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De haut bord tome 2 sur 3
EAN : 9782841728107
544 pages
L’Atalante (22/06/2017)
3.75/5   22 notes
Résumé :
Sans le ralliement des autres nations de l’humanité dans les étoiles, la Terre est condamnée à disparaître sous les assauts de l’Hégémonie krag, trop puissante, trop peuplée. C’est pourquoi, à côté de l’effort de guerre, l’activité diplomatique est décisive. Ainsi Max Robichaux, commandant du destroyer Cumberland, doit-il accompagner le docteur Ibrahim Sahin à la rencontre des dirigeants du Royaume unifié de Rashid...
Encore faudrait-il que les Krags les lais... >Voir plus
Que lire après De haut bord, tome 2 : Rapprochement à gisement constantVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Toujours aussi bien.

Le Cumberland se retrouve encore au milieu des meilleurs (ou des pires, selon le point de vue) événements de la guerre opposant l'Union humaine aux Krags.

Mieux construit (moins saccadé) que le premier tome, nous avons quatre épisodes qui se tiennent et forment un roman cohérent, haletant et sincèrement très prenant.
Le bon docteur passe de personnage co-principal à très secondaire, restant néanmoins dans son rôle de candide (en matière de spatiale) mais dont on se demande sincèrement s'il lui arrive de faire son boulot de médecin à bord au lieu de servir de second second - sénateur Rione (la flotte perdue pour les intimes).

On a parfois des personnages et comportements un peu caricaturaux (Tape-dur et Duflot) mais ce n'est pas rédhibitoire.
Un jargon pseudo scientifique et technico-militaire qui fait tout ce que j'adore dans le space op militaire, presque (faut pas pousser non plus) digne de Weber.

De haut bord confirme sa place de choix dans le space opera militaire anémique en France (de toute façon, on n'a pas trop le choix, mais le choix est bon).
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Bien que souffrant des mêmes problèmes que le tome précédent, j'ai tout de même passé un meilleur moment dans ce tome ci.

Pour pouvoir combattre les Krag, qui sont bien trop puissants, les humains doivent s'allier. Malheureusement les nations sont multiples et les enjeux très lourd, rendant les négociations difficiles.
Max Robichaux, nouveau commandant du Cumberland, doit escorter le docteur Ibrahim Salim qui a rendez vous avec les dirigeants des mondes unifiés de Rashid dans l'espoir d'accélérer les choses.

Mais les obstacles sont nombreux, aussi bien externes qu'internes, et le voyage de Max ne sera pas de tout repos ...


Je ne vais pas à nouveau détailler tout les points que j'ai moins apprécié, ils sont quasiment identique à ceux que j'avais décrits dans ma chronique du premier tome, Coeurs d'acier, bien que moins marquants ici.
Heureusement d'ailleurs, sinon j'aurais du mal à dire que cette lecture a été meilleure. Ce qui a été le cas ici, étrangement. On peu peut être dire que le fait que je m'attende à les trouver m'a aidé à les oublier rapidement et à m'immerger plus facilement dans le récit.

Je vais tout de même vous parler de ceux qui m'ont le plus gênés ici.
Le premier est que j'ai trouvé qu'Ibrahim n'était en fait que l'excuse pour Max d'expliquer ses actions au lecteur. En fait en dehors de ça, il ne sert quasiment à rien. Sa présence dans la salle de commande ne se justifie absolument pas et est même contradictoire avec tout les règlements dont Max est pourtant très friand en temps normal. Il pourrait très bien être un autre membre lambda de l'équipage, ceux dont on n'entend jamais parler parce qu'il ne se passe rien autour d'eux.

Le récit est donc émaillé de "Explique moi Max, je ne comprend pas ce que tu es en train de faire et le vocabulaire utilisé", suivi de "Mais bien sur mon cher, voici ce qui va se passer ..."
Et j'ai trouvé ça très énervant, leur relation n'évolue pas un poil, le docteur ne comprend toujours pas plus à la fin qu'au début, il demande sans cesse des explications pour tout.

Le second point est le coté trop parfait de Max. Ce type est vraiment un génie sur tout les points, il a toujours LA bonne idée au bon moment, dans les pires situations, etc ...
Et du coup on a la liaison avec le point précédent, il passe donc le tome à expliquer ses points de génie ce qui donne l'impression qu'il est toujours en train de vanter le fait qu'il est bon et qu'il le sait Et bien sur, que les autres ne le sont pas, on ne rencontre personne qui est à son niveau, vu que le seul qui pourrait l'être est trop éloigné pour être vraiment inclut dans l'histoire. On est dont souvent confronté à l'imbécilité des autre commandants ce qui oblige Max à de nouveau prendre la main d'une façon ou d'une autre.

Bref, une fois mis de coté tout les défauts qui peuvent énerver, le reste m'a bien plu. L'ensemble se tient, et on n'a pas le temps de s'ennuyer.
Pour une fois je n'ai pas noté de sentiment de tome de "milieu de série" tellement il se passe d'événements importants et capitaux pour la suite.

