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Trees tome 2 sur 3
EAN : 9782365778862
144 pages
Urban Comics Editions (28/10/2016)
3.29/5   24 notes
Résumé :
Le monde tel que nous le connaissions a disparu. Depuis que ces structures extra-terrestres se sont installées sur la surface du globe, l'humanité tout entière vit au rythme végétal de leur présence, sans véritablement savoir à quoi s'attendre. Suite aux événements survenus à la station arctique de Blindhail, on ignore encore tout de la nature de cette invasion extraterrestre. Ces Arbres seraient-ils une avant-garde, endormie en attendant une intervention de plus gr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Ce tome fait suite à Trees, tome 1 (épisodes 1 à 8) qu'il faut impérativement avoir lu avant. Il comprend les épisodes 9 à 14, initialement parus en 2015/2016, écrits par Warren Ellis, dessinés et encrés par Jason Howard, avec une mise en couleurs également réalisée par Jason Howard.

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- ATTENTION - Ce commentaire dévoile des points de l'intrigue du premier tome. -

Le récit commence plusieurs semaines après la fin du premier tome. le cadavre du docteur Marsh (un des membres de la station scientifique Blindhail de Spitzberg en Norvège, sur l'île de Svalbard) se retrouve au fond de l'océan. Il est rapidement colonisé par les fleurs noires, surnommées coquelicots de Blindhail. Il aura fallu plusieurs semaines à Jo Creasy pour se remettre de l'accident d'hélicoptère, survenu lors de l'évacuation de la base de Blindhail. Quelques jours après être de retour chez elle, elle est convoquée à Londres par Ridley Calderwood, un membre permanent du cabinet du secrétaire d'état à la sécurité intérieure. Sur le chemin, son bus est détourné de son itinéraire, suite à une explosion dans une rue. Calderwood lui propose de l'envoyer en mission dans les Orcades (Orkney), au frais du gouvernement, sur le site de l'Arbre qui s'est implanté là-bas.

Il y a 11 ans, les Arbres arrivaient en provenance de l'espace et s'implantaient sur Terre, en prenant racine sur des sites disséminés à la surface du globe. L'implantation de celui de New York causa des lames de fond, entraînant la mort de dizaines de milliers de newyorkais et une gestion de la crise par la police, très critiquée. Vince, le maire élu devant prendre ses fonctions d'ici quelques jours, fait regarder des images d'archive de cette catastrophe au Préfet de Police (commissioner, son nom n'est pas donné). Il propose au Préfet de rester en place, alors que généralement l'alternance est de mise, car c'est le maire qui le nomme. le Préfet accepte car il y voit la perspective d'effectuer le plus long mandant de l'histoire de la ville, dans ce poste. Vince en rend compte ensuite à Del, son chef de cabinet.

Dans le premier tome, Warren Ellis emmenait le lecteur suivre la vie de quatre individus à proximité de quatre Arbres différents : dans la cité de Chu en Chine, dans la base scientifique de Blindhail en Norvège, sur l'île de Cefalù en Sicile, et à Mogadishu en Somalie. La fin du dernier épisode remettait en cause les personnages principaux d'une manière drastique, laissant le lecteur dans l'expectative quant à la direction du récit pour le tome suivant. Par la force des choses, il s'est opéré un glissement dans les personnages principaux, le lecteur suivant 2 fils narratifs : (1) la mission de Jo Creasy dans les Orcades, (2) les manigances et manipulations de Vince, le futur maire de New York. le premier fil narratif apparaît logique et dans la continuité directe du tome précédent. Il était apparu des fleurs ressemblant à des coquelicots noirs autour de la base de Blindhail, qui étaient en fait des capteurs lâchés par l'Arbre. le gouvernement des États-Unis s'inquiète de savoir si d'autres Arbres ont lâché de tels dispositifs. Jo Creasy est une jeune femme avec la tête sur les épaules, réfléchissant à ce qu'elle fait, à ce qu'elle observe, et essayant de comprendre comment elle est vraisemblablement manipulée par Ridley Calderwood. Warren Ellis lui donne une personnalité affirmée, avec une bonne perspicacité. Il s'amuse à la confronter à l'équipe de chercheurs en place sur l'île de l'Arbre dans les Orcades. le lecteur sourit en voyant cette femme de la ville tester son réseau téléphonique, comme si elle venait de débarquer au bout du monde dans un endroit à peine civilisé. Il sourit encore quand elle se fait gentiment rembarrer par le docteur Ian Greenaway (archéologue) pour ses a priori basés sur des archétypes.

