Ce que les étoiles doivent à la nuit

L'an dernier je découvrais la plume d'Anne-Gaëlle Huon, cette année je retrouve quelques personnages dans cette suite... de toute évidence, c'est un succès renouvelé !
L'histoire est touchante, parfois prévisible mais surtout pleine d'humanité et de sincérité, sans jamais tomber dans la mièvrerie d'une romance aussi impromptue qu'inutile. Rien que pour ça, merci !
Les personnages eux sont d'autant plus attachants qu'ils ne sont ni irréprochables ni infaillible. En un mot, ils sont réalistes. C'était vraiment une belle lecture !

J'ai écouté ce livre dans sa version audio grâce à NetGalley : la narration à deux voix était très agréable, et les chapitres pas trop longs, ce que j'apprécie beaucoup - j'ai horreur de devoir couper au milieu d'un chapitre !

Entre passé et présent, c'est une avalanche de coups du sort !
Un roman pétillant comme seule l'autrice sait nous présenter. Mais pour moi, la magie a moins fonctionné que pour les Demoiselles.
Ici, nous rencontrons Liz, déçue, qui va oeuvrer pour monter un restaurant au Pays Basques et puis, il y a celui qui cherche sa fille.
C'est un mélange d'époques, de personnages à fleur de peau, de filiation à la fois intrigant et surprenant.
Une lecture audio agréable, les narrateurs ont parfaitement su mettre en valeur le texte.

Encore une fois, je suis complètement sous l'émotion de la plume de Anne-Gaëlle Huon... C'était trop beau, une fois encore &#xNaN

Quel bonheur de retrouver un peu les Demoiselles dans ce roman, qui se passe bien des années plus tard. On découvre Liz, jeune cheffe dans un grand restaurant parisien, que est en plein déclin. Tous se liguent contre elle, décidés à la faire couler par vengeance. Alors Liz décide de suivre une lettre d'une certaine Rosa, qui dit avoir connu sa mère.

Nous suivons donc les aventures culinaires de Liz dans le pays basque, qui va tout faire pour restaurer l'éclat d'un restaurant - et en parallèle, nous suivons l'histoire d'amour de ses parents : Romy et Balthazar. Cette alternance de points de vue entre Liz et Balthazar rythme le récit, entre passé et présent.

J'ai adoré découvrir l'univers de la cuisine dans ce nouveau roman : les sens sont à l'honneur ! Mais surtout la réalité professionnelle est bien présente : c'est un monde majoritairement d'hommes, c'est un métier compliqué et qui prend du temps, c'est un métier de passion.

Un roman plein d'émotions, plein de générosité, à l'image de la plume de Anne-Gaëlle Huon. Un vrai délice pour les sens - à découvrir de toute urgence ! C'est un coup de coeur.🤍&#xNaN

Je termine à l'instant ce roman, qui est une suite un peu lointaine dans le temps du roman « Les demoiselles » que j'avais plus qu'adoré.
L'autrice dont j'aime beaucoup la plume aborde toute une série de thématique aussi diverse que variée. On vogue entre amour, amitié, résilience, abandon, harcèlement au travail, machisme, filiation et en cherchant bien je pourrai vous en trouver facilement d'autres. Ce qui pour moi est un peu trop. Parce qu'au final tous les thèmes sont survolés.
C'est un roman ou l'histoire est pleine de bons sentiments.
Malheureusement je n'ai pas réussi a m'attacher à Liz. Je l'ai plutôt trouvé énervante.
En revanche j'ai adoré les passages de Balthazar. On se doute qu'il y a anguilles sous roche mais ça ne m'a pas dérangé j'ai trouvé ses passages très doux.
Ils m'ont vraiment rappelé Les demoiselles.
Je pense que dans Les demoiselles j'avais beaucoup aimé le côté historique que je n'ai pas retrouvé ici.
En bref je le termine en étant assez mitigé. Mais j'ai quand même apprécié ma lecture.

On retrouve avec plaisir les personnages du roman précédent : « Les Demoiselles » dans le pays basque.
Liz, cheffe étoilée quitte Paris et les studios télé… elle vient de perdre son étoile. Afin de se ressourcer, elle part dans un petit village basque, sur les traces de sa mère.
M. Etchegoyen va lui confier les clés de son restaurant et la mission de le transformer en restaurant chic… mais elle va devoir conjuguer avec le chef cuisto, Peyo, bourru et râleur.
Leur histoire est liée à d'autres événements que l'auteur nous dévoile peu à peu… des émotions, des sentiments, des souvenirs et des histoires de vie.

Un joli roman à double temporalité : passé / présent. J'ai beaucoup aimé retrouver les personnages du roman précédent. On est encore dans une histoire touchante avec des personnages attachants.
Un roman qui parle de fragilités, de déceptions mais aussi d'amour, et d'embûches.
Comment composer avec son passé et se construire avec ses forces et faiblesses?
J'aime beaucoup la sensibilité de cette autrice.

Merci à Anne-Gaelle Huon pour ce roman solaire. Si la vie des personnages est cabossée, elle réussit à écrire des histoires qui font du mieux, qui forcent l'optimisme.

J'ai retrouvé avec plaisir Rosa, les jumelles, le Pays Basque de son précédent roman "Les demoiselles". Avec Liz et Peyo, j'ai salivé en l'imaginait avec eux derrière leur piano. Bien sûr Gwen et Nine m'ont émues... Et que dire de Balthazar, cet homme amoureux et persévérant ?

