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Alors si l'on prend la série comme elle se présente, c'est-à-dire des récits de destins de femmes, des histoires romancées, on passe un très bon moment de lecture, et on s'attachera volontiers aux personnages. Mais attention, ce n'est pas une lecture théologique ou religieuse. Ce n'est pas un volet de la bible ! Jamais l'auteur n'a eu la prétention d'écrire une interprétation du livre religieux. C'est juste une version au féminin. Marek Halter a utilisé les destins évoqués dans la bible et en a tissé un roman, a dressé des portraits de femmes, a brodé sur certains aspects ou détails pour rendre son récit encore plus passionnant.
De plus cet auteur n'a pas son pareil pour parler des femmes, il le fait avec justesse, parle de leur intimité, de leurs rêves, de leurs tourments... Chaque femme s'y retrouvera un peu dans ces héroïnes qu'il rend si humaines, si proches de nous.

Ce premier tome nous envoie donc à la rencontre d'une des premières et principales figures féminines de l'Ancien Testament, Sarah.

Avant de devenir la mère d'une nation, de la religion monothéiste, Sarah fut Saraï, la jeune fille de 12 ans que son père voulut marier de force… Son histoire nous transporte à une époque bien révolue, dans des pays orientaux, aux cultures et aux rites anciens. C'est un vrai roman dépaysant et plein de passion qui ne manquera pas de nous faire voyager dans le temps et dans les déserts du Moyen Orient. Pour les plus romantiques, vous serez servies !!!!

Saraï a douze ans lorsque elle saigne pour la première fois. Elle devient donc « épousable » et son père un puissant de la ville de Ur, va tout mettre en oeuvre pour préparer un mariage qui lui apportera les honneurs. C'est une jeune fille apeurée et mal dans son corps encore frêle qui est mise à nue comme un animal devant son futur époux. Terrorisée elle s'enfuie en courant du palais, laissant son fiancé et son père rouges de colère et de honte. Elle sera perdue, jusqu'au moment où un jeune garçon lui tend la main et lui vient en aide. Il est beau, il est bon, il ne la juge pas…Elle va pour la première fois de sa courte vie se sentir apaisée, en sécurité dans ses bras. Il s'appelle Abram mais n'a aucun droit sur elle. Ce n'est qu'un simple berger nomade. le lendemain de sa rencontre les soldats de Ur, retrouvent Saraï et la ramène auprès du courroux de son père. Pendant près de 8 ans elle vivra dans le doux souvenir d'Abram, et dans l'idée de pouvoir le retrouver un jour. Elle fera tout pour éviter un nouveau mariage forcé au risque de perturber à jamais son destin de femme…

Pas mal de personnes connaissent l'histoire, ils vont se retrouver, se marier, s'aimer, parcourir de nombreuses terres à la tête d'un peuple… mais n'arriveront pas à avoir d'enfant pendant de très longues années.

Marek Halter, brosse ici un roman très féminin et féministe. On retrouve les thèmes de la place de la femme, de la maternité, de la sexualité et de l'amour dans un couple. Tout sera abordé, l'adultère, la culpabilité, les reproches et les doutes, mais surtout le pardon et l'amour. Marek Halter propose une histoire essentiellement centrée sur l'amour, pleine de sensualité et de passion avec une pointe d'érotisme. j'ai été étonnée qu'un homme écrive sous cet angle très féminin! Et d'autant plus étonnée qu'il le fait très bien.

C'est une véritable fresque pour toutes les âmes romantiques qui aiment les belles histoires, les destins de femmes, les histoires d'amour pleine d'embûches.

J'ai dévoré les quelques 350 pages en un clin d'oeil, et vais de ce pas à la rencontre des autres femmes, des autres destins racontés si finement par la plume d'un auteur qui choisit ses mots avec beaucoup de précision, de finesse !
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marek halter nous raconte l histoire de Sarah qui va épousée Abraham et l,
accompagné sur les routes
d,Égypte. mais Abraham et promis par dieu a fondé un grand peuple, hélas Sarah va se révélée stérile,
alors elle va connaitre le mépris, la culpabilité, l,adultère. un roman d, aventures avec une pointe d, érotisme.👍
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Long, lourd, j'avais envie de mieux connaître cet auteur et je m'en mords les doigts.

C'est mignon, poétique, comme un conte trop long qui ne sait pas vraiment où il va et du coup, c'est un peu ennuyant. Les personnages restent toujours en retrait, pas moyen d'accrocher, de les trouver attachants, sympathiques et c'est triste car je sens qu'il ne manque qu'un petit chouia pour rendre le récit palpitant.

