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3,67

sur 1442 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je pensais avoir dans les main l'événement littéraire de l'année 2022 en fait j'ai lu un flop littéraire.
Houellebecq doit connaitre du monde pour avoir des critiques aussi élogieuses.
Paul un chef de cabinet insignifiant mais super raccord avec son ministre des finances Bruno (qui ressemble à notre Lemaire ça appâte non ?)
Il y a bien quelques attentats à gérer (facile on n' en entend plus parler au bout de 300 pages
Il y a bien l'élection présidentiel de 2027 (et oui Assimov prend garde) mais on l'oublie également après 450 pages.
Ne reste que Paul et sa famille qui ont des soucis relationnels, de santé et de sexe
une intrigue donc banale qui se traine en longueur.
ça aise à fond sur la fin mais sans description vraiment bandante.

Finalement reste un lancement littéraire bien mené pour une opération financière de premier ordre.
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Impossible à mon étonnement de terminer ce Houellebecq. J'avais adoré les " Particules élémentaires" et " La possibilité d'une île" mais là, je n'ai pas réussi à rentrer dans le texte.
A reprendre peut être dans quelques années. le style littéraire est toujours aussi excellent.
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Mon premier est probablement le dernier Houellebecq. Comme le titre l'indique, les 730 pages nous anéantissent. Après les 200 premières, l'espoir d'une histoire ficelée apparait enfin. Mais ce mirage n'est qu'illusion, je regrette pas la lecture mais elle n'apporte que peu de plaisir et peu de réflexion. Bref des intrigues en forme d'impasse, des protagonistes aux parcours de vie parallèles sans interaction qui pourrait sublimer l'histoire. Déçu le thème principal aurait plus être beaucoup mieux servi avec une histoire plus aboutie. Je comprends désormais pourquoi l'auteur et aussi clivant
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Un roman vaguement distrayant par moment mais la plupart du temps totalement creux et ennuyeux. Est-ce une mise en abyme ? La platitude est peut-être revendiquée comme un style par un auteur pour le coup totalement houellebecquien ( sic ) se moquant de ses lecteurs et de l'absurdité qu'il y a à s'infliger une lecture pareille. J'ai retenu que les gens de gauche sont méchants et les identitaires plutôt conviviaux. le Dacia Duster est une bonne voiture adaptée à son usage de déplaçoir à classes moyennes peri-urbaines ( et en voie de paupérisation ). Mention spéciale pour les scènes de sexe totalement débandantes. Cela dit c'est de loin le meilleur auteur de la scène litteraire française.
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J'ai toujours apprécié le regard que Houellebecq porte sur les hommes ordinaires, frustrés et désenchantés. Des personnages peinant à s'extraire de leur déterminisme culturel pour s'élever au dessus des contingences de leur existence et trouver un peu de bonheur.
Dans cette veine, il a écrit de très bons romans, audacieux, irrévérents et plein d'intelligence, même si Sérotonine, l'avant-dernier, commençait à patiner.
Alors que dire des 730 pages d'Anéantir, sa dernière livraison?
Eh bien, après deux premiers chapitres en forme d'intéressant teasing sur un mouvement terroriste menaçant la planète, on s'abime dans les méandres de la vie du personnage principal, Paul Raison, haut fonctionnaire particulièrement terne du ministère des finances.
Dire que l'on s'ennuie ferme à la lecture de la vie affligeante de Paul et de ses proches est un euphémisme. Ce récit familial étouffant de conformisme distille un néant intellectuel profond. Sans parler des femmes qui, comme dab, en prennent pour leur grade.
Oubliées l'impertinence et les géniales saillies du maître de l'incorrect. Houellebecq aurait-il décidé de raccrocher les gants et de chausser des charentaises ?
A vous de juger.
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Il est difficile de noter ce livre que je n'ai pas réussi à finir. Je n'avais jamas lu de Houellebecq. Autant j'ai aimé sa plume, autant je n'ai pas réussi à dépasser les 100 pages fatidiques... J'ai trouvé le tout plat et long alors que le début avait l'air prometteur... Dommage!
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Certes ce roman est long, riche, et tend un miroir juste. Mais on est plongé dans une atmosphère glauque du début à la fin, qui en rend vraiment pénible la lecture. Sexe, alcool, AVC, Ehpad, chimiothérapie, on demande grâce, car il y a peu de passages qui font rire dans cette série de cauchemars, qui est tellement chargée qu'on ne s'émeut plus. Et ce qui est déroutant, c'est qu'il y avait matière à au moins 5 ou 6 romans, tous ébauchés, et on bifurque d'un sous-genre à l'autre, titubant comme des gens ivres...
Cependant, ce qui réconforte, ce sont les vers de Corneille, les évocations de Rousseau, de Pascal, qui apportent une vraie bouffée d'air pur : la littérature sauve !
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Je me demande si il y aura une suite à ce roman, parce que franchement on reste sur sa faim. Sans dévoiler la dernière partie du roman, je le déconseille aux personnes hypocondriaques. J'ai dû lire deux nouvelles de Keneth Cook pour passer à un univers plus gai. Les trois premiers quarts du roman sont bien écrits, avec des personnages intéressants et bien dépeints.
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