Le fait d'ajouter aux problème interne un coté politique était une bonne idée. Ça rajoute de la profondeur au récit et ça nous sort un peu de la routine qui s'était installée dans le premier.
Au final j'ai tout de même passé un bon moment dans cette lecture, contrairement au premier et j'ai du coup bien envie de lire la suite, ce qui est un bon point étant donné ma réticence à donner sa chance à ce tome ci que j'avais à la fin du premier.


15.5/20
Lien : https://delivreenlivres.blog..
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C'est bourré de maladresses, mais qu'est-ce que c'est bien !

Malgré une traduction perfectible et une relecture qui l'est encore plus (je détaille en quoi dans la version complète de cette critique, sur mon blog), ainsi qu'une écriture de l'auteur qui est encore très loin d'être dépourvue de défauts (mais est en progrès), j'ai passé un excellent moment avec ce tome 2, vif, prenant et plein de tension dramatique. L'univers et les personnages s'étoffent, les enjeux de la guerre sans merci contre les Krags montent, et le final du cycle promet d'être aussi passionnant qu'explosif. C'est donc la preuve qu'on peut être conscient des défauts d'un livre (bien réels), mais pourtant le vivre intensément et, globalement, l'apprécier sincèrement.
Lien : https://lecultedapophis.word..
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Salut les Babelionautes
Je continue donc cette trilogie en numérique avec ce tome deux pas piqué des hannetons.
le seul bémol que je ressens vient de la presque invulnérabilité de Max Robichaux dans les affrontements spatiaux, dans la Saga Honor Harrington David Weber ne la rend pas invincible, elle essuie des pertes même si au final elle est victorieuse.
D'ailleurs c'est aussi un choix de Honsinger de ne pas avoir de spatiaux du sexe opposé, il s'en explique avec ce virus utilisé par les Krags qui a décimé la gent féminine.
Bref!! je vais attaquer le tome trois (toujours en numérique) en envisageant l'achat d'une liseuse car pour le moment je lis sur le PC.
Merci encore une fois a Frank Reichert pour la traduction.
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Ce second tome de la trilogie « de haut bord » a confirmé mon impression du premier. Par contre, petite aparté, « Rapprochement à gisement constant »… sérieusement, c'est quoi ce titre ?! Bon malgré cela, j'ai retrouvé avec plaisir Max Robichaux et ses équipiers du Cumberland.

Même si la ressemblance avec la Saga Honor Harrington est toujours présente, j'ai plus facilement réussi à m'en détacher avec ce tome, et à arrêter mes incessantes comparaisons de la fois précédente. Enfin la plupart du temps…

L'univers et les personnages s'enrichissent progressivement à travers ce tome. L'univers me plaît beaucoup, pour ce qui est des personnages je suis un peu plus mitigée. Certains sont assez caricaturaux, d'autres me laissent plutôt indifférente. Côté action, ce tome est très centré sur la guerre contre les Krags, il m'a paru plus rythmé avec plusieurs parties distinctes, pas mal d'actions pour un rendu bien construit et assez prenant.

Au final, un bon tome de space opera militaire comme je les aime. Une trilogie à découvrir pour les amateurs du genre.

Lien : http://raconte-moi.net/2018/..
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Les trois règles du comportement bureaucratique :
Règle numéro un : ne jamais se presser. Si d’aventure il vous arrive de vous acquitter d’une tâche trop précipitamment, on s’attendra à ce que vous fassiez aussi vite à l’avenir.
Règle numéro deux : ne jamais rien inaugurer. L’erreur est humaine, mais en commettre une qu’on n’a encore jamais rencontré incite les gens à se poser des questions sur vos facultés.
Règles numéro trois : il n’existe aucune erreur qui ne puisse être couverte par des documents adéquats en quantité suffisante. Une fois que tout s’est tassé, ce n’est pas ce que vous avez fait qui compte, mais ce que vous dites avoir fait.
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Les ordinateurs ne sont pas désorientés. On les induit en erreur. Le plus vieil adage de l’ère informatique, sans doute proféré quelques douze minutes et dix-neuf secondes après l’allumage du premier ordinateur était GIGO (Garbage in, garbage out – ordure à l’entrée, ordure à la sortie).
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Le mensonge fait partie de la guerre : on ment à l’ennemi, on ment à ses alliés, à ses subalternes, aux gens de l’arrière. On ne peut pas faire la guerre sans mentir, mons ami, et ces mensonges-là se servent comme des bourriches d’huîtres. La tromperie joue un rôle aussi important que le meurtre de l’ennemi.
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S’il peuvent rire, c’est que la peur n’est pas assez forte pour les empêcher de réfléchir. Et ils devraient toujours réfléchir.
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Quand on prend le temps de chercher des réponses aux questions que se pose votre cerveau, parce qu’il a décidé quelque part que c’était à ces questions que vous deviez répondre, on apprend un tas de choses intéressantes.
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Vidéo de H. Paul Honsinger
Beer or Coffee With the Author #1. How I became a military science fiction author.
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