cri silencieux.

Une centaine d'années plus tard, un jeune modèle, Flavie, pose pour des étudiants en école d'arts. Elle a cinq cicatrices au niveau du coeur. Antonin, sous le charme de la jolie danseuse (comme par hasard) fait le rapprochement entre Flavie et le tableau d'Odilon Voret. Ensemble, Flavie et Antonin vont tenter de résoudre le mystère qui relie Flavie à Marie. Ils vont pour cela recevoir une aide surprenante…

J'ai été assez surprise qu'il y ait une pointe de fantastique dans Portrait au couteau, moi qui m'attendais à une enquête plus classique à base de recherches d'archives et d'allers-retours entre passé et présent. J'avoue ne pas être une grande fan de l'utilisation d'artifices du genre que je considère un peu comme une grosse flemme de la part des auteurs. « Comment je vais pouvoir expliquer la fin et que ça colle avec l'intrigue… Et si j'ajoutais un revenant, un passeur d'âme ou un truc du genre ? Génial, pas besoin de chercher un vrai truc qui colle, c'est parfait ! Je vais aller boire une petite bière pour fêter ça. »

J'exagère un peu, je me doute, mais bref, tout ça pour dire que vraiment, je n'aime pas ça, je me sens trahie. Dans Portrait au couteau, bon, j'avoue que ça passe, puisqu'un objet va servir de lien entre les deux périodes et permettre à Marie de communiquer avec Antonin. Enfin, communiquer est un bien grand mot. Je ne sais pas si vous avez déjà joué à Mysterium, mais c'est un peu le même principe. Un fantôme essaie de communiquer avec les enquêteurs afin qu'ils découvrent son meurtrier, mais sans parler et avec l'aide d'illustrations aussi poétiques qu'incompréhensibles. Et bien là, avec Marie, c'est un peu pareil…

Portrait au couteau est un roman agréable à lire en tout cas. Pas un coup de coeur, mais quand même sympa. Mon petit bémol concerne cette pointe de fantastique que j'ai moyennement appréciée, même si je comprend son intérêt dans l'histoire. Je suis contente d'avoir découvert Malika Ferdjoukh en tout cas et je gare en tête les livres d'elle que j'ai bien envie de lire. Un jour. Quand ma Pile à lire ne ressemblera plus à une cloison de ma maison, lorsque j'empile tous mes romans en souffrance… A ajouter sur ma wish list de livres que je n'aurai sans doute pas l'occasion de lire. #frustration #déception
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Dans le Paris des artistes, quelque part entre l'atelier Kolodine, l'opéra Garnier, Montmartre et le musée d'Orsay, deux histoires s'entremêlent. En 1910, celle de Marie Legay, danseuse et modèle pour le peintre Odilon Voret alias "l'ogre", et de nos jours, celle d'Antonin et Elisabeth, étudiants en arts intrigués par leur modèle du cours d'anatomie... Flavie, une jeune femme au coeur marqué par 5 cicatrices de coups de couteau, qui n'est autre que l'arrière-arrière-arrière-petite-fille du fameux peintre.

Sur fond de cartes postales parisiennes et de répliques cinglantes, une enquête prend forme. D'analyse ADN en séances de spiritisme, de dépouillement d'archives en reconstitution de scène de crime, Antonin, Flavie et Elisabeth mettent tout en oeuvre pour tenter d'identifier l'assassin de Marie Legay, avec l'aide subtile de l'intéressée ! L'âme de la jeune danseuse trouvera-t-elle enfin la paix ? Flavie sera-t-elle libérée du lourd secret qui pèse sur sa famille ? Et surtout, Antonin ouvrira-t-il les yeux sur les jolies taches de rousseur d'Elisabeth ?

Voilà une aventure bien troussée qui, malgré un côté légèrement gore, pourra sans doute plaire aux plus jeunes parmi le public ado ici visé. Ecrit dans une langue aussi précise que les coups de pinceaux des personnages, il se laisse dévorer comme un rien. On se prend au jeu consistant à réunir les différentes pièces du puzzle (même si c'est un peu trop facile parfois), on sourit devant la répartie enlevée des personages, et on frissonne sous l'effet d'une pointe de fantastique. La ville de Paris est presque un protagoniste à part entière, à travers les époques, de la colline du Télégraphe aux rives de la Seine.

