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sur 365 notes
Ayant lu L'amie prodigieuse d'Elena Ferrante et l'ayant beaucoup apprécié, c'est L'amour harcelant, son premier roman, publié en France en 1995 et réédité l'an dernier, que j'ai décidé de découvrir.
Dans la première phrase, très laconique, la narratrice, Delia, nous fait part de la mort de sa mère, Amalia (63 ans), par noyade. Elle a été retrouvée, portant sur elle, seulement un soutien-gorge neuf, griffé, acquis dans une coûteuse boutique napolitaine, ses boucles d'oreilles, sa bague de fiançailles et son alliance. Delia donc, la quarantaine, va tenter de résoudre l'énigme de cette mort.
Ce roman est en quelque sorte le récit d'une fille qui part à la recherche de sa mère. C'est alors que des souvenirs enfouis remontent, souvenirs d'enfance où son père, son oncle Filippo et l'ami et associé de son père, Caserta et son fils Antonio, jouent un rôle important.
La ville de Naples est également un élément essentiel ; elle est plus qu'un décor urbain où se déroule le fil de l'existence des personnages : elle est vivante, grouillante de cris et d'odeurs. Est également très présent le dialecte ou plutôt la langue napolitaine qui lui est hostile car liée à la violence paternelle. C'est un terrible règlement de compte entre mère et fille.
En fait, en tentant de mieux comprendre sa mère, en menant l'enquête sur sa mort, c'est sa propre vérité que Delia recherche et finira par trouver : elle n'a existé que par sa mère.
C'est un récit bouleversant jusqu'au malaise qu'Elena Ferrante nous livre. Ses mots heurtent et dérangent. Elle arrive de façon magistrale à nous faire ressentir les sentiments contradictoires que Delia éprouve pour sa mère, sentiments qui sont un mélange de fascination, d'amour et de haine, un rapport mère-fille tortueux, douloureux, passionnel.
L'amour harcelant est un livre un peu difficile à lire car on ne sait jamais si on est dans la réalité, dans la folie, dans les faux-semblants, où l'atmosphère est lourde, pesante, sombre, beaucoup moins lumineuse que dans L'amie prodigieuse et pourtant, par bien des points, il annonce déjà ce dernier.
C'est plutôt après coup que j'en ai apprécié l'écriture.



Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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A Naples, la narratrice Delia se rend aux obsèques de sa mère, retrouvée noyée dans la mer. le père, séparé de sa femme depuis des décennies après une relation violente marquée par la jalousie, ne s'est pas déplacé. En revanche, resurgit un vieil ami de la morte, l'étrange Caserta, qui avait tant marqué Delia enfant et son père, convaincus qu'une relation coupable liait cet homme à la sensuelle Amalia.


Alors que Delia se lance sur les traces de sa mère pour comprendre sa mort, les souvenirs affluent au point de mêler passé et présent en d'étonnantes superpositions : son retour sur les lieux de son enfance fait ainsi remonter à la surface des images profondément enfouies qui viennent lui faire revivre son enfance dans les années soixante, cette fois du point de vue de sa mère tel qu'elle parvient à l'imaginer, elle qui, désormais parvenue au même âge, lui ressemble tant.


Le pivot de cette anamorphose entre deux époques et deux personnages est la ville de Naples, qui imprègne les pages d'une ambiance trouble et délétère, inquiétante au final, au travers de quartiers populaires toujours sous la pluie, où résonnent les accents du dialecte local, et où une femme semble ne pouvoir faire un pas sans se faire harceler.


Une sensation de malaise m'a accompagnée tout au long de ma lecture, cette atmosphère méphitique enveloppant des personnages globalement assez minables et peu sympathiques, tous obsédés par la perversité supposée d'une femme, objet de tous les fantasmes et donc de tous les soupçons, et pourtant la seule à être restée finalement au-dessus de la mêlée des rivalités et des sentiments sordides.


