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3,51

sur 262 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Sachant que je suis un peu réticente à toute sorte de liseuse, I-Pad...et que pour moi, rien ne remplacera jamais le livre papier, mon mari, en lisant la quatrième de couverture, n'a pas résisté à m'offrir ce livre et je l'en remercie même si je n'ai toujours pas changé d'avis.

L'histoire est celle d'un éditeur, Robert Dubois, dont la maison d'édition pour laquelle il travaille porte son nom puisque ses ancêtres en sont les créateurs. C'est une vieille maison d'édition indépendante comme on en trouve de plus rarement de nos jours qui a ses auteurs attitrés mais qui est toujours en quête de nouveaux talents. Sa vie va être perturbée le jour où il fait la connaissance de Valentine, une jeune stagiaire, employés par sa propre maison, qui lui apporte son nouvel outil de travail : La Liseuse, instrument complètement révolutionnaire selon elle puisque cette tablette de 730 grammes est capable de contenir une quantité inimaginable de manuscrits. Réticent au départ, la narrateur va finalement se familiariser avec cette dernière, allant même à imaginer avec une bande de stagiaires, complètement déjantée dont fait partie Valentine, à créer une nouvelle boîte entièrement basée sur l'édition numérique.

Est-ce l'édition de demain ? Probablement mais l'auteur n'affirme pas non plus que les bonnes vieilles librairies telles que nous les connaissons avec les livres papier sont vouées à disparaître puisque l'éditeur, une fois qu'il se retrouve dans une grande impasse et qu'il a le moral à zéro (je ne vais pas non plus vous dévoiler toute l'intrigue), en revient à ses bons vieux classiques, imprimés e(t au format du livre que nous connaissons aujourd'hui. Cela m'a remonté le moral car, tout comme lui, même si je pense que le monde de l'édition va inévitablement changer, je suis persuadée que les livres papier ne disparaîtront pas. Il y aura toujours des personnes, comme moi d'ailleurs, qui aiment sentir leur livre, le toucher et le conserver précieusement dans une bibliothèque...du moins, je l'espère !

Pour en revenir à l'écriture, j'avoue que celle-ci m'a un peu déroutée au départ car je ne comprenais pas pourquoi l'auteur coupait ses chapitres, parfois en plein milieu d'une phrase, jusqu'à ce que je lise ce qui est expliqué à la fin de l'ouvrage, à savoir que le texte est en réalité une sextine, ce qui est vraiment extrêmement bien mis en oeuvre de la part de l'auteur puisqu'il allie ici deux styles d'écriture. J'avoue cependant que je ne m'en serais jamais rendu compte sans cette explication, mettant simplement cela sur le compte du fantasque de l'auteur. L'écriture en elle-même est fluide et lipide et cet ouvrage se lit en un rien de temps. Pourquoi n'y ai-je pas attribué la note maximale ? Tout simplement parce que j'aurais souhaité qu'il s'attarde un peu plus sur certains passages, et notamment sur la fin que je trouve trop brève et que j'aurais souhaité qu'il creuse un peu plus mais cela n'est qu'une question de goût. A découvrir !
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Un livre agréable et amusant sur les livres, l'édition, les auteurs et la révolution numérique. Avec comme conclusion « toute ces inventions, c'est bien amusant, mais rien ne vaut un bon mur de bouquins pour se couper de la vie ». Et pourtant, elle est bonne, la vie du côté de Saint-Germain des-Prés. Je vous dis pas les petits bistrots, les petits plats, les grands vins et les jolies stagiaires black. Les auteures gourmandes et un rien nympho. On est chez les beautifull peoples, tout de même ! Bien des soucis pourtant, surtout avec ces directeurs commerciaux qui n'y comprennent pas grand-chose, ces auteurs qui partent chez le concurrent et ces manuscrits dont on ne peut pas savoir s'ils feront un bon ou un mauvais livre. La vie, quoi ! le livre est très alertement écrit, on est Oulipotien et ça se voit. On trouve des « ticheurtes » et des « frileurs », de jolies phrases « Elle est assez décoiffée, me semble-t-il, trouée au jean, colorée au reste » ou « J'aime beaucoup Sabine. Elle est rousse. Pour bien faire, il faudrait une rousse dans chaque entreprise » et des jeux très compliqués sur la forme, de grand rhétoriqueur à l'ancienne.
Je rigole, je rigole, mais c'est plutôt un bon bouquin, et plutôt « sympa ». Peut être pas de ceux qu'on mettra dans le mur qui nous coupera de la vie, mais, pour passer un joli moment à se gausser un peu du monde de l'édition, pourquoi pas ?
(merci à Canel, qui m'a donné envie de lire ce livre)
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Les temps changent depuis toujours, mais un peu plus ces temps-ci, semble-t-il, où l'on croise de plus en plus de lecteurs sans livre mais avec cordon d'alimentation. Robert Dubois, vieil éditeur germanopratin, découvre cette réalité le jour où une stagiaire pressée lui apporte une "liseuse" (idée de l'actionnaire majoritaire qui sait où mène la modernité) sans réaliser qu'elle fait sonner un étrange glas dans la vie de cet homme entouré de papier. L'objet a de l'allure, il ne sent rien, se range mal dans une poche ou un cartable mais il entre dans le quotidien de notre homme qui en a vu d'autres mais s'interroge néanmoins : quel est ce monde où un texte pourra exister loin du papier ?