Je remercie Masse Critique et Bayard pour ce plaisant moment de lecture !
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On se laisse toujours emporter par les romans de Malika Ferdjoukh, et encore une fois, on est séduit par cette intrigue policière admirablement construite et haletante. L'autrice a su adapter son style et a savamment adapté la richesse de son vocabulaire à chacune des deux époques, sans oublier que le roman est parsemé de nombreuses références culturelles et littéraires. Je me suis beaucoup attachée aux différents personnages et j'ai trouvé savoureux d'établir un lien entre eux, même si un peu plus d'un siècle les séparent. Tout est soigné, habile et recherché, tout en étant nimbé de mystères. L'enquête du capitaine Labonne, quant à elle, trouvera enfin son aboutissement de nos jours. le visuel n'est pas très engageant, mais c'est un excellent roman jeunesse qui se lit d'une traite et qu'on ne referme qu'une fois terminé. A lire d'urgence, quel que soit notre âge. Très réussi, parfaitement abouti.
Lien : https://cafenoiretpolarsgour..
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J'avais hâte de livre le nouveau roman de Malika Ferdjoukh, et la couverture attisait ce sentiment. Je n'ai finalement pas été emportée par ce roman de genre historico-policier-fantastique qui ne décolle jamais vraiment. J'ai trouvé qu'il y avait des longueurs, je me suis plutôt ennuyée, et aie trouvé le dénouement prévisible. Dommage, car l'ambiance du Paris des années 1900 avec son cortège de peintres et de danseuses poseuses était bien établi. le basculement dans la dimension paranormale couplée d'une enquête sans grand relief ne m'a pas fait m'ancrer dans le roman.
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Paris 1910. Marie Legay, une jeune danseuse de l'Opéra de Paris sert de modèle au peintre Odilon Voret. Un jour, son corps est retrouvé inerte. Elle a été tuée de plusieurs coups de couteau et tout accuse le peintre. Pourtant, ce n'est pas si simple...

Un siècle plus tard, deux élèves des Beaux-Arts sont troublés par Flavie, un des modèles qui pose durant leur cours de dessin. Cette dernière porte les stigmates de plusieurs coups de couteau et le trouble des jeunes gens s'amplifie encore lors d'une visite au Musée d'Orsay, où ils découvrent un tableau du peintre Odilon Voret montrant une jeune fille assassinée de 5 coups de couteau.

Y-a-t-il un lien entre Flavie et la danseuse assassinée ?

Dans ce roman policier pour adolescents, il est beaucoup question de peinture, de processus créatif, de recherche artistique. S'il est bien écrit - on peut faire totalement confiance à Malika Ferdjoukh- ce roman pêche hélas par son manque cruel de suspens, sa platitude.

En grande fan de Malika Ferdjoukh, j'attendais peut-être trop de ce roman policier qui change de l'univers habituel de l'auteure. Un roman sans surprise, une intrigue à peine cachée et au final une lecture décevante pour moi.

À peine lu et déjà oublié...Dommage !
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Un roman destiné à la jeunesse, mais qui fourmille de belles références culturelles et cela fait plaisir. Merci à Babelio et aux Editions Bayard de m'avoir permis de le découvrir.
Personnellement, j'ai tout de suite pensé au "Portrait de Dorian Gray", pour le pouvoir d'un tableau sur le destin d'un individu car dans le portrait qui peint qui ? le peintre ou celui qui est peint ? Que ressent-on lorsque votre portrait reste jeune et que vous vieillissez ou mourrez et qu'il reste éternellement le même ?
L'histoire se déroule en 2 temps : l'une commence par le meurtre d'une danseuse de l'opéra juste après une séance de pose pour un peintre en 1910, l'autre se passe de nos jours et termine l'enquête inachevée du capitaine de gendarmerie Labonne et de son chien, Chopin.
L'écriture enlevée est fluide et se lit avec entrain. Il y a un peu de possession/obsession dans ce roman. Je me demande si l'auteur connaît le peintre Walter Sickert dont les peintures semblent anodines, mais laissent toujours un arrière goût d'inquiétude dans la gorge.
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Tous les jeudis, Marie, jeune danseuse, va poser pour le peintre Odilon Voret. Cet homme, qu'elle surnomme « l'Ogre », la terrifie, mais elle a besoin des 7 francs qu'il lui donne chaque semaine. Ce jeudi là pourtant, Marie a comme un mauvais pressentiment…
100 ans plus tard, à notre époque, Antonin, étudiant en art, découvre avec stupeur une toile signée Odilon Voret, qui représente une jeune fille assassinée de cinq coups de couteau. le problème ? La veille, la modèle qui a posé pour eux en cours avait des cicatrices exactement de la même forme et au même endroit que la jeune fille du tableau. Hasard ou coïncidence, ce sera le début d'une enquête qui emmènera nos personnages plus loin qu'ils ne le pensaient
Malika Ferdjoukh est une valeur sûre quant on veut passer un bon moment de lecture ! Donc je partais plutôt avec un bon état d'esprit en ouvrant ce roman. Mes attentes n'ont pas été déçues. L'intrigue est bien menée, et le suspens est conservé car on arrive à avoir des doutes sur plusieurs personnages alors que le début aurait pu désigner de suite un coupable. Là, l'autrice arrive à nous faire naviguer plusieurs fois entre différents meurtriers potentiels si bien qu'on finit par se demander si on a bien lu le début ! Les éléments paranormaux disséminés dans l'intrigue renforcent l'ambiance noire et mystérieuse du roman sans basculer totalement dans une histoire de fantômes.
En résumé, une enquête avec juste ce qu'il faut de sang, de peur et de secrets, dès 13 ans !
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