Quoi d'autre ? C'est un roman qui fait du bien surtout avec les temps compliqués que que nous vivons depuis plus d'une année.
À lire absolument ❤

Dans Ce que les étoiles doivent à la nuit, nous découvrons Liz, une cheffe étoilée, talentueuse. Son restaurant et sa carrière décollent et elle devient une pointure dans la restauration. Jusqu'au soir où tout bascule. Intoxication alimentaire, commis blessée, bafouée et procès intenté. Si Liz a rapidement gravi les échelons, elle les dégringole encore plus prestement ! Se souvenant de la lettre de Rosa, reçue quelques temps plus tôt (si vous avez lu Les demoiselles vous connaissez cette histoire 😉 ), Liz part dans le Pays Basque, loin de l'agitation parisienne, avec sa fidèle Nana qui veille sur elle depuis son enfance. Une fois sur place, elle rencontre M. Etchgoyen qui lui propose de transformer son petit bouiboui en restaurant étoilé en trois mois. Liz a carte blanche, sauf pour le chef de cuisine : elle doit garder Peyo, alors que ce dernier ne semble pas emballé par les changements à venir.

Avant tout, si vous n'avez pas lu Les Demoiselles, cela ne gênera en rien la compréhension de Ce que les étoiles doivent à la nuit. Bien évidemment, il est toujours appréciable de mieux comprendre les personnages mais vous pourrez très bien lire Les Demoiselles après, histoire de mieux connaître Rosa et son usine d'espadrilles.

La lecture de Ce que les étoiles doivent à la nuit est simple, agréable et fluide. Les chapitres alternent le point de vue de Balthazar, un jeune homme dont l'histoire commence dans les années 50 avec sa rencontre avec un zèbre et Romy ; avec le point de vue de Liz, la fille de Romy à l'époque contemporaine. Ces deux personnages ont tous deux connus Romy à des époques différentes. Cela fait vingt ans que cette dernière est décédée.

J'ai beaucoup apprécié le parcours de Liz au Pays Basque. En revenant sur la terre de son passé, la jeune femme va se découvrir, retrouver des bribes de passé qu'elle avait oublié. Au fil des chapitres sa vision se transforme et elle modifie son rythme de vie. Liz s'ouvre aux gens et au monde.

En lisant Ce que les étoiles doivent à la nuit, Anne-Gaëlle Huon nous plonge dans l'univers de la restauration. Si vous entamez un régime, oubliez-le le temps de la lecture. Avec tous les plats qui sont cités, on salive, on a faim.

Ce que les étoiles doivent à la nuit est un roman feel-good, d'apprentissage. Anne-Gaëlle Huon y mêle avec talent le passé et le présent. Les deux fils temporels se suivent en parallèle puis se mêlent pour conclure le roman avec brio.
Lien : https://desplumesetdeslivres..

Lorsque l'on ouvre un livre de Anne-Gaëlle Huon, on sait qu'on s'expose à ressentir des émotions jusque là tranquillement enfouies mais je prends le risque à chaque fois!
Nous retrouvons avec nostalgie Rosa ("Les Demoiselles"), le Pays Basque et reprenons l'histoire où nous nous sommes arrêtés: à Liz.
On a faim durant quasiment tout le livre (merci!).
L'Emotion est latente, sous-jacente à chaque histoire, celle de Liz, de Peyo, de Balthazar ou Nine.
En témoigne ces 45 min passées chez mon garagiste en attendant ma voiture, le nez plongé dans mon livre, les yeux brillants.
Les regards des mécaniciens par dessus leurs moteurs, faisant le moins de bruit possible et me rendant délicatement mes clefs.
Eux aussi on vécu l'expérience Anne-Gaëlle Huon mais par procuration et dans l'ignorance la plus totale de ce qui se tramait dans ces pages.
Mais ils avaient compris que l'heure était grave!

Un petit bijou dont on peut une fois de plus remercier son auteure.

Anne-Gaëlle : MERCI 💕

Anne Gaëlle Huon fait partie de ces auteures qui ont le don de vous emmener de façon irréversible dans ses histoires. Vous commencez à lire et vous ne pouvez plus en sortir. Une déferlante, une vague qui vous emporte et vous fait passer par tout les sentiments. Ce livre-ci ne fait pas exception. Vous en sortez avec le coeur gonflé d'amour et de tendresse, mais aussi avec faim! Faim de vivre, faim des plats énumérés et faim de découvrir ou redécouvrir le Pays Basque.

🌟 AVIS LECTURE 🌟
"Ce que les etoiles doivent à la nuit" @annegaelle_huon aux éditions @editionsmichellafon

Juste le titre. Une poésie à lui tout seul.
Comme une chanson enivrante,
Une promesse de roman enchanteur.

Il y a ces livres qui font rêver,
Ceux que l'on savoure,
Ceux qui vous transportent,
Et celui-là en fait partie.

🎆 RÉSUMÉ
Il n'y a pas de hasard, dit-on, seulement des rendez-vous. C'est ce que va découvrir Liz, cheffe prodige et étoilée, en partant au Pays basque sur les traces de sa mère. Dans un petit village perdu, elle rencontre M. Etchegoyen, dandy insaisissable et plein de panache, qui lui confie les clés de son restaurant et un défi à relever : faire de sa gargote une adresse gastronomique. Mais Peyo, le chef, ne voit pas arriver cette étrangère d'un bon oeil. L'un et l'autre vont devoir s'apprivoiser et affronter ensemble les fantômes de leur passé.Dans ce roman enchanteur et savoureux, Anne-Gaëlle Huon nous entraîne dans un tourbillon d'émotions. Une histoire universelle qui nous parle d'espoir, d'amour, et nous redonne le goût de la vie.

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