Le deuxième fil narratif est plus inattendu. Vince (le futur maire de New York) et del apparaissaient bien dans le premier tome, mais juste le temps de quelques pages et pas dans tous les épisodes. Ce fil narratif est l'occasion de revenir sur la catastrophe engendrée par l'implantation d'un Arbre à New York, ainsi que sur les objectifs réels de Vince. le lecteur regarde les reportages sur l'arrivée de l'Arbre, en même temps que le Préfet et le futur maire, mesurant les dégâts occasionnés, l'Arbre semblant n'avoir aucune conscience de la présence d'individus dotés de conscience, ou d'une civilisation. Lorsque le maire circule en canot à moteur dans les canaux de New York (les rues qui ont été immergées), il constate également l'état de délabrement de certains quartiers, ainsi que les conséquences de la violence exercée par les gangs. Ce nouveau fil narratif surprend un peu au départ, mais il représente un bon tiers de ce volume. Warren Ellis y développe des thèmes comme la corruption, les tractations officieuses et les choix lors d'une opération de police de grande envergure.

Warren Ellis met en scène des personnages qui accomplissent des actions pour atteindre leurs objectifs, ou dans le cadre de l'exercice de leur métier. En tant qu'individus autonomes, ils échangent avec les gens qui les entourent, et parlent parfois de sujets connexes. Certaines réflexions reflètent leur culture, c'est ainsi que le lecteur découvre des références à Parliament & Funkadelic (2 groupes de George Clinton) ou à Bobby Seale, le co-fondateur du Black Panther Party. L'atterrissage de l'avion emmenant Jo Creasy aux Orcades est l'occasion d'évoquer une particularité intrigante sur le mode opératoire pour s'assurer que les pneus accrochent bien au tarmac. Il est également question des premiers sites culturels de l'humanité. Warren Ellis prend son lecteur au dépourvu en évoquant la stratégie de communication des gouvernements, et la nécessité de pratiquer la rétention d'information pour éviter les mouvements de panique. Il prend un exemple dont il est bien difficile de savoir s'il est réel ou non (une confusion entre les termes pédophile et pédiatre), et le transpose à la situation de Jo Creasy (avec une confusion entre un coquelicot et une pensée des jardins). Non seulement, le scénariste se montre convaincant quant à la dangerosité d'informations non maîtrisées, mais en plus il rétablit l'importance du savoir et des experts.

Jason Howard réalise des dessins dans la même veine que pour le premier tome, en particulier avec des traits de contours un peu cassants, et de fines hachures pour marquer la texture des surfaces. Cela donne une vision de la réalité, un peu abrasive et un peu usée. Comme dans le premier tome, Warren Ellis se repose entièrement sur lui pour plusieurs scènes d'action, ou même simplement descriptives. Ainsi les 4 premières pages sont muettes, pour montrer le cadavre qui s'enfonce dans l'eau, avant d'être colonisé par les fleurs. La narration visuelle est impeccable, compréhensible au premier coup d'oeil. Toujours dans l'épisode d'ouverture, le dessinateur réalise 5 pages dépourvues de texte pour décrire l'arrivée de l'Arbre en plein coeur de New York. le défi est de taille pour donner de la crédibilité à cette catastrophe, pour montrer l'ampleur de la destruction, pour convaincre le lecteur que les pauvres newyorkais n'avaient aucune chance. Avec des dessins secs, un peu simplifiés, Jason Howard atteint l'objectif qui lui est assigné, alors même qu'aucun mot ne vient souligner la force de l'impact, ou commenter sur la brutalité de cet enracinement. Qui plus est, le lecteur n'a pas l'impression de parcourir une énième scène de destruction massive, prête à l'emploi, ou pleine de clichés de cinéma catastrophe à gros budget.

