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4,21

sur 2296 notes
Et notre ami Ken Follett créa ce que l'on appelle communément maintenant la Saga Kingsbridge. Cela remonte maintenant à plus de trente ans et pourtant ça ne prend pas une ride . Tel est l'apanage des grandes oeuvres dit on.
Dans le cas présent je n'ai pas attendu la sortie en format poche , j'ai acheté directement le pavé de plus de 800 pages . Et c'est toujours avec autant de joie que je retrouve ces personnages.
Quoi ? C'est encore les mêmes ? Mais c'est avant tout ce qu'il a déjà écrit non?
Oui vous avez raison . L'action se situe avant tout chose déjà écrite. C'est le crépuscule de la saga en fait . Mais quand je dit je retrouve, c'est pour dire que c'est la même recette. Pourquoi changer ?
Ken ne te tracasse pas , continue ainsi . Tu tiens le bon bout. Tu m'étonnes ...Des millions de lecteurs dans le monde quand même.
Prenez des personnages charismatiques à souhait : un pauvre bougre dans le deuil bourré de talent, une noble qui croit encore au véritable amour, un moine idéaliste et rebelle, et évidemment un homme d'église surpuissant et surtout très méchant.
Mettez tout ça dans une époque inédite et violente du moyen âge . Ajouter des intrigues qui se recoupent et surtout un énorme talent d'écriture et vous obtenez... le commencement de la saga.
La menace viking est là, mais pas assez présente à mon goût.
Bref j'adore cet univers .
Vous allez enfin apprendre pourquoi Kingsbridge se nomme comme cela . C'est déjà le petit détail qui fait que les amateurs vont dévorer ce livre.
Bonne lecture de la genèse
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Ce n'est pas un secret pour ceux qui me connaissent : j'aime les livres de Ken Follett et le poids de ses pavés ne me fait jamais peur.
Dans 'Le crépuscule et l'aube', l'auteur place l'action à la fin du Moyen Age. Divisé en quatre grandes parties, le roman commence en 997 pour se terminer en 1007. C'est l'intrusion des Vikings qui bouleverse l'existence des habitants d'un petit village en Angleterre. C'est l'occasion pour le lecteur de faire la connaissance d' un des personnages principaux du roman. Et il y en aura beaucoup d'autres, comme Ragna, jeune normande qui va épouser un ealdorman anglais ou encore Wynstan, un représentant de l'église qui n'a pas de scrupules...
Ken Follett est un conteur hors pair. Malgré qu'il met en scène beaucoup de personnages, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Certes, à force de lire beaucoup on peut imaginer certaines situations et si on cherche des défauts, on peut en trouver, mais cette fois-ci je ne vais pas donner beaucoup d'importance à tous ces détails.
Je peux dire que le plaisir de la découverte et là, dans chaque page, dans chaque rebondissement.
J'aurais voulu que l'auteur laisse au lecteur le soin d'imaginer la fin, mais ce n'est pas cela qui va changer ma note.
'Le crépuscule et l'aube', est pour moi une belle réussite.
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Comment pourrait-on passer à côté du prequel des Piliers de la terre et du Monde sans fin de Ken Follett?
Impossible de ne pas pouvoir se plonger dans le crépuscule du 1er millénaire et de vivre aux côtés de ces Vikings sans peur et sans reproche lors de leurs attaques.
Follett nous fait revivre un moment merveilleux en Angleterre du sud ouest, toujours à Shiring, là où les luttes de pouvoir entre le Clergé et la Noblesse ne cessent d'exister, mais aussi mensonges,  trahisons et vengeances.
Nos villageois tâcheront de s'y faire une belle place ou tout au moins de belles constructions. Les personnages toujours bien croqués, on aimera Edgar, le créateur bâtisseur, la belle Ragna de Cherbourg, Winwulf, le maître de Shiring, Aldred, le prêtre et l'on pourra aussi détester Wigelm mais aussi Wynstan, l'évêque corrompu et leurs acolytes ambitieux de pouvoir.
Intrigues, complots, pas de pitié pour les vaincus dans ce monde manichéen chez Follett.
Une merveille à découvrir mais attention, à lire en dernier lieu pour les novices de cette magnifique fresque historique.
J'adoooooore...
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Je suis bien consciente que ce roman a de belles faiblesses niveau personnages. du genre à atteindre l'orgasme en même temps en faisant l'amour parce qu'ils s'aiment vraiment d'un amour trop trop beau et trop trop pur.
Il n'empêche que Ken Follett reste celui qui m'a initiée aux romans historiques ; que l'époque racontée (997-1007) au sein du royaume d'Angleterre m'a plaisamment rappelé que j'avais encore quelques épisodes de la série Vikings à regarder ; que si on y prête attention, on a beau ne pas cotoyer les Vikings, on peut tout de même y voir l'organisation d'un village anglais, d'une région, d'un royaume sous Ethelred le malavisé et Emma de Normandie ; et qu'on découvre qu'avant le temps des cathédrales les bâtisseurs anglais construisaient des navires.