Si j'ai admiré l'habileté de construction du récit et la capacité de l'auteur à restituer avec véracité la trouble complexité des personnages, j'ai trouvé cette histoire d'amour-haine pesante et déprimante, voire profondément glauque et dérangeante tant tout y est malsain. On ne se remet pas si facilement de tant de réalisme cru, où tout n'est que violence à l'encontre des femmes.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Le premier roman d'Elena Ferrante, et, pour moi, le dernier que j'aie lu d'elle.

Une curiosité donc , comme celle de découvrir les fondations secrètes d'un édifice admiré - et un sujet déjà largement approfondi dans tous ses autres récits: le tortueux , douloureux et passionnel rapport mère-fille.

En lisant en VO le titre , l'Amore molesto, l'amour importun, - et non l'amour harcelant comme le veut le titre français- je me suis figurée que Ferrante allait nous livrer le "modèle" initial - et à proprement parler, la "matrice" - d'Immacolata, la terrible mère de Lenù dans L'amie Géniale... le début et le résumé semblaient confirmer cette hypothèse : Amalia, la mère de Délia, la narratrice, diffère son arrivée chez sa fille qui l'attend pour fêter son anniversaire, par des coups de téléphone successifs et inquiétants, jusqu'à ce qu'on retrouve son corps, noyé sur une petite plage où la famille allait souvent en villégiature, uniquement vêtue d'un soutien-gorge de luxe en dentelles et de tous ses bijoux. Aucune trace de violence, la mort semble avoir été volontaire. Terrible cadeau d'anniversaire pour sa fille : le suicide de sa mère.

Mais Délia, célibataire , auteur de bandes dessinées , la quarantaine, ne semble pas outre mesure bouleversée, et se lance dans une enquête qui la mène sur les lieux et devant les témoins de son enfance.

Nouvelle hypothèse de lecture: la mort de la mère n'est qu'un prétexte pour la remettre sur la trace douloureuse de sa propre enfance entre un père, peintre raté de chromos pour touristes, et sa mère, gantière puis couturière, jolie et travailleuse inlassable. Très vite le couple se sépare: le mari, jaloux maladif, est brutal et bat sa femme. Son pourvoyeur de tableaux, un certain Caserta, devient l'ami -ou l'amant- de cette femme au rire trop gai, aux cheveux trop bouclés et trop longs.

Cet amore molesto serait non celui d'une mère pour sa fille, mais celui d'un mari qui après vingt ans de séparation est toujours dans les affres de la jalousie et harcèle sa femme à distance jusqu'à la rendre folle, la pousser au suicide?

Pas seulement: le sens du titre se complète progressivement et l'intrigue "policière" devient de plus en plus intérieure: c'est dans les fantasmes de son enfance que Delia, aidée par la redécouverte des lieux - une fabrique de glaces, une chambre, un funiculaire, un tram, une boutique de sous-vêtements, une plage...- reconstitue le puzzle de sa vérité intérieure, dissipe les mensonges d'une sexualité enfantine troublée et pervertie, et trouve, peut-être, au milieu du champ immense des interprétations possibles, une réponse au désarroi et au message final de sa mère, comme un ultime cadeau qui la délivrerait et lui permettrait d'être enfin ce qu'elle veut être.

Ce premier roman de Ferrante contient déjà tous les autres, avec cet incroyable "parler cru" qui est le sien, cette façon directe et dépourvue de façons d'entrer dans le vif, dans la chair, jusqu'au malaise, s'il le faut. Naples est déjà beaucoup plus qu'un décor: grouillant de vie, de cris, d'odeurs agréables ou infectes, de silhouettes ridicules, ambiguës ou franchement inquiétantes.

Délia est une narratrice encore un peu effacée, qui n'a pas la densité des narratrices futures de Ferrante, mais le beau personnage d'Amalia, avec ses robes bleues, ses boucles en accroche-coeur, son rire ravageur, et sa Singer infatigable est un personnage attachant, mystérieux, plein d'ombres et de lumières, vu, comme il l'est, à travers le souvenir fasciné et effrayé de sa fille, à la fois si solaire , si forte, et pourtant si fragile, si menacée..