Et puis voilà, attendre la page 196 pour que l'histoire de Sarah et Abraham commence vraiment alors que le bouquin n'en fait que 345, c'est un peu broder sur une genèse qui n'existe pas. Je m'explique, dans la Bible, Sarah est la demi-soeur d'Abraham, ici, elle est une princesse mésopotamienne un peu trop gâtée il faut le dire et qui du coup n'en fait qu'à sa tête. Même si cela est assez intéressant et permet de découvrir les us et coutumes et surtout la religion du peuple mésopotamien à l'époque d'Abraham, ça ne sert qu'à faire des pages avant de commencer l'histoire…

Et l'Histoire, et bien, c'est celle reprise dans les sources religieuses principales avec quelques ajouts du cru de l'auteur. Pour faire court, Abraham et Sarah sont des personnages bibliques ; ce roman est plus un conte qui permet de se replonger dans les origines des différentes religions sans trop se casser la tête car rien ne vient vraiment expliquer les différents tableaux représentés dans le récit.

Il m'en reste deux à lire sur le thème de la Bible au féminin mais avant de m'y plonger, je vais faire une petite pause dans mes études théologiques et pourquoi pas ouvrir un petit livre rouge :-p
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Malgré une idée de départ intéressante, la Bible vue par ses personnages féminins pour nous changer un peu d'une longue de premiers rôles exclusivement masculins, je n'ai pas réussi à réellement apprécier ce roman, le premier de la série consacré, à Sarah, épouse d'Abraham.
Reconnaissons lui le plaisir de l'exotisme et du dépaysant, particulièrement au début car l'auteur fait le choix d'en faire la fille d'un puissant d'Ur.
Je doute grandement qu'on en sache réellement autant que cela sur la Mésopotamie et sa civilisation, mais tant pis, c'est au moins distrayant et dépaysant.
Ce que je reproche à ce livre, en fait, ce sont surtout ses thèmes. Est-ce que c'est parce qu'il a été écrit par un homme qu'il n'a pas su éviter cet écueil? Pour un roman qui prétend ramener un personnage féminin sur le devant dans la scène... La virginité de Sarah, l'impureté des menstruations, la beauté de Sarah désirée par Pharaon ou Loth, le ventre vide de Sarah alors que les autres femmes donnent des enfants à leurs maris....
D'accord, l'époque n'était pas particulièrement féministe, mais est-ce que c'est obligé de perpétuellement en revenir là, encore et encore et encore, faisant de cela les thèmes principaux du roman, et nous les rabâcher jusqu'à la nausée? Surtout pour le premier roman de la série! L'idée d'en faire à une partie de sa vie une prêtresse d'Ishtar, par exemple, cela aurait pu être traité de façon intéressante quand Abraham se pique de monothéisme, mais c'est évacué en un rien de temps, pour revenir à sa beauté et sa fertilité !
Le reste contient parfois de bonnes idées, ou de belles pages, mais rien qui puisse se hisser assez haut pour rattraper tout cela.
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Quelle magnifique façon de raconter ce que fut la vie de Sarah alors qu'on la connaissait encore sous le nom de Saraï.

Cette jeune femme tiraillée entre la soumission et la rébellion, choisira de renier sa famille et partir avec Abram (Abraham) un mar.Tu pour devenir son épouse.

Ainsi, nous vivons son évolution de vie et de caractère d'abord auprès de son père dans la ville d' Ur puis auprès d' Abram son époux.

Nous nous retrouvons tellement dans ce personnage que nous avons envie nous aussi d' hurler face aux injustices qu'elle subit et rire aux larmes dans ces moments de bonheurs.
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Dès que mon amie m'a eu parlé de cette saga sur les femmes de la Bible, j'ai eu envie de me plonger dans ce premier tome. Et je peux vous dire que, de fait, il n'est pas resté longtemps dans ma PAL !

Sarah est la femme d'Abraham, autrefois connus sous le nom de Saraï et Abram. Ce roman nous permet peut-être d'en savoir un peu plus sur ce personnage, cette femme qui vécut une vie difficile et pourtant si belle. Parce que Saraï n'a pas toujours été Sarah, qu'avant d'épouser Abram, elle a été une autre femme, et que sa vie ensuite avec lui n'est pas de tout repos. Parce que Saraï est belle, que le temps semble glisser sur elle sans altérer ses traits, et que son ventre reste plat… comment Abram pourrait-il prétendre à devenir le père d'une nouvelle nation si sa femme reste stérile ?

Franchement ? J'ai dévoré ce roman. D'abord parce qu'il se lit avec beaucoup de facilité, que la plume est fluide et parce qu'évidemment, je suis assez fan de tout ce qui touche à la Bible et qui me permet d'en apprendre un peu plus.

Sarah est un personnage de la Bible que j'aime beaucoup, et qui selon les écrits, a été longtemps stérile jusqu'à ce que le Seigneur décide d'ouvrir son sein et d'avoir un fils dans sa vieillesse. Je pensais que nous aurions droit à tout ceci dans le roman, mais Marek Halter a présenté d'autres points qui m'ont tout autant fascinée que fait réfléchir voire parfois rebutée.