Esprit léger de vacancière ? Aveuglement dû à mon amour pour les pavés ? Nostalgie de la découverte d'un genre littéraire ?
Je ne sais pas, mais qu'importe, j'ai passé du bon temps avec ce roman.
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Chouette, un préquel des Piliers de la Terre, celui qui placera la future ville de Kingsbridge là où elle doit être.

Disons d'emblée, Ken Follet fait du Ken Follet, comme d'habitude.

Quesaco ? Eh bien, chez lui, les Gentils sont trèèès gentils, sympathiques, bons, le genre de personnes avec qui tu aurais envie d'écluser de la cervoise tiède dans une taverne anglaise… Pardon, de la bière noire, la cervoise tiède, c'est pour Jolithorax, le cousin d'Astérix.

Quant aux Méchants, je vous le donne en mille, ils sont foutrement méchants, avares, ladres, mesquins, mauvaise foi, dominateurs, violents, salopards, cupides, voleurs, manipulateurs, magouilleurs, mauvais perdants et j'en passe.

Anybref, je reprocherai toujours à Follet son manque de nuance dans ses personnages et ce côté manichéen. Pourtant, avec lui, je pardonne. le seul personnage qui aura un peu plus de nuance, c'est Aldred, un jeune moine que j'ai adoré car il a des failles, des blessures, il doute, son ego peut le mener dans le ravin.

Edgard est un brave garçon, je l'ai adoré, mais son créateur littéraire l'a doté d'un peu trop de qualités, il a solution à tout, il sait tout faire (ou quasi) et Ragna, la femme forte de ses pages, possède elle aussi un peu trop de force.

Ken Follet aime les femmes fortes, les femmes de tête, les femmes qui ne se laisse pas faire, mais cela donne souvent l'impression de déjà-vu, comme s'il recyclait ses différents personnages et montait toujours ses romans sur le même squelette.

Alors que les Piliers de la Terre et la Colonne de Feu foisonnaient d'action, de rebondissements, ce tome-ci est plus calme, hormis au début avec l'attaque des Vikings et puis c'est tout… C'est furtif un viking, ça va, ça vient, ça pille et ça fout le camp en vitesse.

Ne nous y trompons pas, Ken Follet est toujours un merveilleux conteur, sa plume est un plaisir à lire, son dernier roman est rempli de détails de la vie en Angleterre en 997, de la politique de l'époque, de la condition humaine, de la place des femmes, du pouvoir des hommes, des nobles, des hommes de Dieu,…

Sans oublier les lois qui ne sont pas applicables à tout le monde de la même manière. Un homme riche, influent, avec du pouvoir aura la loi pour lui, un pauvre paysan ou une femme non. Heureusement que ça a bien changé et que ce n'est plus comme ça de nos jours… Heu, pourquoi toussez-vous tous et toutes, subitement ???

