C'était un fondu de jazz. De blues, aussi.
Il était emprisonné pour le meurtre d'un ministre que personne, passé le discours officiel, n'avait eu l'indécence de regretter.
Inévitablement, dans les sphères du pouvoir, on disait de lui qu'il était un terroriste. Un anarchiste. Parmi le public, on le voyait plutôt comme un justicier solitaire, une sorte d'homme-loup aussi féroce que romantique. En particulier les femmes – pas toutes les femmes bien sûr – ...
>Voir plus