Ce cinquième album de la série parallèle Premières armes, met un terme au cycle initié avec Baptême du feu et semble également mettre un terme aux aventures du jeune Alpha avant son entrée à la CIA.
Les quarante-huit pages qui nous sont proposées ici sont, une nouvelle fois, bien remplies. Alpha va devoir collaborer avec Eastman pour faire tomber l'organisation Hyèna, tout en sachant pertinemment que la CIA suit ses propres objectifs est n'est pas forcément décidée à jouer franc jeu.
Alpha va d'abord devoir ronger son frein, digérer les événements de Nice, avant d'être confronté à l'organisation qui a décidé d'organiser un sommet, dans une petite ville italienne. Cette partie est déjà intéressante, très rythmée. Elle cédera la place à une deuxième partie, qui comme le laisse supposer la première de couverture se déroulera en Afrique.
Cette dernière partie est de beauté, il s'agit vraiment d'un safari, un peu particulier, certes. En tous cas, les planches particulièrement réussies vont se succéder les unes aux autres, nous laissant là à rêver avec des paysages magnifiques.
Voici une série qui semble-t-il s'achève sur un album particulièrement réussi. Premières Armes reste une série à découvrir !
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Le jeune Alpha, futur agent de la CIA, poursuit sa vengeance contre les dirigeants de l'organisation de trafic d'armes Hyéna. Les agents de la CIA le laissent faire : autant qu'il se salisse les mains pour leur compte.
Mais pour tenter de prendre d'un coup les principaux chefs de l'organisation, l'agence va devoir apporter un fort soutien à cette tête brûlée. Dans les Cinqueterre en Italie tout d'abord, puis en Afrique. Alpha n'en sortira pas satisfait des écarts à sa droiture naturelle.
Cet album est un flot d'action non stop. L'intrigue est moins écartelée et plus lisible que dans le tome précédent. Reste que le scénario rejoint le niveau de beaucoup de séries télé actuelles. de l'action, encore de l'action… le lecteur suivra – ou pas ?
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Ce tome conclut ce cycle d'une belle manière. Le talent d'Herzet permet d'avoir un récit qui nous tient en haleine jusqu'à ce rendez vous où les hyènes vont boire.
Lire la critique sur le site : Sceneario