— Mais l'homme importe plus que la loi, comme vous le savez.

C'est une véritable immersion dans cette fin d'année et dans le début de l'an mille (de 997 à 1007), une immersion grandeur nature, réaliste, manquait plus que l'odeur et le sang, mais niveau action, faut pas vous attendre à des trépidations de folie, c'est assez calme. Par contre, j'aurais aimé qu'on me parle d'Histoire de la sorte, à l'école car jamais elle ne devient indigeste, avec lui.

Honnêtement, je ne me suis pas embêtée mais ça se dévore avec moins d'avidité que les autres pavés de la saga. Certains auteurs peuvent nous surprendre et d'autres pas, Ken Follet fait partie de ceux qui ne surprennent plus car son scénario se déroule souvent sur les mêmes grandes lignes directrices.

Un beau voyage dans l'Angleterre sombre, celle des âges crépusculaires où l'esclavage était normal… Ça jette toujours un froid.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Ken Follett reprend avec le Crépuscule et l'Aube une formule éprouvée : un roman mêlant sentiments, trahison et violence, dans un cadre historique précis. Ici, il plante son action dans l'Angleterre de la toute fin du dixième siècle et le début du onzième. Les ressorts de l'intrigue ne surprennent pas, l'auteur sait construire des histoires entremêlées, où des personnages vils et sans scrupules s'attaquent aux héros, en multipliant les trahisons et les retournements de situation. le style est suffisamment fluide pour que le pavé de plus de huit cent pages soit lu rapidement – le lecteur enchaînant les chapitres comme les épisodes d'une série télé addictive.

Sur le plan historique, Follet prend la précaution de rappeler dans ses remerciements finaux que l'époque est peu documentée. Reste qu'il a un vrai talent à rendre crédible cette période de la fin du haut moyen-âge anglais. le pays est plus un ensemble de seigneuries autonomes qu'un Royaume. le roi Ethelred le malavisé doit composer avec les chefs locaux. Les shérifs représentent localement le roi, mais leurs maigres troupes ne peuvent pas grand-chose quand le seigneur local, l'ealdorman, décide de ne suivre que son intérêt. Bien que l'Angleterre soit désormais christianisée, certains usages perdurent. Les captifs capturés lors des campagnes contre les Gallois ou les Vikings deviennent des esclaves sur lesquels leurs maîtres ont tous les droits. Les prêtres sont parfois mariés; certains monastères sont des lieux de débauche plus que de religion. La polygamie est tolérée. La loi du plus fort tient lieu de raison. le sud de l'Angleterre subit régulièrement des incursions de Vikings, qui viennent piller les bourgs côtiers et remontent les fleuves pour s'emparer des richesses des quelques cités locales.

C'est ce qui se produit en 997 lorsque le petit port de Combe est attaqué. le jeune Edgar s'en sort. Mais il a perdu son père, charpentier de marine, et tout le bois et le matériel nécessaire à la construction des navires. Sa famille n'a plus de moyen de subsistance. L'évêque local leur met à disposition un peu productif lopin de terre dans un petit hameau, Dreng's Ferry. Une nouvelle vie de cultivateur commence pour un garçon qui se sait capable de manier le bois, de construire barques ou charpentes, voire d'imaginer de grandes constructions.
Face aux attaques vikings, l'ealdorman Wilwulf, seigneur de Shiring, traverse la Manche et cherche du soutien auprès du comte de Cherbourg. Ce normand, issu de plusieurs générations de Vikings implantés sur le territoire accordé par Charles le Simple, refuse de se positionner dans des combats qui ne le concernent pas. Mais le voyage n'a pas été totalement inutile, la fille du comte, Ragna, tombe amoureuse de Wilwurf, qui va envoyer son demi-frère Wynstan, évêque de Shiring, demander la main de la noble normande. Ragna va découvrir un pays qui fonctionne fort différemment de sa Normandie natale. A elle de s'adapter et de jouer avec ses arguments dans un contexte violent.

