Dans le cas du malade B..., c'est l'aspect moral de l'existence réifiée qui domine la scène.(...). Pour lui, les êtres n'ont de valeur qu'en fonction des services qu'ils sont susceptibles de lui rendre. C'est très exactement ce que, de nos jours, on a pris l'habitude d'appeler la "morale objective"; c'est aussi celle de l'enfant qui n'a pas encore dépassé le stade de l'égocentrisme.