Ni chant du cygne, ni apologie passéiste, La Liseuse est le récit de cette petite révolution dans un univers en ébullition permanente, celui d'un lecteur fou qui oscille entre désabusement permanent (que n'a-t-il du temps pour lire enfin les livres qui valent la peine et réclament du temps) et espoir continu (et s'il allait enfin découvrir un grand écrivain), d'un homme qui passe sa vie penché sur des manuscrits. On reconnaît l'éditeur à son goût du risque et à son assurance que le succès est imprévisible : celui-ci décide de jouer le jeu en confiant à ses stagiaires, une peuplade qui grouille dans le monde de l'édition, le soin d'inventer une maison dont les nouvelles technologies seront le support. Cela va-t-il fonctionner ? Goguenard et attentif, attendri quoique inquiet, il regarde lentement s'effriter ses certitudes en laissant les souvenirs interroger le présent. Paul Fournel n'est pas avare de clins d'oeil, envers ses amis de l'OULIPO notamment (Queneau, le Tellier, Perec viennent faire des apparitions plus ou moins masquées), envers ses livres chéris, et parce qu'il croit depuis longtemps au pouvoir de la contrainte il a composé un roman répondant au principe de la sextine (je lui laisse le soin de vous l'expliquer en dernière page…). Pour le profane, c'est un voyage dans le monde de l'édition, avec toutes ses chapelles, ses rituels, ses ridicules, ses grandeurs, mais c'est avant tout une étonnante réflexion, sous forme narrative, sur ce que devient ce monde qui se croyait à l'abri des changements et qui découvre qu'il va devoir s'adapter.

Esprit, humour, mélancolie surmontée et maîtrise d'écriture ! Ce livre est un délice, où Paul Fournel ne se refuse rien : on aurait tort de s'en priver.
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Ce n'est ni un vêtement féminin d'intérieur, ni un coupe-papier, et encore moins une silhouette «au bleu de la croisée», mais bel et bien cet engin high tech qui est en train de révolutionner le comportement des lecteurs mais aussi d'ébranler les fondements du monde de l'édition, même si des îlots d'irréductibles tourneurs de pages à la main résistent encore à l'invasion.

Cet instrument (sans doute une tablette fruitée si l'on en juge par le poids) se retrouve entre les mains d'un éditeur perplexe. Comme pour un fumeur repenti, la gestuelle est à réinventer : il n'est plus question de «tenir les feuilles posées sur son ventre puis de déposer ses feuilles lues sur sa poitrine pour sentir le poids du travail accompli». Et comme un malheur n'arrive jamais seul, une bande de stagiaires geeks font irruption dans son paysage professionnel. Il n'en faudra pas plus pour que les idées fusent pour réinventer la lecture à l'aide de la technologie et en accord avec la demande (du rapide, du vite consommé, vite oublié).

Ce roman est assez drôle même si j'ai eu la sensation de passer à côté d'allusions cryptées obscures quand on ne fréquente pas de façon intime le monde de l'édition. Est-ce également la contrainte formelle que s'est imposée l'auteur oulipien (texte en forme de sextine, forme poétique complexe dont les règles sont expliquées à la fin de l'ouvrage) et que j'aurais été incapable de repérer sans en avoir été avertie, toujours est-il qu'il transparaît une construction un peu artificielle.

Le roman ne lance pas le débat papier ou électronique, mais envisage les conséquences possibles d'une telle évolution. Devra-t-on envisager la création d'un ministère pour la sauvegarde des textes littéraires comme l'a imaginé Jasper Fforde dans la série des Thursday Next, pour éviter que la madeleine de Proust ne se transforme en petit-beurre?

