Etudiant, je m'isolais avec une pile de journaux dans les jardins publics au lieu de bachoter. Bien vite, je me rendis compte que je privilégiais la lecture des éreintements. J'étais fasciné par l'idée que l'on puisse malmener certains livres, films, pièces, spectacles divers, avec autant de force et avoir une influence sur l'avenir d'une création. J'étais aussi très partagé. Quand, par exemple, le film était mauvais et qu'il était "descendu", je jubilais. Quand, pa... >Voir plus