Follett bâtit une vaste fresque autour de ses personnages principaux. Chacun a son caractère et ses ennemis. L'ambitieux et sans scrupules évêque Wynstan a pour pendant le jeune moine Aldred, porté par sa foi – et son amour des hommes. Ragna doit lutter contre sa belle-mère qui cherche à imposer sa famille. L'infâme tavernier de Dreng's Ferry sert de repoussoir par rapport à son esclave galloise.
Les lecteurs de Follett, habitués aux incessants revirements de situation, anticiperont largement le déroulement du récit. Reste qu'à force de proposer un peu toujours le même type de trame, Follett finit presque par proposer un calque des Pilliers de la Terre. Ce prequel n'est certainement pas le meilleur ouvrage du romancier britannique, mais il constitue un bon divertissement historique.
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Avant de me lancer dans Les Piliers de la Terre qu'on m'a tant vanté, j'ai préféré commencer par ce roman, étant un préquel paru bien après. J'aime bien cet auteur mais je n'ai jamais osé me lancer dans cette série pavé par peur de ne pas apprécier. Suivant comment est tourné un roman historique, je n'arrive pas à rentrer dans l'histoire.

Même s'il a tout pour être intéressant, les vikings et leurs croisades, l'histoire est longue et il ne se passe pas grand-chose. Après seulement 1h30 d'écoute, je m'ennuie déjà. le personnage principal a tout perdu dans l'assaut des vikings, sa future épouse, un métier d'avenir et son père. Il est donc encore vivant avec ses frères et sa mère. Grâce au prélat du coin, sa famille récupère une ferme à exploiter et les voilà partis sur les routes pour la récupérer. Beaucoup ont encensé cette série mais pour ce préquel, je ne vois pas trop l'intérêt de la partie historique du point de vue d'un ancien charpentier futur fermier. Je crois que j'aurais préféré du point de vue des vikings même s'ils sont très violents lors de leurs croisades, ils ne laissent rien sur leur passage. du coup, je ne pense pas que je poursuivrais la lecture avec Les Piliers de la Terre ni de ce préquel. En même temps, je ne suis pas trop adepte des romans historiques, il faut vraiment qu'ils arrivent à me passionner dès le début sinon je les abandonne bien vite. Bizarrement, les romans historiques de cet auteur sur la Seconde Guerre Mondiale passe bien mieux… le style de cet auteur est toujours agréable mais ça ne fait pas tout. En tout cas, ça ne m'empêchera d'en écouter d'autres de lui tant son répertoire est éclectique et que j'en possède encore dans ma pal.

Comme vous l'aurez compris, ce préquel n'aura pas été une réussite. Mais en même temps, je m'y attendais un peu car malgré les louanges, Les Piliers de la Terre ne m'avaient jamais attiré jusqu'à présent. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, je vais continuer à fureter au milieu des nombreux auteurs.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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À l'image des "Pilliers de la terre", j'ai tout simplement adoré. La narration est majestueuse, les nombreux personnages sont sculptés au scalpel, et l'histoire est passionnante et la dureté de l'époque bien retranscrite. Un pavé qui se dévore d'un bout à l'autre sans une seule once d'ennui. Seul petit bémol, j'avais espéré plus de présence viking, ce qui est très loin d'être le cas.
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Quelques années nous séparent de la parution d'Une colonne de feu et pourtant, Ken Follett remet ça. Nous voici repartis à Kingsbridge… Oui mais en fait les choses sont loin d'être aussi simples, car nous voici plongés dans un passé, à une date à laquelle Kingsbridge, justement n'existe pas encore.

Pourtant l'essentiel y est. Il manque peut-être un peu de ce souffle épique qui avait fait la force du roman initial Les piliers de la terre. Ce désavantage est compensé par un récit qui se déroule sur un peu plus de dix ans, et offre de multiples rebondissements et ellipses.

