J'ai reçu, il y a peu, ce petit livre format A5, grâce à une masse critique! Merci donc à Babelio et edp sciences!
Je l'ai tout de suite trouvé très attrayant ! de belles couleurs hivernales, des illustrations simples mais agréables à regarder.
Ce livre est à la fois instructif et ludique ! Il peut être apprécié à tout âge, ma fille de 11 ans l'a lu en une soirée! J'ai aussi apprécié le sommaire qui permet de se rendre directement à la question souhaitée.
Qu'est ce que le feu? le verglas? Pourquoi une tartine tombe souvent du côté beurré ? Pourquoi est-ce plus facile de faire le bazar que de ranger? Comment fonctionne les stylos? Une multitude de questions pour tous les goûts, et les réponses qui tiennent en une page! On va droit au but sans nous perdre avec des informations inutiles !
Je suis bien tentée de me procurer les autres saisons!
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J'ai été très déçue, peut-être parce que j'adore ce genre de livres (pourquoi les pingouins n'ont jamais froid ?) et que je pourrais les relire sans cesse et que cet ouvrage est en fait purement scientifique sans être drôle (j'ai eu l'impression de lire un livre sur "pourquoi en hiver il fait froid") à part le "truc" de l'escalier - qui n'a rien de drôle - que j'ai mis en citation pour pouvoir le lire et relire jusqu'à le connaître.
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Pourquoi certains escaliers sont-ils pénibles à monter ?
Monter des escaliers est toujours exercice un peu fatigant, d'autant plus s'il faut transporter des sacs de courses pour les réveillons ! Néanmoins, certaines marches sont encore pires que d'autres et donnent l'impression degravir une montagne. A quoi cela est-il dú ?
Nicolas-François Blondel (1618-1686), un architecte à l'Académie royale d'architecture de Louis XIV, est le premier à avoir résolu ce problème. Pour éviter de construire des escaliers dignes du mont Everest, il suffit que la mesure du giron de la marche, c'est-à-dire la distance entre deux nez de marche, additionnée à deux fois sa hauteur, donne un résultat entre 60 et 64 centimètres.
Pour établir ce calcul, il est parti d'une observation simple : en montant une marche, nous parcourons à peu près la même distance quen faisant un pas sur un terrain plat. Or, la longueur d'un pas est en moyenne de 63 centimètres.
Au-delà de 64 centimètres, une marche devient donc pénible à monter, car nous devons faire un peu plus qu'un pas.