Elle annonce un peu le personnage tour à tour ambigu et éclatant de Lila...

Ma curiosité n'a pas été déçue, mais peut-être faut-il pour apprécier pleinement cette lecture,avoir lu d'abord , comme je l'ai fait, un peu par hasard, j'avoue, les autres romans de Ferrante, dont ce premier roman est la promesse..
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Drôle d'impression après la lecture de ce livre. Je me demande vraiment qui est Elena Ferrante et ce qu'elle a vécu car on sent dans ce livre, des éléments durs que l'on retrouvera des « les amies prodigieuses ». Ainsi la peur de l'abandon, les rapports difficiles avec la mère , la langue officielle et le dialecte.
Ici dans « l'amour harcelant », Delia, à la suite de la mort de sa mère que l'on retrouve noyée, fait une enquête pour comprendre cette mort qui semble bien mystérieuse. On se retrouve là aussi à Naples , dans une Naples sombre, pauvre et glauque.
C'est un livre que je trouve violent psychologiquement, même l'écriture est violente, crue. Je n'ai pas toujours compris ce que l'auteur a voulu dire et en tout cas, je ne suis pas sûre que tous les détails crus aient été utiles.
Je suis sans doute passée à côté du véritable message mais je dois avouer que ce livre est intrigant et qu'il m'a déstabilisée. Tout y est malsain.
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Premier roman d'Elena Ferrante, L'amour harcelant n'a pas l'ampleur de la saga qui l'a fait connaitre en France. N'empêche qu'il ne m'a pas fallu beaucoup de pages pour que je sois scotchée par sa plume.
Delia, le personnage principal, apprend que sa mère Amalia, a été retrouvée morte, noyée. Elle se demande alors ce qu'elle savait réellement sur cette femme avec qui elle a pris ses distances. Elle part à sa rencontre en retournant sur ses traces (les rues de Naples, l'appartement où elle vivait, l'atelier de son père) interrogeant ceux qui l'ont côtoyé.
J'ai aimé revenir dans ce Naples crasseux, bruyant, suranné (un ascenseur avec une banquette à l'intérieur, les vieux trolleys).
J'ai aimé les rêves entremêlés de souvenirs de Delia et cette atmosphère mystérieuse qui plane autour de la vie d'Amalia.
J'ai aimé la puissance des images qu'Elena Ferrante (et son traducteur Jean-Noël Schifano) a fait naître sous mes yeux au fil des pages (la voisine derrière la chaînette, le cinéma en plein air..), cette capacité à suggérer combien le passé peut nous peser et nous tourmenter.
Face à la violence des hommes et en particulier à celle de son père qui ne supportait même pas que sa femme rit, j'ai eu le sentiment que Delia n'a jamais réussi à se définir autrement que par rapport à sa mère mais comment grandir quand on vit avec la crainte permanente des coups qui pleuvent ?
Le terme est fort mais il y a dans l'écriture d'Elena Ferrante quelque chose qui me subjugue et en refermant ce livre, j'ai immédiatement pensé " à quand le prochain ?".
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Sur les 150 premières pages, le livre pourrait s'appeler :

Littéraire :
- Ma mère, cette inconnue
- La vie de ma mère
- La Daronne
- Le vieil homme et ma mère
- Le silence de la mère (morte)
- J'irai cracher sur la tombe de ma mère

Chantant :
- Allo maman bobo
- Maman a tort (de regarder d'autres hommes que papa)
- C'est la mère qui prend l'homme
- La mère qu'on imagine danser
- Maman est en haut, papa la bat[tait]

Caille-ra :
- T'as n!qué ma mère
- Ma mère en slip
- Ma mère la p*te !

Proverbial :
- Telle mère, telle fille

...

