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3,38

sur 868 notes
Je continue dans ma découverte de l'univers loufoque ou poétique de Foenkinos, grâce à une découverte dans une boîte à livres.

Bernard a mon âge, 50 ans, et perd sa femme, son boulot et quelque peu, ses illusions. C'est raconté avec humour, je commence à bien connaître le style foenkinosien !

Il nous raconte, à la 1ere personne, comment tout cela arrive... jusqu'au retour chez ses parents !

De l'amour, de l'humour, des rencontres, une bonne idée, une écriture agréable, un bon moment de lecture.
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Ce sera mon dernier de David Foenkinos. Chaque fois je me laisse tenter car je vois des bonnes notes pour ses romans chez mes libraires. Chaque fois je suis déçue par le style « cucul » du récit. Cette fois-ci par contre j'ai ris plusieurs fois et je n'ai pas eu l'impression de perdre mon temps, mis à part à la fin de l'histoire, avec une conclusion qui m'a franchement étonnée pour son grand n'importe quoi et son total manque d'intérêt ou d'imagination. On dirait que l'auteur lui-même s'est fatigué de son récit et a demandé à un de ses amis dépourvu de talent d'écrire la fin à sa place… Rien de plus à dire sinon « next! ».
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Bernard a cinquante ans et le ciel lui tombe sur la tête. Sa fille part au Brésil, sa femme le quitte et il perd son emploi. Humiliation suprême, il doit retourner vivre chez ses parents. David Foenkinos signe un court roman assez décalé avec une première partie plutôt réussie.
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L'histoire : quasiment du jour au lendemain, la vie de Bernard va basculer. Son emploi, son mariage, ses amitiés (ou qu'il croyait telles), tout part de travers, et lui dérive avec le courant... A tel point qu'il va devoir se résoudre à des choix radicaux, qui auront des conséquences inattendues.



Mon avis : un livre plutôt sympathique, mais un héros con à baffer. Bon, déjà, s'il va de catastrophe en loi des séries, comme le dit la 4ème de couverture, c'est aussi parce que quand il a un choix à faire, en général, il bondit sur l'option du couard (avec parfois des prétextes). Globalement, notre protagoniste se comporte beaucoup comme un ado attardé en mode geignard. On devine bien que ça n'est pas nécessairement ce qu'avait en tête l'auteur, mais on a si peu d'exemples de certains traits de caractère, qui nous sont juste dits, que bon, difficile d'évaluer le personnage... Pourtant, les rares scènes rapidement décrites sont drôles, surtout une vers la fin. Et faire rire avec un licenciement sec, un divorce non voulu, etc., ça n'était pas gagné d'avance, donc déjà quand même, pour avoir osé la tenter et y avoir en partie réussi, on peut saluer l'audace. Et puis même imparfait, l'ensemble se lit bien. Bref, amusant, sans plus, distrayant sans prétention.
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Les déboires d'un cinquantenaire. Bof ! Ca commence par les lamentations sur héros sur son prénom « Bernard », il n'aime pas, on s'en fout un peu. Puis son boulot de conseiller financier dans une banque qui dérape. Faut dire qu'il semble facile à déboulonner ce Bernard qui accepte tout sans se rebeller. Avec un boss un peu pervers narcissique centré sur le pognon et sans état d'âme l'affaire se conclue au bout quelques dizaines de pages. le tableau se complète avec sa femme qui se lasse d'un mari aux abonnés absent et qui va finalement voir ailleurs. Elle a bien raison. Sans logis (parce que décidemment il ne réclame rien) Bernard va devoir se faire héberger par des parents, caricaturaux eux-aussi, pauvres vieux rigides et plein de froideur. Bref c'est à l'avenant et c'est irritant de lire la succession d'échec d'un type qui n'a pas vraiment l'air de vouloir en sortir. Aucune leçon à tirer.
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Avec Foenkinos, je passe toujours de délicieux moments. Si La tête de l'emploi me laisse une impression de déjà-vu, il n'en demeure pas moins que l'auteur m'arrache chaque fois des éclats de fou rire en soi suffisants pour conquérir mon âme de lectrice. En effet, certains thèmes qui lui sont chers reviennent de manière récurrente. À l'origine, la toile de fond des cinq romans de l'auteur que j'ai eu l'occasion de lire relève d'une enfance qui a laissé ses traces de douleur, à laquelle s'ajoute l'échec amoureux, la remise en question, la reconstruction de l'âme et les souvenirs. Mais ce qui le différencie de beaucoup d'auteurs est sa capacité à traiter des sujets les plus douloureux avec un humour marqué d'ironie et de sarcasmes. On ne ressort jamais de ses romans accablés d'émotions pénibles. Au contraire, aussi douloureux les thèmes soient-ils, on en ressort avec le sourire aux lèvres. Et j'aime cette légèreté…

