Première tentative d'entrée dans l'univers de Gimenez pour moi avec le diptyque "La dernière vie".
Imaginez un jeu vidéo capable de vous emmener physiquement dans son univers où vous ressentirez aussi bien le plaisir que les douleurs. Idéal non ? Un vrai jeu sensoriel enfin ! Oui, mais quand ce même jeu détraque et vous plonge dans le coma lorsque vous perdez votre dernière vie "virtuel", c'est déjà moins amusant !
Si le pitch de base est assez ambitieux et amusant, la réalisation pêche par quelques défauts encore. Etriqué dans une mise en page serrée, ce récit peine à faire exploser son véritable potentiel. Et pourtant, on sent le trait de Gimenez qui s'amuse et nous sort des scènes hallucinantes.
A noter malgré tout : c'est un diptyque qui s'achève ! Et en matière de BD, notamment de science-fiction, ce n'est pas rien de le signaler.
A lire ... à la bibliothèque par exemple ?
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Un peu déçu. Un scénario sans grande profondeur, visitant u scénario trop classique: un jeune gamer qui découvre un jeu vidéo particulier, lui permettant d'entrer réellement dans le jeu. Jeu dangereux puisque le protagoniste risque réellement sa vie dans son aventure.
Les dessins sont toujours aussi magnifiques, arrachent parfois un sourire...mais je m'attendais à mieux.
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Graphiquement, le trait rempli de panache de Giménez est bien au rendez-vous. Par contre, à l'opposé de son travail contemporain sur la Caste des Méta-Barons, la mise en page, très resserrée, étouffe quelque peu le dessin.
Lire la critique sur le site : BDGest