A quarante-cinq ans, Delia vient d'enterrer sa mère. Ses sentiments à son égard sont ambivalents. En la perdant, la fille fait le deuil de son enfance et de sa ville natale - une page se tourne. Mais Delia entre aussi dans la vie d'Amalia, sa mère, jusqu'à l'incarner, curieuse, fascinée.

Roman introspectif - autobiographique ou pas, qu'importe - dont le cadre est le même que celui de 'L'amie prodigieuse' : Italie urbaine, âpre ; chaleur, moiteur, odeurs de cuisine, hommes jaloux, violents...

Pas vraiment d'histoire, ou je n'ai pas assez persévéré ? Le fil rouge que je découvre (à part celui des tampons que Delia change régulièrement) ne me plaît pas : une fille adulte sur les traces de la vie sexuelle de sa mère senior. De quoi je me mêle ? Sentiment de malaise identique à celui éprouvé en lisant 'Arrête avec tes mensonges' de Ph. Besson ou 'En nous, beaucoup d'hommes respirent' de Marie-Aude Murail.

PS : je vois qu'il s'agit d'un THRILLER familial. Ça vaut peut-être le coup de lire les 60 dernières pages ?
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Drôle d'impression ce livre: entre deuils , quête ardente , douloureuse , souvenirs qui nous plongent dans le Naples poussiéreux des années 50.

Délia remonte le fil de la vie de sa mère Amalia, retrouvée noyée le 23 mai dans un bras de mer, le jour de l'anniversaire de Délia.

Que s'est - il passé?
Une figure troublante cette génitrice: «  enflée de gifles , de coups de pied , de coups de poing » par son mari violent, fantasque et désInvolte, aspirant à la liberté, sensuelle et sociable, devenant l'amie des amis de sa fille, un mari artiste , séducteur, qu'elle choisit de quitter après vingt ans de vie commune, avec ses filles, choisissant l'amitié du mystérieux Caserta.

Le lecteur surtout s'il a lu tous les tomes de «  L'Amie Prodigieuse » comme moi, a du mal à appréhender la personnalité de Délia, tellement les soubresauts de sa mémoire sont déprimants : scènes glaçantes, parler cru , gestes de répulsion ou d'amour fou, détails sordides, glauques , sans complaisance, injures et vérités dissimulées, un roman filial un peu trouble et brouillon à l'intrigue maintenant le suspense , nostalgie âpre pétrie de pistes et rebondissements ...Délia tarde à se dissocier, à se détacher de sa mère , vraiment , en nous dévoilant à coup de descriptions visuelles et olfactives , ses réflexions, ses rêves d'enfant, ses mensonges, ses traumatismes, ses goûts alimentaires.

Un premier roman sombre, bouleversant , à l'humour grinçant —-amour- haine ——jusqu'au malaise ——jalousie et violence du père , déprimant , pesant et dérangeant , qui étonne par la violence à l'égard des femmes.

Un premier récit dont la clé m'échappe ..
«  Que de choses traversent le temps en se détachant hasardeuse- ment des corps et des voix des personnes .Ma mère connaissait l'art de faire durer les vêtements pour l'éternité » ...
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Comme pour " Poupée volée", je ressors de cette lecture en proie au malaise. Finalement, je m'aperçois que je n'aime pas tellement l'auteure. D'ailleurs, le fait que je me sois arrêtée au premier tome de " L'amie prodigieuse" sans lire les suivants, alors que je l'avais plutôt apprécié , est révélateur... C'est le premier roman de la mystérieuse Elena Ferrante.

Delia, la quarantaine, apprend que sa mère , l'extravagante Amalia, s'est noyée. Suicide? Elle mènera l'enquête, ravivant peu à peu un passé qu'elle voulait oublier, entre jalousie paternelle, mensonges et violences, instants vécus ou rêvés. Les dernières pages aident à comprendre les raisons de cet enfouissement volontaire de l'enfance.

