Lorsque des invitations VIP commencent à arriver chez Nancy Stern, jeune institutrice New-yorkaise, c'est la stupéfaction .
Mais rapidement : compréhension …
Une autre Nancy Stern vient d'élire domicile dans l'immeuble ( l' appartement toit terrasse) . Journaliste chargée d'interviewer des célébrités, elle est stylée, possède des air-bags de compétition et sa vie fait rêver la première jusqu'au jour où, "Nancy-l'instit' , prend la place de la deuxième lors d'un dîner avec un homme .
Usurpation …
Et très vite ♫ Satisfaction ♫…
Ça commence comme un roman de chick-lit , ( l'héroïne/ trentenaire /divorcée/ célibataire faisant une grosse bêtise ) mais très vite cela s'oriente vers quelque chose de beaucoup plus complexe , un gentil roman policier. C'est sympathique mais l'auteur "courant plusieurs lièvres" s'éparpille un peu. C'est une relecture de ma part, je me souvenais très bien du pitch de départ et pas du tout du milieu , ni de la fin. Je comprend pourquoi : j'ai retenu ce qui me plaisait le plus…
Un roman sympathique dont j'oublierai probablement encore la fin...
Commenter  J’apprécie         410
Ce petit roman sans grande prétention tient une place particulière dans mon coeur. C'est un des premiers du genre que j'ai découvert, adolescente. Et je ne me lasse pas de le relire.
Petite bouffée d'humour dans cette histoire d'amour un peu loufoque, qui repose sur des mensonges. Que ne serait-on pas capable de faire pour pouvoir vivre la vie d'une autre ?
Donc, voilà Nancy Stern, petite institutrice somme toute très banale, qui découvre qu'une homonyme vit à la même adresse. Petit à petit, elle se prend à vouloir entrer dans ses pompes, puisque tout semble réussir à la jeune journaliste mondaine.
Alors, quand un homme charmant l'appelle, la prenant pour son double, Nancy accepte le rendez-vous. La voilà vite lancée à corps perdu dans une relation qui la dépasse complètement. Entre sentiments et mensonges, Nancy s'enlise peu à peu, avec pour seule question : quand tout cela lui éclatera-t-il en pleine face ?
Humour, amour et petite enquête policière sont réunis ici pour faire un petit cocktail sympathique.
Commenter  J’apprécie         20
un livre parfait pour un dimanche pluvieux . Distrayant , étonnant et plaisant .
Commenter  J’apprécie         70
Un petit roman comme je les aime en général : polar, humour et amour. Cela se laisse lire mais cela aurait pu être beaucoup plus délirant ....
Commenter  J’apprécie         40
J'ai beaucoup aimé ce livre, il est plein d'humour et on se prends souvent de compassion pour Nancy, le personnage principal. Cependant j'ai trouvé certains passages assez longs et ennuyants à lire parfois.
Commenter  J’apprécie         10
Bill a fait des merveilles. Et, à en juger par le nombre de "oh, oui" et de "c'est bon" qu'il a grognés, je me suis plutôt bien défendue aussi. Ce qui est sûr, c'est que mon lit n'avait pas connu une telle activité depuis que les livreurs de La Maison du Matelas étaient venus installer mon nouveau sommier.
Peut-être n’avais-je pas d’amoureux parce que je n’étais pas prête pour une relation durable. Peut-être aussi étais-je trop difficile (mais est-ce trop demander d’un homme qu’il ne se perce pas les tétons ?). Peut-être enfin que, à l’instar de millions de femmes célibataires, je n’avais personne dans ma vie à cause de ce phénomène que j’associe à celui des magasins d’usine : trop de stock ! Surplus de marchandises ! Oui, peut-être étais-je seule simplement parce qu’il y avait trop de femmes célibataires sur le marché et que je n’avais pas l’énergie suffisante pour sortir du lot, contrairement à ma meilleure amie, Janice Mason, institutrice elle aussi et véritable pile Wonder dès qu’il s’agissait de chasser le mâle
Moi, ce qui me plaît, c’est de pouvoir sauter dans un avion n’importe quand, de voyager à travers le monde, d’élargir mes horizons, de rencontrer des gens intéressants. Rien que l’idée d’enseigner en maternelle… Heureusement qu’il y a des gens comme vous, qui considèrent que la compagnie de mômes de quatre ans est stimulante.
Pour eux, fréquenter la bonne maternelle garantit l’entrée dans la bonne école privée, qui garantit ensuite l’admission à la bonne université, dans la mesure où l’enfant ne fait pas de bêtise majeure, comme avoir des idées à lui, par exemple. En tant qu’enseignante, j’essaie toujours, avec autant de diplomatie que possible, de les dissuader de faire des projets à si long terme et de les convaincre d’arrêter de conditionner leur enfant, pour s’intéresser plutôt à ses progrès au jour le jour. Parfois, j’y arrive. Parfois, non.
Certains disent que dans un couple, il y en a toujours un qui aime plus que l’autre, un qui adore et l’autre qui est adoré. Bon. Alors, disons que pendant six ans, j’ai adoré John Stern et que j’étais tellement occupée à lui dire : « Je t’aime », à lui demander : « Tu as passé une bonne journée ? » et : « Ça te fait du bien quand je mets ma main là ? » que je n’ai pas remarqué qu’il ne m’adorait pas en retour. Enfin, j’ai tout de même fini par m’en rendre compte.