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3,87

sur 6833 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un fameux flop pour moi … impossible de m'enflammer pour ce chef-d'oeuvre, je suis passée complétement à côté. Et les préface de l'auteur et postfaces (Bernard Frank, JF Revel et Antoine Blondin, quand même) n'y ont rien changé !

Je m'y suis terriblement ennuyée, perdue au milieu de ces personnages vains, hypocrites, pédants, intéressés, racistes, machistes,… Probablement qu'il m'a manqué de la romance ? Ou les personnages ne m'ont-ils pas été suffisamment sympathiques ? Ou ce roman est-il définitivement trop sombre pour me plaire, pour me faire rêver ?

Ou tout simplement peut-être y avais-je mis trop d'attentes ?
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"Gatsby, qui avait toujours les mains dans le poches, était appuyé contre le manteau de la cheminée, dans une pause qui simulait douloureusement un parfait détachement, voire l'ennui".

Gatsby m'a gagné à la nonchalance qu'il affiche. Cet ouvrage m'a terriblement ennuyé. Et m'a laissé pour le coup dans la même indifférence que celle que lui ont réservée les contemporains de sa parution. Dois-je y voir une raison pour laquelle Folio le propose en gratuit pour deux Folio achetés. Les lecteurs de Babelio qui l'ont gratifié de leur satisfecit le démentiront.

Je me suis enlisé dans les conversations oiseuses de cet univers de nantis des années folles. L'écriture est agréable mais elle n'a pas compensé à mes yeux cette atmosphère où il se passe trop peu de chose pour aiguiser l'intérêt et émoustiller les sens.
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Contrairement à l'avis de la majorité je ressors légèrement déçue de la lecture de Gatsby le Magnifique. M'étais-je faite beaucoup d'attentes ? Probablement. J'en ai beaucoup entendue parler et il était considéré pour beaucoup comme un chef-d'oeuvre.
Je trouve que ce roman est ennuyant sur les bords bien que j'ai aimée le style de l'écriture, l'époque et toutes les descriptions. Je n'ai donc malheureusement pas été happée par ce roman qui avait comme réputation d'être un classique.
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J'ai un avis un peu différent de la majorité des critiques, parce que je n'ai pas particulièrement apprécié cette oeuvre. C'est un tableau historique des années folles, d'accord, mais qu'est-ce que c'est vain. Un tiers du livre semble être consacré à la description de fêtes où l'alcool coule à flots – certains sont complétement alcooliques, d'autres passent leur temps à fumer, d'autres se livrent aux jeux du sexe... Mais au final, pourquoi ? Leurs conversations sont vides, ils ne sont pas capables d'aligner des pensées complexes comme ils sont saouls, d'une fois sur l'autre les personnages ne se souviennent pas des autres invités – et nous non plus. C'est une société de la jouissance égoïste et immédiate, sans véritable émotion ni attachement, comme le montrera la fin où aucun de ceux qui profitait de Gatsby ne lui montre son amitié lors d'un moment difficile. Les personnages ne m'ont donc pas intéressé, car ils sont très auto-centrés. le Narrateur n'est qu'un témoin des événements, il raconte ce qu'il voit, sans qu'il approfondisse vraiment ce qu'il pense et ressent lui-même ; son histoire d'amour avec Joane n'en n'est ainsi pas vraiment une.
Je n'ai donc pas lu une histoire d'amour follement romanesque comme certains, comme les adaptations. Sûrement parce que Gatsby aime plus le souvenir de son amour que Daisy elle-même, il ne pense qu'à ses propres sentiments sans penser que Daisy puisse en avoir aussi. Quant à elle, elle apparaît très peu, c'est une figure assez évanescente qui pleure ou se repose sur un canapé en robe blanche. Peut-être que si la narration avait été centrée sur Gatsby, il aurait perdu de son mystère, mais ses motivations plus approfondies, ce qui m'aurait permis de ressentir de l'empathie pour lui.
Finalement, le personnage le plus vivant est celui de Myrtle, décrite comme vulgaire et ridicule, mais qui a au moins, elle, des désirs – contrairement à Daisy qui ne sait pas ce qu'elle veut. Elle apparaît trop rapidement, comme un tourbillon.
Je retiens enfin dans l'écriture la description de la vallée de cendres dominée par une paire de lunettes géante - une publicité, une image assez forte.
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Apparemment, je suis complètement passée à côté de ce roman.

Le style en soit ne m'a pas déplu, mais m'a laissée indifférente. Je n'ai accroché à rien; l'intrigue m'a ennuyée, je n'ai pas trouvé les personnages attachants du tout, je n'ai rien trouvé de magnifique chez Gatsby,... Au début, j'ai éprouvé des difficultés à entrer dans le récit tant les dialogues me semblaient décousus. J'ai même du revenir en arrière à quelques reprises car je perdais totalement le fil.

Bref,... j'aurai donc lu un chef d'oeuvre de la littérature américaine, qui, s'il avait été écrit par un inconnu, ne me serait peut-être pas passé dans les mains. Des déceptions littéraires, ça arrive...on s'en remet très bien!
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« Gatsby le magnifique » est un court roman hommage plutôt mélancolique retraçant la fin d'une période « dorée » de la Cote Est.
Se profile au loin, la Grande dépression puis la Seconde Guerre mondiale…
L'histoire bien que dramatique et bien ficelée ne m'a pas passionné, quant aux personnages, mis à part celui de Gatsby escroc sympathique haut en couleurs, ils apparaissent plus comme des figurants un peu figés dans cette peinture de la jet set new-yorkaise.
Désolé donc de ne pas considérer ce livre comme le chef d'oeuvre tant décrit.
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Je crois que je suis magnifiquement passée à côté du Grand Gatsby !