Nous allons ici suivre trois personnages : Edgar, le mythique bâtisseur, Ragna une noble qui va vivre un destin particulier et Aldred, figure tutélaire d'un fondateur spirituel. La vie de ces trois-là est liée et sera déterminante pour toute une contrée. Les deux premiers seront peut-être plus développés que le dernier et l'on sent bien que Ken Follett a accordé une importance accrue à une figure féminine qui aurait détonné à cette époque-là. Influence du contexte immédiat ?

Les adeptes de l'auteur trouveront ici toute une galerie de personnages qui ne peut que rappeler des souvenirs et créer des ponts avec Les piliers de la terre. Sans être une redite nous assistons ici à quelque chose de très curieux… Seul le personnage d'Edgar peut finir par lasser, tant celui-ci ressemble davantage à un héros qu'à une personne de chair et de sang. de même certains personnages semblent clairement avoir été utilisés à des fins bien précises, mais là aussi, tout cela est noyé dans un ensemble bien plus vaste.

Cette oeuvre de fiction joue agréablement son rôle. La lecture va susciter tout un tas de sentiment. Elle ne laissera pas indifférent, même s'il faudra s'armer de patience pour arriver jusqu'au bout. Car ici l'heure n'est pas à la réjouissance et bien trop souvent les temps semblent bien trop durs. Son pouvoir d'évasion est indéniable, mais il faudra avoir le moral et le garder pour atteindre la dernière page !

Contrairement à ce que peut laisser entendre la quatrième de couverture, les Vikings ont ici une importance toute relative. Mais il faut dire que l'imagination de l'auteur fait qu'il n'a pas vraiment besoin d'eux pour créer une geste qui parvient à tenir son monde en haleine. Si l'épopée témoigne une nouvelle fois de son talent d'écrivain, certains épisodes et certaines péripéties peuvent parfois paraître prévisible… mais là aussi qu'importe car le sujet est bien vaste !

Il suffit de songer au nombre de traducteurs et de traductrices pour se rendre compte de l'importance du travail accompli en peu temps. Sa qualité est indéniable, puisque le résultat est fluide, agréable et d'une qualité rare.

Si la lecture des volumes précédents n'est pas obligatoire, il est toutefois fortement recommandé de suivre les dates de parution, ou a minima de lire ce roman après Les piliers de la terre et Un monde sans fin. le plaisir n'en sera que plus grand.

Le crépuscule et l'aube est donc une nouvelle belle réussite, sans être exempt de défaut, il s'agit d'une belle lecture qui vous réserva de bons moments, bien que souvent très tristes…
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Follett nous propose un préquel à sa célèbre sage de Kingsbridge. Il nous amène, toujours au Moyen-Âge, dans une Angleterre en construction. Années 900, donc, pas de bâtiment grandiose à construire cette fois, mais plutôt, il nous narre la crainte des attaques de Vikings… En fait, au début du roman. Et c'était pourtant le pitch de départ. Mais ça ne dure que quelques chapitres… après, Follett nous raconte l'histoire de cette Normande qui tombe amoureuse d'un Anglais. Ou bien de ce jeune homme qui, avec sa famille, tente de survivre, en cultivant la terre, ou bien en faisant quelques travaux. Ces deux-là vont se croiser. Pour amener avec une fin un peu gnagna… Bref, j'ai eu peine à terminer le roman. Une chose que je l'écoutais, plutôt que le lire, en occupant mes mains à autres choses, sinon, je n'aurais pas tenu. Complot, politique, trahison… heureusement qu'il y avait ça, parce que j'ai eu aucun affect pour les personnages, sinon, un peu pour Edgar. La plume de Follett, par contre, est toujours fluide, autant à la lecture qu'à l'écoute. Bref, je l'ai eu, je l'ai lu, et je vais certainement l'oublier rapidement. J'aurais dû m'en tenir qu'aux deux autres tomes.
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