Il y a régulièrement des scènes dépourvues de texte où tout repose sur les images. L'artiste impressionne par la rigueur de sa narration et par l'efficacité de ses cases. Il réussit l'arrivée de Jo Creasy dans l'île des Orcades, où le lecteur a l'impression de découvrir le paysage comme elle le voit en regardant par la fenêtre de la voiture. Il s'avère aussi à l'aise pour une sortie en canot à moteur dans les canaux de New York, montrant l'état de délabrement des immeubles du secteur concerné, les bâtisses faites de bric et de broc, la vision macabre d'un cadavre flottant entre deux eaux. La narration visuelle s'avère tout aussi impeccable pendant les scènes avec dialogue. Jason Howard ne réalise pas des dessins photoréalistes. le lecteur voit des représentations qui sont un peu simplifiées, tout en étant détaillées, avec des textures générales par surface. Il voit bien que les images évoquent ce qui est représenté, plus qu'elles ne cherchent à reproduire leur apparence exacte. Il remarque de place en place, des angles de vue exagérés pour accentuer l'impression de vitesse ou de violence. Mais ça n'obère en rien la force de conviction des cases. le langage corporel et les expressions de visage de Jo Creasy la rendent très proche du lecteur, générant une forte empathie avec ses états d'esprit et ses prises de position. À l'opposé du spectre émotionnel, le détachement de l'élu maire Vince et du préfet montre des individus manipulateurs et calculateurs. Leurs attitudes et leur économie de gestes attestent de leur état d'esprit, de leur expérience en coup bas et stratégies à plusieurs coups d'avance.

À la fin du tome, le lecteur ne peut plus imaginer cette histoire dessinée par un autre artiste que Jason Howard. Il a imprimé une identité graphique unique au récit, et il se montre à la hauteur de toutes les exigences (pourtant élevées) du scénariste. Il réussit même à montrer la similitude de forme entre une cicatrice de Vince et un site de monolithes, rapprochement visuel pourtant audacieux, difficile à réaliser sans le rendre ridicule. Warren Ellis continue de dérouler son intrigue d'extraterrestres immobiles implantés selon leur bon vouloir sur Terre, sans aucune considération pour l'existence des êtres humains. Il alimente le suspense avec les coquelicots de Blindhail, et le risque de leur manifestation sur d'autres sites d'enracinement. Cela suffit pour nourrir une lecture divertissante. Il continue également de faire ressortir les traits de la condition humaine confrontée à l'incompréhensible, à commencer par la peur et le besoin de l'exorciser contre un coupable, quel qu'il puisse être. le lecteur en retrouve les conséquences les plus manifestes en fin de volume avec un court retour en Chine et en Sicile. Il en voit aussi la manifestation avec l'accueil du docteur Ian Greenaway à l'encontre de Jo Creasy, ou des attaques organisées par le trafiquant Skiff et par l'élu maire, on encore d'odieux attentats contre une minorité ethnique.

Ce deuxième tome continue d'emmener le lecteur au gré de la fantaisie de Warren Ellis, dans un récit très structuré et planifié au long terme. Il est possible de ne pas apprécier l'apparence de surface des dessins de Jason Howard, mais il est indéniable qu'il assure une mise en images excellente d'un scénario très exigeant. le lecteur se délecte d'une intrigue originale, de réflexions inattendues et intelligentes, avec une narration visuelle épatante.
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Toujours cette ambiance de mystères, d'angoisses avec ces installations extraterrestres, c'est plutôt réussi. Mais ce que je redoutait à la lecture du premier tome se confirme, surtout que ce tome est sorti un an après le premier et que cela fait trois ans qu'une suite se fait attendre. On n'en saura pas beaucoup plus à la fin de ce second tome, on ne comprend toujours rien aux motivations des protagonistes, on ne sait rien de plus sur ces artefacts extraterrestres, j'ai eu l'impression de faire du sur place, ça me fait penser à ses série TV abandonnées en cours par manque de succès. Bref, c'est la frustration totale, et ça, je déteste ! J'ai l'impression d'avoir perdu mon temps.
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Le premier tome de Trees m'avait très agréablement surprise et il était donc hors de question que je passe à côté de la suite (même si je suis très en retard pour le lire et en parler). Pour se remettre dans le bain, un rappel des événements précédents autour des cinq Arbres qui apparaissaient dans le premier tome nous est présenté, ce qui est toujours bienvenu dans des séries (que ce soit pour des bande dessinées ou des romans je trouve).