Bernard a 50 ans lorsqu'il perd son emploi de banquier. Il est humilié et maltraité, sa femme le quitte, ses amis l'abandonnent et il retourne vivre chez ses parents qui l'accueillent à contre coeur et le traitent comme un adolescent immature. En bon pessimiste, il se croit voué à un destin d'homme misérable, demeure passif, léthargique et rongé par l'incertitude : « J'avais la tête d'un homme enfermé à tout jamais dans le mois de février ». Dès les premières pages du roman, Bernard attribue la succession de ses échecs au prénom que lui a attribué ses parents : « Avec le temps, j'ai saisi la dimension sournoise de mon prénom ; il contient la possibilité du précipice. Comment dire? En somme, je ne trouve pas que ce soit un prénom gagnant. Sans cette identité qui est la mienne, j'ai toujours ressenti le compte à rebours de l'échec ».

Ce roman met l'accent sur l'importance d'agir face à ses difficultés. Dans l'impasse, on est forcé de faire demi-tour et de se remettre en question. L'auteur pose également un regard avisé sur la profession de banquier et ne manque pas dans la foulée de parler de Madoff. Je termine donc ce court roman avec le sourire aux lèvres…

Allez, je sais que c'est hors contexte, mais j'ai tellement envie de vous laisser sur un dernier extrait. Bernard parle des débuts de sa relation amoureuse avec Nathalie, alors que cette dernière étudiait en psychologie (tiens, ça me rappelle quelque chose…): "Elle semblait déçue que je ne sois pas plus compliqué que ça. Notre début d'histoire amoureuse ne lui servait pas à grand-chose pour ses études. Alors je me suis mis à devenir bipolaire. Pour devenir un cas intéressant à ses yeux, et donc passer plus de temps auprès d'elle, j'ai développé toutes sortes de folies douces".

Ça me fait mourir de rire…!

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Au moment de refermer ce livre, je sais déjà qu'il ne m'en restera qu'un souvenir vague et absent d'ici quelques jours. Ce livre est bien écrit, vite lu et vite oublié. La plume de Foenkinos est légère et pleine d'humour. Heureusement ! Elle permet d'aller jusqu'au bout de la descente aux enfers de Bernard - "le héros"- sans tricher en sautant des pages.
Et quel talent de l'auteur dans la description du parfait "looser" qui semble subir sa vie avec une acceptation consternante et une immobilité énervante !
Le second degré et les mots rieurs, choisis avec soin, ne m'ont pas épargné ce sentiment : "Pourquoi m'infliger une telle histoire alors que mes journées de travail de médiatrice y sont remplies ?"
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La tête de l'emploi est l'avant dernier roman de David Foenkinos.
Comme la plupart des livres de l'auteur, cela se lit vite grâce à un style simple et fluide.

A l'instar de "Je vais mieux", on retrouve un sujet du quotidien de tout un chacun. Cette fois une perte d'emploi, une rupture et une nécessaire reconstruction à venir.

L'histoire de Bernard est plutôt réussie. Foenkinos le traite avec délicatesse, lucidité et humour.

Même si ça ne casse pas 3 pattes à un canard, cette lecture a été agréable.
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J'apprécie cet auteur mais je n'ai pas retrouvé ce petit plus que j'avais tant aimé dans ses livres précédents.
L'histoire est un bru banale, comme son personnage principal.
On le suit dans ses déboires et voilà...

Un livre vite lu qui sera aussi vite oublié car manquant d'une petit étincelle...
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Bernard la cinquantaine, marié, père de famille, banquier, bref une petite vie tranquille sans remous.

Mais voilà que sa fille part au Brésil, sa femme le quitte, il perd son boulot bêtement et la loi des séries s'acharne sur lui…
Mais où va s'arrêter sa mauvaise passe ?!

Voilà j'ai quasiment tout résumé et il ne ce passera pas grand chose de plus !!!

Je m'attendais à une sorte de rébellion de cet homme, ou bien une situation qui pimenterait un peu le roman mais non rien.

Le livre est rapide à lire et heureusement car il ne ce passe vraiment pas grand chose pour donner envie au lecteur de découvrir la suite !

J'ai malgré tout été au bout en espérant une chute, un rebond… mais non rien :(
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