Bien entendu, j'ai parcouru ce texte sur ...une liseuse
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Décidément, il me plaît ce Robert Dubois. J'avais très envie de le retrouver après avoir croisé sa route dans Jeune-Vieille, alors j'ai fait le chemin à l'envers, mais c'est sans importance, ces deux livres qui ont en commun le cadre et certains protagonistes peuvent se lire indépendamment l'un de l'autre. Geneviève, l'héroïne de Jeune-Vieille fait quelques apparitions dans La liseuse, mais demeure au second plan. le héros ici, c'est Robert Dubois. Fondateur de la maison d'édition qui porte son nom même si avec les années elle est passée aux mains d'associés apporteurs de capital. Maison d'édition à taille humaine, fragile face aux enjeux d'un métier en pleine mutation.

Ces changements, l'auteur les matérialise très simplement en mettant entre les mains de Robert Dubois une liseuse destinée à remplacer la sacoche chargée de manuscrits qu'il emporte chaque week-end dans sa maison de campagne, à la chasse au talent ou du moins à quelque chose qui pourrait se vendre. L'acclimatation à ce nouveau support de lecture est l'occasion d'explorer l'activité de l'éditeur dans toutes ses composantes, avec beaucoup de lucidité et suffisamment d'humour pour donner à l'ensemble les habits de légèreté qui soulignent joliment le propos. S'affrontent au fil des pages les tenants de la modernité et les nostalgiques de l'odeur du papier, les réalités économiques et la noblesse de l'art. Tout dinosaure soit-il, Robert Dubois n'en est pas pour autant réfractaire au progrès et il n'hésite pas à enrôler les stagiaires de service pour penser au mieux ce que pourrait être une maison d'édition 2.0.

Mais ce qui fait le sel de cette lecture, c'est le regard de Robert Dubois sur les différentes facettes qui composent son quotidien, le métier d'éditeur qui est aussi et surtout pour lui le métier de lire, à la fois prenant mais contraignant et frustrant dans ses empêchements à vraiment lire. de ses conseils à une éditrice en herbe à ses déambulations dans une librairie de rêve à Marybelone (Londres) en passant par quelques réflexions sur les comités de lecture ou l'accompagnement des auteurs, suivre Robert Dubois est un plaisir servi par le pétillement malicieux qui émane de la plume précise de Paul Fournel. Qui sait aussi toucher au coeur en quelques phrases qui donnent à la fin de ce livre l'envie d'en réclamer encore.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Le narrateur est éditeur. L'auteur qui le fut également a sans doute mis une partie de lui-même dans ce livre qui n'est pas qualifié de roman.
Voilà qu'un jour une stagiaire lui met entre les mains une liseuse. Cet instrument peut contenir des milliers de livres, et lui permettra donc de ne pas s'encombrer de papier. Sa vie va-t-elle changer ? le milieu de l'édition a-t-il encore un avenir ? Comment s'approprier les nouvelles techniques quand on exerce un métier séculaire ?
L'auteur en profite pour nous entraîner dans le milieu de l'édition avec ses petites magouilles et ses interrogations.
Voilà un récit mené avec un humour décalé, froid et parfois grinçant, mais non dépourvu de tendresse, ni d'un discret désespoir. Car la vie sait être cruelle, même pour ceux qui vivent dans le monde imaginaire du livre.
Savoureux.
A noter quelques coquilles, dont celle-ci page 208 : « ici où là des fleurs bleues ». Allons P.O.L !
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Sur le quatrième de couverture de mon édition de poche (folio), on peut lire: "Un roman aussi tendre que drôle sur ce que lire veut dire."
Et je dois dire que j'ai effectivement ressenti une tendresse immense pour le personnage principal Robert (ou Gaston c'est selon) , il passe ses journées à lire pour débusquer le bon texte, mais il est aussi mis un peu à l'index face aux nouveaux maitres qui pensent plutôt finance que livre...Une sorte de satyre sur le monde de l'édition (que je ne connais pas) mais aussi une excellente réflexion sur ce que lire veut dire à l'époque des tablettes et autres smartphones...
Je me suis délecté de ce texte, la forme (une sextine) est poétique et amène un magnifique souffle à l'ouvrage.. L'écriture coule au fil des lignes et les pages s'enchainent avec grâce jusqu'au "dernier mot de la dernière phrase" et alors en tournant la dernière page on se dit que décidément la vie vaut la peine d'être lue!
Un seul regret, le texte est court et j'aurai aimé le prolonger encore longtemps, je vais donc certainement le relire !
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J'avoue que la lecture de la liseuse de Paul Fournel m'a laissée assez perplexe. Peut-être parce que dans sa volonté de faire quelque chose de très original, l'auteur a écrit une énorme farce pour nous faire réfléchir sur le sens que pourrait prendre l'arrivée des liseuses électroniques et des applications en tout genre qui pourraient s'y attacher, si bien entendu on accepte de suivre le mouvement.