Certains personnages ayant trouvé la mort dans le tome précédent, l'intrigue se resserre sur les autres, principalement la scientifique Joanne Creasy, rescapée de l'explosion de l'Arbre de Blindhail, où des fleurs noires du même nom s'étaient mises à pousser. Encore traumatisée de cette catastrophe et de la mort de toute son équipe, elle se retrouve ici envoyée en Écosse pour enquêter sur un autre Arbre, et s'assurer qu'aucune fleur du même type n'y pousse.

Le deuxième focus porte sur le nouveau maire de New York, qui semble à la fois vouloir combattre la corruption dans la ville, notamment au sein de la police… et en même temps il entend faire cela en plaçant ses hommes dans les forces et en utilisant des moyens peu orthodoxes. On y voit d'ailleurs des retours en arrière quand le maire évoque ses souvenirs de l'arrivée de l'Arbre sur New York, ce qui est assez impressionnant.

On retrouve vaguement les personnages qu'on avait rencontré en Chine et en Sicile mais c'est minime, pour pas qu'on ne les oublie certainement. Pour ce qui est de la Somalie, avec le plus petit Arbre où le dirigeant a réussi à nicher des armes afin de menacer le pays voisin, aucune nouvelle. Même si l'intrigue à New York et en Écosse est intéressante… je regrette la perte de diversité qu'on avait pu trouver dans le premier tome. Peut-être est-ce simplement partie remise, pour passer plus de temps sur ces autres zones dans la suite. Je l'espère !

Mais, Trees parvient toujours à surprendre, quand au détour d'une page, un Écossais a cette réflexion à propos des « produits hygiéniques » pour les personnes qui menstruent, qui m'a beaucoup surprise, fait sourire, et mise en joie j'avoue :

Oui, moi aussi je trouve pas ça cool pour les femmes, comme nom. C'est comme dire qu'elles manquent d'hygiène, genre. Si les hommes avaient besoin de tampons périodiques, ça s'appellerait « bouche-volcan », ou un truc du genre « tampon anti-gore ».

Au niveau visuel, je retiens principalement le travail fabuleux fait sur les couleurs. Jason Howard utilise certaines palettes pour certains endroits, afin qu'on puisse resituer l'intrigue d'un seul coup d'oeil, comprendre de quels personnages et quel pays il s'agit. Il y a aussi de très nombreuses scènes sur fonds rouge, qui sont très sombres et qui annoncent des événements inquiétants, voire sanglants. Beaucoup de couleurs neutres et de tons de gris sont aussi utilisés pour contraster certains objets ou éléments particuliers avec des couleurs vives, et le résultat est à couper le souffle. On retrouve dans ce deuxième tome les autres couvertures de Trees et c'est à tomber par terre.

Une bonne suite donc, en espérant que les autres personnages et intrigues ne disparaissent pas dans la nature et qu'on y retourne à un moment donné !
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Ce second volet, qui reprend les épisodes #9 à #14 de cette série écrite par Warren Ellis et dessinée par Jason Howard, contient donc deux épisodes de moins que le précédent, qu'Urban Comics proposait d'ailleurs pour la modique somme de dix euros.

Pour ceux qui auraient loupé cette offre de lancement plutôt alléchante, rappelons que cette saga imagine une invasion extra-terrestre plutôt originale. Ce ne sont en effet pas des petits bonshommes verts qui ont envahi la Terre, mais des arbres gigantesques qui se sont plantés aux quatre coins de la planète il y a de cela dix ans et qui sont, depuis, restés étrangement silencieux. Partant de ce postulat de base plutôt intéressant, le volet précédent distillait progressivement (et avec beaucoup de parcimonie) des informations concernant cette menace latente venue d'ailleurs, tout en proposant un récit choral qui invitait à suivre plusieurs personnages dans l'ombre des différents Arbres, de la Chine au Pôle Nord, en passant par l'Italie et la Somalie.

