Je vais avoir du mal à émettre une véritable critique sur ce premier tome de la saison 2 de cité 14. Une raison à cela, je n'ai lu aucun autre livre de cette série, et contrairement à d'autres livres du genre il est essentiel d'avoir lu ce qui précède pour bien comprendre ce qui suit. Je ne m'attacherai donc pas à donner mon avis (par conséquent malavisé) sur l'histoire, les personnages et toutes autres caractéristiques qui dépendent directement de l'intrigue.
Mais je peux encore parler du dessin et de l'atmosphère. Les deux sont d'ailleurs très liés, ce dessin très particulier, aux contours innocents et enfantins sert pourtant un monde dur et réellement adulte. Cette originalité peut plaire ou non. Personnellement je lui trouve un charme indéniable, qui aurait fait de cette BD une bonne BD, si je n'avais pas été perdu en route par mon incompréhension totale des tenants et aboutissants du scénario, encore une fois plus de mon fait que de celui de l'auteur.
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Après une première saison des plus passionnantes, Cité 14 revient avec de beaux arguments, dont deux nouveaux personnages des plus intrigants et un Michel Elizondo luttant pour sa survie au milieu des Neo-Naturals. Le dessin de Romuald Reutimann fait toujours autant d’effet, extrêmement riche sous des dehors plus modestes. En bref, Cité 14 c’est reparti et c’est toujours aussi bon ! Merci les Humano !
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Un récit très classique où l’influence du polar noir américain ambiance années 30 est flagrante. Des flics pourris au journaliste opportuniste en passant par la pin-up aux jambes interminables, tout y est, et même plus. C'est vraiment là que la magie opère, dans les petits plus qui font de cette série une histoire à part. […] Un deuxième cycle indispensable pour ne pas laisser l’homme éléphant seul dans la jungle urbaine.
Lire la critique sur le site : BDGest
Et même si l'intrigue de ce premier album parait plus embryonnaire qu'autre chose cela reste passionnant, à la fois parce qu'il s'agit des personnages qu'on connait, qu'on aime, mais en plus parce que se dessine déjà une histoire globale qui risque de nous tenir autant en haleine que la précédente.
Lire la critique sur le site : Sceneario