Parce qu'il ne faut pas croire, à l'époque, le monothéisme n'était pas de rigueur. C'était plutôt le polythéisme qui était en vogue, avec plein de rites particuliers et une crainte des dieux mineurs assez impressionnante. C'est de là que Saraï et Abram viennent, bien que Saraï soit fille d'une famille puissante et Abram fils d'un ouvrier reconnu pour son talent mais tout de même classé dans les moins que rien. Et pourtant… ils vont se rencontrer. Et s'aimer, même s'ils ne se retrouveront que bien des années après leur première rencontre.

J'ai énormément apprécié que l'histoire de Saraï et Abram se fasse sous plusieurs évolutions, stades et même lieux. La conquête du monothéisme par ceux qui deviendront des Hébreux n'est pas tout facile et on porte un autre regard sur la foi qui naît, surtout que Saraï, elle, ne voit rien. Elle suit son mari, sans croire. C'est assez fou, tout de même. Et je suis persuadée qu'il y a d'autres manières de lire le roman que celle que j'ai eue, même si cette lecture me permet de porter un autre regard sur la Bible et sur ce pan de l'histoire biblique.

Il faut dire aussi que Saraï est une femme, parfaitement humaine, pleine de doutes, parfois de rancoeurs, de colère, d'espoirs et de tout un tourbillon d'émotions qu'on ne peut que comprendre. L'évolution de la foi se fait aussi à travers elle, difficilement mais avec une certaine intensité, quelque part. Cette femme si forte qui a suivi son coeur se retrouve quand même stérile, de son propre fait ou presque, et doit en assumer les conséquences. Elle doit faire face à de nombreuses épreuves et franchement, pour ceux qui voient de quoi je parle, le fait qu'elle donne Hagar à Abram, j'avoue que… on a aussi mal qu'elle. Déjà, quand on le lit dans la Bible, c'est pas drôle, mais alors là, la façon dont Marek Halter le met en scène est tout simplement… ça vous prend aux tripes !

Un autre élément qui est juste extraordinaire à mes yeux en dehors du fait que l'on suive Saraï et qu'on apprécie à fond ce personnage qui n'a rien de parfait mais qui nous transporte, c'est le contexte. La notion historique de ce roman. J'en ai appris, des trucs ! Sur la naissance du monothéisme, d'accord, mais surtout sur les pratiques à l'époque ! On passe un temps considérable avec Saraï avant qu'elle ne se retrouve avec Abram, et les coutumes de l'époque sont aussi intéressantes que… brr, repoussantes, parfois. Néanmoins, du coup, on voit d'autant mieux l'évolution voire le caractère prodigieux de l'histoire de Saraï et Abram.

Enfin, il me faut quand même parler de la plume de Marek Halter. Je suis épatée, parce qu'il a réussi à mes yeux à générer une sorte d'intrigue qui vous donne envie d'en savoir plus, comme dans tout roman de fiction, mais avec ce petit quelque chose qui vous rappelle aussi justement cette sagesse que l'on peut sentir dans les registres bibliques. Là, on le comprend parce que c'est comme si Sarah nous racontait son histoire, au crépuscule de sa vie. Il y a un recul très touchant et férocement poignant. Enfin bref, je suis conquise sur bien des points et j'espère que d'autres lecteurs le seront aussi !

