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3,67

sur 1442 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Impossible à mon étonnement de terminer ce Houellebecq. J'avais adoré les " Particules élémentaires" et " La possibilité d'une île" mais là, je n'ai pas réussi à rentrer dans le texte.
A reprendre peut être dans quelques années. le style littéraire est toujours aussi excellent.
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Mon premier est probablement le dernier Houellebecq. Comme le titre l'indique, les 730 pages nous anéantissent. Après les 200 premières, l'espoir d'une histoire ficelée apparait enfin. Mais ce mirage n'est qu'illusion, je regrette pas la lecture mais elle n'apporte que peu de plaisir et peu de réflexion. Bref des intrigues en forme d'impasse, des protagonistes aux parcours de vie parallèles sans interaction qui pourrait sublimer l'histoire. Déçu le thème principal aurait plus être beaucoup mieux servi avec une histoire plus aboutie. Je comprends désormais pourquoi l'auteur et aussi clivant
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J'en suis arrivé à peu près au tiers du livre. J'arrête là. C'est la première fois que je suis déçu par un roman de Michel Houellebecq. J'apprécie peut-être un peu moins son regard désabusé et cynique sur la société. Et surtout je suis passé à côté de cette histoire de famille. Je sens bien où il veut en venir avec le père dans le coma et sa prise en charge aléatoire dans les différentes institutions. Les sociétés modernes ne savent pas quoi faire de leurs vieux. C'est la fin d'une certaine société traditionnelle où toutes les générations vivaient sous le même toit. Alors oui, nous vivons certaines pertes de valeurs. Mais ce n'est pas ce qui constitue pour autant la fin de l'humanité, ni même celle de l'Occident. Par ailleurs, je supporte de moins en moins ses réflexions sur les Arabes et les Noirs.
Parallèlement à ce livre je lis « Croire aux forces de l'esprit » de Marie de Hennezel où elle évoque ses entretiens avec François Mitterrand qu'elle accompagnera jusqu'à la mort. C'est également un livre sur la fin de vie mais tellement riche, tellement centré sur la spiritualité, ce qui rend la vision de Houellebecq tellement outrancière et réductrice à la peinture d'un certain climat social. Et puis j'avoue être en ce moment dans une recherche spirituelle qui m'amène à appréhender d'autres valeurs, plus positives. Je crois que je vais arrêter de lire les romans de Houellebecq pour un temps.
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Malgré mes réticences (une certaine antipathie pour le personnage public de l'auteur) et sur l'insistance d'une amie, (tu verras, ça va te plaire...) j'ai entrepris la lecture de ce pavé. Bonne surprise, belle écriture , plutôt caustique, ce qui n'est pas pour me déplaire. Et puis, demeurant dans le triangle d'or Moulin à vent -Julienas -St Amour, j'ai trouvé plaisant de retrouver ces paysages familiers, si souvent contemplés et arpentés. Les personnages, eux sont caricaturaux à souhait et on navigue entre les fantasmes érotiques, les préoccupations incertaines et les divagations plus ou moins rêvées du personnage central. Celui-ci s'ennuie dans sa vie très parisienne. Il s'ennuie si bien, que j'ai fini par m'ennuyer avec lui... assez vite d'ailleurs, car ayant commencé ma lecture début juillet, je n'en suis qu'à la moitié et suis allée musarder ailleurs. Vais je persévérer ? J'en doute...
Je serais bien en peine de mettre une note quelconque. J'ai bien compris que pour certains c'est un chef-d'oeuvre de littérature contemporaine, une peinture parfaite de notre société et de la dégénérescence de la classe politique... pour moi, c'est à des années lumières de ce qui me touche et de ce qui m'importe, ici, au fin fond de ma campagne.
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Il est difficile de noter ce livre que je n'ai pas réussi à finir. Je n'avais jamas lu de Houellebecq. Autant j'ai aimé sa plume, autant je n'ai pas réussi à dépasser les 100 pages fatidiques... J'ai trouvé le tout plat et long alors que le début avait l'air prometteur... Dommage!
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Un roman vaguement distrayant par moment mais la plupart du temps totalement creux et ennuyeux. Est-ce une mise en abyme ? La platitude est peut-être revendiquée comme un style par un auteur pour le coup totalement houellebecquien ( sic ) se moquant de ses lecteurs et de l'absurdité qu'il y a à s'infliger une lecture pareille. J'ai retenu que les gens de gauche sont méchants et les identitaires plutôt conviviaux. le Dacia Duster est une bonne voiture adaptée à son usage de déplaçoir à classes moyennes peri-urbaines ( et en voie de paupérisation ). Mention spéciale pour les scènes de sexe totalement débandantes. Cela dit c'est de loin le meilleur auteur de la scène litteraire française.
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Certes ce roman est long, riche, et tend un miroir juste. Mais on est plongé dans une atmosphère glauque du début à la fin, qui en rend vraiment pénible la lecture. Sexe, alcool, AVC, Ehpad, chimiothérapie, on demande grâce, car il y a peu de passages qui font rire dans cette série de cauchemars, qui est tellement chargée qu'on ne s'émeut plus. Et ce qui est déroutant, c'est qu'il y avait matière à au moins 5 ou 6 romans, tous ébauchés, et on bifurque d'un sous-genre à l'autre, titubant comme des gens ivres...
Cependant, ce qui réconforte, ce sont les vers de Corneille, les évocations de Rousseau, de Pascal, qui apportent une vraie bouffée d'air pur : la littérature sauve !
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Je me demande si il y aura une suite à ce roman, parce que franchement on reste sur sa faim. Sans dévoiler la dernière partie du roman, je le déconseille aux personnes hypocondriaques. J'ai dû lire deux nouvelles de Keneth Cook pour passer à un univers plus gai. Les trois premiers quarts du roman sont bien écrits, avec des personnages intéressants et bien dépeints.
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Tout ça pour ça, est-on tenté de se dire une fois le livre terminé. La promesse d'un brûlot sulfureux n'est aucunement tenue : l'auteur brouille les pistes en nous faisant croire au début à un thriller politique, à une fiction d'anticipation pour nous révéler ses conjectures du prochain quinquennat, une immersion dans les coulisses du pouvoir, une réflexion sur la France de demain. Il n'en est rien, ou si peu : au lieu de cela, le livre parle de la mort (mais la mort individuelle), de la fin de vie, de la dépendance, du cancer, du suicide... Médicalement très documenté, le roman dégage cependant une froideur technique qui fait que l'on ne parvient pas à ressentir d'empathie pour ses personnages. Dommage.
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Pas bien intéressant, ce nouvel Houellebecq ; je dirais même plus : quel ennui ! Quelques traits d'humour, des traits d'esprit, mais bien peu d'implication dramatique ou esthétique pour le lecteur ; ennui et vacuité caractérisent des personnages déprimants et déprimés. Bof.
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