Pourtant l'histoire est bien construite et le style agréable, le contexte historique attrayant et la chute bien ficelée, quoi que prévisible. Cette plongée au coeur des années folles avait sur le papier tout pour me plaire et malgré tout, je m'y suis profondément ennuyée. C'est une sensation étrange que de n'avoir pas été touchée par un roman alors qu'on s'attendait à être transpercée. Et d'autant plus quand on ne sait pas précisément pourquoi.

Je ne regrette tout de même pas ma lecture, un classique est un classique, et j'aime lire des classiques.
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Ce roman a été une petite déception.
Au premier abord, j'ai eu un peu peur de la lourdeur du style, mais finalement c'est la langueur globale de l'histoire qui me laisse sur la berge. Sans avoir vu aucun des films, je m'attendais à du spectaculaire, de la grandeur, du magnifique, et il s'avère que l'histoire est tout simplement pathétique.

Heureusement que ce livre n'est pas très long, sinon j'aurais eu du mal à le finir ! Mais néanmoins, il se lit, car s'il n'est pas très addictif, il a tout de même quelques points forts.
Tout d'abord, son écriture : l'auteur a un style magnifique, un peu ampoulé par moments, mais qui retranscrit très bien les ambiances et toutes les choses difficiles à exprimer avec des mots (la sonorité d'un rire, l'intensité d'un sourire, l'éclat d'un regard…). Et cela, c'est aussi grâce au narrateur, qui a une vision des autres très particulière, qui se dit passif tout en jouant un rôle, qui raconte l'histoire au fil de son envie.
Par ce biais, l'auteur ébauche un panorama désenchanté d'une époque : dans la moiteur de l'été, six personnes, leur environnement et leur histoire font objet de témoins pour dresser à partir d'eux la bonne société américaine des années 20, avec ce qu'elle comporte d'hypocrisie et d'espoirs.

En bref, si l'histoire en elle-même ne m'a pas emballée, ce roman n'a tout de même pas été une perte de temps et je suis heureuse d'avoir découvert ce classique de la littérature américaine :)
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Publié en 1925, Gatsby le Magnifique est un des romans emblématiques de la littérature du XXième siècle.

L'histoire tourne autour de Gatsby, personnage enigmatique et richissime, qui organise des soirées éblouissantes dans sa très belle maison de Long Island aux Etats-Unis. Nous sommes dans les années 1920, les jeunes gens ont besoin de se distraire après les années de guerre qui ont gâché une partie de leur jeunesse. C'est l'époque du jazz et de la prohibition.

L'histoire nous est contée par Nick Carraway, le jeune voisin de Gatsby et spectateur du drame qui va se jouer. Nick vient de s'installer dans la région, il a trouvé un premier emploi dans la finance, à New-York. Il ne connaît pas grand monde et se rabat sur la compagnie de ses cousins, Daisy et Tom Buchanan. le couple ne parait pas très épanoui. Tom trompe ouvertement Daisy et cette dernière passe son temps avec une amie, à discuter de banalités. le malaise dans le couple n'est pas sans lien avec Gatsby...

Cette histoire pointe du doigt une certaine bourgeoisie, qui vit dans le paraître et la superficialité. Les trois premiers quarts du roman décrivent la vie sans intérêt de personnages peu attachants. Fort heureusement, l'histoire décolle et le dernier quart du roman, beaucoup plus prenant, éclaire la vie et le destin de chacun, notamment celui du fameux Gatsby, qui n'est peut-être pas celui que l'on croit...

Je m'attendais à une oeuvre magistrale, de celles qu'il faut lire absolument sous peine de mourir idiot. J'ai admiré la plume de Fitzgerald, notamment dans la dernière partie, assez éblouissante, mais je me suis un peu ennuyée vers le mileu du roman, je l'avoue.

Un classique que je conseille, bien que mon enthousiasme ne soit pas total.

Lien : http://sylire.over-blog.com/..
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C'est grâce à la sortie prochaine de l'adaptation cinématographique de ce roman que j'ai découvert l'écriture de F. S. Fitzgerald. Je dois avouer que je me suis profondément ennuyée pendant ma lecture. A aucun moment n'ai-je été étonnée, même la fin m'a laissée de marbre.

Mais ne noircissons pas top le tableau : quelques éléments sont à mettre au crédit de l'auteur. le personnage de Gatsby, par exemple, est perpétuellement auréolé de mystère. Entouré de toute cette foule qui ne vient à lui que pour son argent, il se retrouve seul dans les moments importants. Nick, le narrateur, m'a bien plu également, car il ne cherche pas à déformer les évènements, juste à les raconter tel un simple spectateur. Tom m'a profondément agacé, je l'ai détesté pendant tout le roman ! Daisy est quelqu'un d'effacé, d'inconstant, qui ne sait pas faire un choix. Jordan sort du lot et je l'ai beaucoup appréciée. du côté de la narration, on sent parfois comme une critique acerbe et un sarcasme à peine dissimulé de la part de Fitzgerald, ce qui donne des paragraphes savoureux.

Mais je n'ai pas du tout adhéré au scénario, qui est pour moi plat et beaucoup trop descriptif ! J'avoue honnêtement que j'ai passé des paragraphes entiers de descriptions ! Je suis sûre que cette histoire passera mieux sur grand écran, afin de se faire une idée plus précise de cette société américaine des années 1920, qui baigne dans le luxe, l'argent et où les marginaux tels que Gatsby ne sont que des étoiles filantes vouées à disparaître aux premières lueurs du jour.
Lien : http://le-marque-page-de-pop..
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