En conclusion, je dois dire que ce roman est une excellente découverte et que j'ai hâte d'enchaîner avec la suite ainsi que les deux autres romans de cet auteur. J'ai découvert un pan de l'histoire biblique à travers les yeux de Sarah, une héroïne pleine de sentiments (qu'ils soient bénéfiques ou néfastes), courageuse mais tellement faible aussi, j'en aurai appris plus tout en me laissant transporter par ce récit qui aura été presque addictif. Très accessible, avec une plume agréable et surprenante, c'est une mise en lumière que je recommande /à tous, que vous ayez lu la Bible ou non !
Ce sera un 18/20 pour moi et j'ai hâte de me plonger dans la suite !
Lien : http://leden-des-reves.blogs..
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Et voilà un roman comme je les aime, de l'amour, de l'action, de la trahison, de grands destins et du voyage !
Saraï, fille d'une puissante famille d'Ur est destinée à épouser un homme choisit par son père. Prise de panique lors de leur première rencontre, elle fuira le palais et sa vie aisée pour échapper à son destin. Cette nuit là, elle rencontrera Abram, un mar.Tu, fils cadet d'une famille de bergers allant de pâturages en pâturages pour faire croître leurs troupeaux. le coup de coeur est immédiat et réciproque, pourtant, Saraï sera retrouvée par les soldats de la ville d'Ur et ramenée chez son père.
Après un isolement forcé, elle tente d'échapper à nouveau au mariage en ingurgitant des potions qui la rendront stérile. Dès lors, son avenir est clair, ne pouvant être une épouse, elle sera Saraï, Sainte Servante du Sang. C'est alors qu'elle retrouvera Abram et décidera de le suivre pour devenir Sarah, épouse d'Abraham.
A la recherche de la terre promise, nous les suivront dans leur périple jusqu'en Egypte, guidé par la voie du Dieu unique. Jalousie, adultère, trahison, tout ce qui fait que ce roman est pour moi plus connoté « femmes » mais il est extrêmement bien écrit et le destin de cette femme est tout simplement extraordinaire. A lire et à relire.
Sarah est le premier tome de la trilogie « la Bible au Féminin ». Il va de soi que je vais lire les deux tomes suivants.
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Roman qui raconte la vie de Sarah, épouse de Abraham. La vie des nomades, les moutons, les campements,les traversées du désert, la soif, la Terre Promise.
Très intéressant et passionant comme récit. On revit l'époque d'il y a plus de 4000 ans.
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Ce livre m'a laissé un arrière-goût assez mitigé, voire déçu. Je suis d'ailleurs allée lire les passages de la Bible qui concernent Abraham et Sarah pour connaître les ajouts de l'auteur et essayer de mieux comprendre son message et quelle part a été laissée à l'imagination. J'ai d'ailleurs trouvé intéressant ce qu'il a rajouté (l'appartenance de Sarah à une grande famille d'Ur et son appartenance aux prêtresses d'Ishtar) et ce qu'il a gardé (le fait que Abraham et Sarah s'appellent Abram et Saraï avant d'être béni par Yahvé).
D'un côté j'ai bien aimé les évocations de la vie à Ur au début du roman, de celle en Egypte ou de la vie nomade des hébreux. L'auteur rend bien toute la vision magique, superstitieuse et religieuse de la vie dans ces sociétés. La splendeur des jardins et de la Ziggourat d'Ur, l'utilisation de l'écriture, le rôle des augures et des prêtres... Tout nous plonge dans une Antiquité mésopotamienne fantasmée. Mais alors que l'intérêt des personnages résident bien dans l'émergence d'une nouvelle religion au milieu de ces religions polythéistes et d'une assurance pour être capable de renverser ce qui existe et ce que les personnages connaissent, le rôle de Sarah reste cantonné à un rôle de femme désirable ou féconde.
C'est d'ailleurs l'aspect qui m'a laissé le plus sceptique: cette érotisation constante du personnage de Sarah, que ce soit à travers son image de femme la plus belle du monde et la plus désirable, ou à travers son incapacité à devenir mère, qui est la seule ambition qui l'anime (alors qu'elle se retrouve quand même à la tête d'un clan de plusieurs milliers de personnes qui a le courage de renier ses dieux ancestraux, elle ne semble ne penser ni à la gestion ni au bonheur de tous ces gens). Quand sur le résumé, on parle de femme la plus moderne de la Bible, j'ai du mal à le voir dans le livre. Et je n'arrive pas à y lire non plus qu'une critique de ce regard porté sur les femmes par les hommes de l'époque en Mésopotamie. Ce traitement érotique m'a rendu la lecture assez pénible d'ailleurs (je me disais: “non, pas encore!”) et j'ai eu du mal à finir le livre alors que la fin est assez intéressante sur le traitement de la jalousie (mais qui reste plus classique et beaucoup plus proche de la bible). Je n'ai pas du tout aimé le traitement du personnage de Loth non plus.
Dans l'ensemble, je testerai un second livre pour voir si j'y retrouve ce traitement étonnant de la femme, ou s'il était réservé à Sarah, plus “belle femme du monde” et servant donc bien un message.
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"derrière chaque grand homme se cache une femme". Ou plutôt derrière chaque grand homme se cache une grande femme ! Et c'est une femme forte, courageuse et pleine de caractère que Marek Halter nous présente dans ce Tome 1 des femmes de la Bible.

C'est un magnifique roman qui se lit d'une traite. Il nous parle de Sarai femme d'Abram.
Je pense qu'il faut prendre cette lecture au second degré. En tout cas c'est ainsi que je l'ai abordé car, malgré le fait d'être emportée dans l'histoire, j'ai tout de même beaucoup de mal à croire que cette femme soit tombée enceinte à la fin de sa vie. Tout comme j'ai du mal à croire que son mari était guidé par une voix divine. Mais c'est tout personnel et chacun en fera ce qu'il veut.
Néanmoins, l'histoire est belle, la plume haletante. Je remercie encore Valérie, babélionaute, pour son échange, ce qui m'a permis de découvrir cet ouvrage et j'ai hâte de me procurer les tomes suivants.
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