En ce qui me concerne, je n'ai pas suivi. J'ai perdu pied dans le dédale des délires de l'auteur qui met en scène un éditeur on ne peut plus traditionnel à qui on impose une liseuse pour lire ses manuscrits. Puisqu'il faut bien être de son temps. Ce qui ne fait pas le bonheur de notre homme. Dans un premier temps. Parce qu'il finira par se laisser prendre au jeu ou du moins à en donner l'impression. Et même à embaucher une équipe de jeunes pour jouer avec lui dans ce terrain de jeu que constitue le nouveau monde de l'édition électronique.

Je suis encore étourdie. Mais je peux comprendre que certains aient eu beaucoup de plaisir à lire ce livre. C'est en effet un livre-jeu, une comédie mettant en scène notre époque où la nouveauté est vite périmée, un roman qui bouscule les idées établies. Et surtout : un roman qui vous donne envie de lire un livre qui ne soit pas électronique. Pour caresser le papier. Humer l'encre. Avoir les pieds dans la réalité.

Et si c'était là le but non avoué de l'auteur que de nous faire aimer les « bons vieux livres »? Me voilà perplexe à nouveau.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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Ce livre a eu un écho tout spécial car je suis moi-même l'heureuse propriétaire d'une liseuse qui pour l'instant ne fait que trôner, décorativement, sur une étagère. L'objet m'intrigue, m'interpelle, m'ordonne de m'y pencher plus sérieusement mais je préfère pour l'instant me documenter sur l'engin, voire l'expérience des autres, qu'en faire un usage intensif. Je picore, j'explore les fonctionnalités mais je n'ai pour l'instant jamais lu de texte intégral sur ma liseuse qui est pourtant conçue pour (si, si !). Et je crois bien que ce livre de Paul Fournel a fait évoluer ma réflexion sur le numérique et m'a fait relativiser.

Robert Dubois est éditeur et il est plutôt conservateur, dans le genre, ou, comme qui dirait, de la vieille école. Alors, lorsqu'une stagiaire lui tend une tablette électronique pour lire ses nouveaux manuscrits, c'est plutôt réticent voire carrément réfractaire qu'il s'engage sur la voie du numérique. de là nait une curiosité pour la "bête" qui semble malgré tout passer tous les tests avec succès : la luminosité, l'interopérabilité, la gabarit... tout concourt à l'adopter. Il en viendrait presque à délaisser le papier pour se forger son petit monde uniquement via la liseuse. Il y a, dans cette soudaine mutation, des acteurs fondamentaux qui voient en la liseuse une formidable voie de passage vers le texte immatériel, dénué de toute contrainte physique. le texte se fait plus fluctuant car il est désormais possible de ponctuer le texte de remarques, d'être immergé dans les mots, encore plus près de l'approche textuelle et didactique d'un roman.

Je dois avouer que mon intérêt pour ce livre est allé croissant. Au départ j'avais du mal à me figurer comment parler d'un outil de lecture qui plus est, encore peu fréquent chez la plupart des lecteurs. Mais j'ai trouvé que situer l'action dans une maison d'édition avec, comme personnage principal cet éditeur en constante interrogation sur l'évolution du métier, était une approche particulièrement intéressante. On assiste à la lente appropriation de la machine par l'homme qui aurait pourtant de solides arguments pour la condamner et l'éloigner la plus possible de son quotidien. Mais j'ai bien aimé ce récit car le personnage est plein d'intelligence, réactif et encore bourré d'envies. C'est bien lui qui propose de développer une sphère numérique spécialement conçue pour les liseuses, c'est bien lui qui remplit des caisses de ses vieux livres pour laisser place au numérique. En somme, il se veut un acteur pleinement investi dans les fonctions qui sont les siennes. Et c'est tout à son honneur !
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Depuis quelques années des liseuses et autres tablettes se sont immiscées dans notre panorama littéraire français apportant avec elles les livres électroniques. Ce livre est à la fois un hymne au plaisir de la lecture et aux livres papiers. En effet, Robert Dubois, un vieil éditeur va faire l'expérience de la lecture de ses manuscrits sur écran. C'est l'occasion pour lui de nous rappeler à quel point l'objet livre peut nous apporter énormément d'émotion : le bruit d'une page que l'on tourne, l'odeur du papier et de l'encre plus au moins récente, le bonheur de casser le dos d'un livre que l'on vient d'acheter avant de débuter sa lecture.
Mais contre toute attente la liseuse peut ressusciter certains livres oubliés et qui ne sont plus édités, au plus grand bonheur des lecteurs avertis de littérature.
Parallèlement, l'auteur ne nous ménage pas concernant le monde de l'édition et nous confirme la rudesse de ce milieu.
Un livre à ouvrir de toute urgence pour les bibliophiles ! Vous aurez l'assurance de passer un moment en compagnie de cet ouvrage.
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