Cette suite, beaucoup plus linéaire, se focalise sur deux de ces personnages. Il y a tout d'abord le Dr Joanne Creasy qui, en tant qu'unique survivante de la catastrophe survenue à la station Blindhail, est envoyée sur l'île des Orcades après plusieurs mois de convalescence. Elle y part à la recherche de cette étrange fleur noire qui était à l'origine du désastre explosif survenu à la station arctique en fin de tome précédent. Il y a ensuite les magouilles politiques du nouveau Maire de New York, qui compte bien faire le ménage sous l'Arbre de Manhattan…

Malgré quelques révélations intéressantes concernant les méfaits des policiers de la ville de New York lors de l'atterrissage de l'Arbre de Manhattan et à propos des nouvelles découvertes de la biologiste autour de l'Arbre des îles britanniques, Warren Ellis en garde visiblement encore beaucoup sous la pédale, ne révélant pas encore ce que ces Arbres sont venus faire sur Terre. le rythme de cette suite est également beaucoup plus lent, l'intrigue n'avançant que par petites touches. Si les plans machiavéliques du nouveau Maire de New York incluent encore un brin d'action, il ne se passe par contre pas grand-chose durant la balade du Dr Creasy sur l'île des Orcades. Les nombreux mystères qui entourent cet excellent récit de science-fiction incitent cependant le lecteur à tourner les pages de cet album, surtout qu'une menace latente semble constamment peser sur le récit… le tout étant de savoir si la principale menace viendra des extra-terrestres ou des humains… Warren Ellis s'amuse en effet à dépeindre une Humanité qui ne se montre pas sous son plus beau jour depuis l'apparition de cette présence hors norme. Visuellement, le trait nerveux et hachuré de Jason Howard livre également de l'excellent boulot.

Retrouvez cette excellente saga dans mon Top Comics de l'année !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Ce tome est nébuleux comme le premier. L'histoire n'avance vraiment pas beaucoup. Je me demande ce que les auteurs veulent vraiment nous raconter car les différentes histoires n'ont aucun lien entre elles.
Du coup, la lecture se fait sans réfléchir.
Je me demande vraiment comment cela va se finir.
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critiques presse (6)
BoDoi
02 janvier 2017
Pas grand-chose à se mettre sous la dent si ce n’est le graphisme de Jason Howard, plaisant et dans le ton, qui parvient tout juste à sauver les meubles.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
06 décembre 2016
Assez convaincant pour continuer à se faire peur !
Lire la critique sur le site : BDGest
ActuaBD
24 novembre 2016
Si les partis-pris narratifs et graphiques s'avèrent toujours aussi convaincants, de même que le concept qui préside à cette aventure, le rythme souffre hélas d'une dilution regrettable.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
ActuaBD
23 novembre 2016
Si les partis-pris narratifs et graphiques s'avèrent toujours aussi convaincants, de même que le concept qui préside à cette aventure, le rythme souffre hélas d'une dilution regrettable.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
10 octobre 2016
Peut-être que ce second opus a du mal à réellement démarrer, toutefois la série garde ses atmosphères assez particulières et je vous conseille vivement cette lecture !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Sceneario
04 octobre 2016
Peut-être que ce second opus a du mal à réellement démarrer, toutefois la série garde ses atmosphères assez particulières et je vous conseille vivement cette lecture !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Une histoire vraie : dans les années 2000, pendant une campagne d'information sur la pédophilie, une foule est allée chercher un homme à son bureau et l'a tabassé, le laissant quasiment pour mort.
Parce que la plaque, devant son cabinet, indiquait "pédopsychiatre" et que les gens étaient trop stupides pour faire la différence.
Réfléchissez à ça : le Britannique moyen croit non seulement que pédophile et pédopsychiatre veulent dire la même chose, mais qu'en plus les pédophiles mettent des plaques l'indiquant sur leur porte. (88)
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Oui, moi aussi je trouve pas ça cool pour les femmes, comme nom. C’est comme dire qu’elles manquent d’hygiène, genre. Si les hommes avaient besoin de tampons périodiques, ça s’appellerait « bouche-volcan », ou un truc du genre « tampon anti-gore ».
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Ton papy était Black Panther ?
Ça, c'est sacrément cool. (75)
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