Robert Delpire connaît bien – c’est un euphémisme – la photo, et ce n’est pas un inconvénient ; mais il ne connaît pas grand-chose aux chevaux, et c’est plutôt un avantage ! S’il avait été, en effet, un connaisseur, un hippologue, un hippolâtre, on aurait eu un ouvrage ennuyeux de plus, un de ces “beaux-livres”, comme on dit, du genre de ceux que la plupart des éditeurs se croient obligés de proposer chaque année au moment des étrennes, sur “le monde-merveilleux-des...
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