Mais pour y parvenir, que de crudité, d'injures verbales, de détails sordides! Et Naples est présentée comme criarde, bruyante, dans toute sa saleté poussiéreuse, rien de positif n'en émane. Certes, c'est une ville qui évoque des souvenirs désagréables à Delia, mais quand même...

Surtout, les personnages ne provoquent aucune sympathie, même Delia et Amalia, qui sont des femmes complexes et donc a priori intéressantes. Agressifs, brutaux, égoïstes, ils agacent, ne donnent pas envie de s'attarder sur eux.

Je passerai dorénavant mon chemin, je n'ai sans doute pas su entrer dans l'univers particulier de l'auteure, qui a eu pourtant un grand succès avec sa saga. Dommage... mais d'autres livres plus passionnants m'attendent... N'oublions pas: 150 000 ans, ne perdons plus de temps! 😉
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Lecture déroutante, que cet Amour harcelant. Je m'attendais à l'histoire d'une mère envahissante, asphyxiant sa fille de son amour inconditionnel et presque destructeur. Pas vraiment mon genre de romans préféré mais, de temps à autre, je trouve intéressant d'explorer les tréfonds de l'âme humaine (et ses comportements destructeurs). le début correspondait à mes attentes : Delia attend sa mère Amalia ou plutôt appréhende sa venue. À chaque visite, cette dernière essaie quelque peu de régenter sa vie (en fait, elle réarrange sa maison et la questionne sur sa vie amoureuse, comme le font toutes les mères) et ses manifestations d'amour maternel irritent. Mais rien d'aussi intense que ce à quoi je m'attendais. Delia aime sa mère et s'inquiète pour elle.

Et c'est là que l'auteure m'a surpris : très rapidement, Amalia est retrouvée morte dans d'étranges circonstances. Quoi ? Cette vieille dame ne passera pas des centaines de pages à étouffer d'amour sa fille et à l'attaquer à grands coups de conseils bienveillants et exaspérants (et surtout non désirés) ? Bien préparé à ce roman d'Elena Ferrante, j'ai dû réajuster mes intentions de lecture à quelques reprises. Un mystérieux appel et les commérages d'une voisine me laissèrent un instant croire à un roman de suspense avec une quelconque atmosphère glauque. Mais ça semble plutôt déboucher sur une sorte de roman d'enquête (je n'ose employer le terme policier) vaguement humoristique. Disons qu'on est plus dans le rocambolesque que dans l'action. Delia, parfois assistée de son oncle Filipo, fouille dans le passé de sa mère pour trouver des réponses aux questions soulevées par sa mort. Malheureusement, rendu là, j'avais beaucoup perdu l'intérêt.

Un des principaux points positifis du roman, qui m'ont aidé à en terminer la lecture, c'est les personnages féminins forts, riches et complexes, avec une certaines violence intérieures, tout ça loin des stéréotypes. (Ceci dit, comme chez beaucoup d'auteures, c'est au détriment de personnages masculins, souvent faibles…) Elles osent penser à la sexualité, en parler aussi, de ça comme de plein d'autres choses de manière assez crues. Très réaliste.

Au final, L'amour harcelant est une lecture décevante. Je trouve assez curieux que ce roman se retrouve parmi les 1001 livres qu'il faut avoir lus dans sa vie. Il n'est pas sans qualité mais c'est mon opinion que d'autres méritaient cette place… Si on tenait absolument à inclure à cette liste une oeuvre d'Elena Ferrante, j'aurais opté pour L'amie prodigieuse (si le roman était paru avant ladite liste), sinon pour Poupée volée.
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Un roman qui me laisse perplexe. le premier d'Elena Ferrante et heureusement pour moi ce n'est pas le premier que je lis de l'auteure sans ça je serais probablement passée à côté de "l' amie prodigieuse"..
Je me suis ennuyée, j'ai trouvé des longueurs (trop)..pourtant le thème était prometteur mais vraiment je n'ai pas accroché...dommage !
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Elena Ferrante est le pseudonyme de Erri De Luca, le véritable auteur des romans.

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