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3,67

sur 594 notes
Si vous souhaitez un livre pour découvrir le milieu des affaires et de l'argent sale...ce livre est fait pour vous.
Pourtant, tout commence gentiment : un prof de tennis gigolo séduit une de ses élèves - une femme, la cinquantaine, nantie mais qui s'ennuie. Son but : se faire du fric tout simplement. Il n'a pas réussi dans le haut niveau, mais il a pour lui qu'il est séduisant, du moins il sait y faire. Elle va donc le satisfaire...dans tous les sens du terme.

Mais voilà, si dans un premier temps , son objectif semble atteint, il a mis le doigt dans un engrenage dont il va être compliqué de sortir. Et nous voilà plongé dans le milieu de la corruption et le blanchiment d'argent sale...c'est haletant, angoissant, palpitant et en même temps sordide.

Seul bémol, j'ai trouvé cela un peu complexe et j'ai du relire certains passages pour comprendre les magouilles, trahisons qui se mettent en place...sûrement parce que ce milieu est lui aussi complexe et loin de ce que je peux imaginer.
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Un engrenage.
Des engrenages.
Dessinés sur une couverture dorée qui fait penser à un lingot.
Une fois que vous avez mis la main dans un engrenage, c'est foutu !
Et moi j'y ai mis les deux mains dans [ 𝘓𝘢 𝘴𝘰𝘶𝘴𝘵𝘳𝘢𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘴𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦𝘴. 𝘑𝘰𝘴𝘦𝘱𝘩 𝘐𝘯𝘤𝘢𝘳𝘥𝘰𝘯𝘢 ] et impossible de le lâcher.
Un vrai coup de coeur pour ce roman. le style, les personnages, l'histoire, j'ai tout aimé.

Toutes ces histoires d'argent, de riches, de très riches, de fric, de sexe, d'adultère, de gigolo, de voyous, de truands, de bandits, de bandits corses , de blanchiment d'argent, de banquiers, d'arrivistes, d'argent sale, de crime, ... je les ai aimées. Ah non, c'est vrai, ce livre ne raconte pas une histoire de tout ce que j'ai énuméré. C'est juste UNE histoire d'Amour.
Mais comme dit la chanson des Rita Mitsouko, " les histoires d'amour finissent ..."
Impossible d'en dire plus, tout est imbriqué l'un dans l'autre, tout se tient, se soutient jusqu'au final. Et quel final. Machiavel n'aurait pas fait mieux.
Le tout, j'oubliais de le préciser, se passant à la fin des années 80, avec la coupe mulet et les musiques d'époque mais sans les téléphones portables, juste des cabines empestant le tabac froid .
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magnifique;
Coup de coeur
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Les années 80. Genève et ses lieux qui attirent la richesse, ses club-houses et ses grands restaurants, ses salles de jeux et ses banques peu regardantes sur la provenance des fonds qui lui sont confiés. Il faut dire que d'un point de vue juridique l'évasion fiscale n'est pas considérée comme un délit par les autorités helvétiques, et la loi contre le blanchiment n'entrera en vigueur qu'en 1997. Et puis le capitalisme connaît alors, avec la chute du bloc soviétique, une de ses apogées. Place au règne décomplexé de la finance, qui ne connait ni frontière ni garde-fou.
C'est donc une histoire d'argent ?

C'est en tout cas ce que l'on suppose d'emblée, en faisant la connaissance d'Aldo.

Aldo Bianchi, 38 ans, est célibataire et professeur de tennis. Mais il peut faire mieux, et surtout ne veut pas se contenter de demi-mesures. Il veut grimper tout en-haut, devenir numéro un. Non pas en maniant la raquette, son temps est passé depuis longtemps, mais en faisant de son court un territoire de chasse, celui où il séduit les épouses d'hommes riches à l'orée de leur déclin, quand la perspective de la vieillesse et de sa laideur les jette dans le renouveau d'une aventure qui les rassure, et qui vient pour un temps briser l'ennui qui les accable. Mais Aldo le sait, il faut qu'il se dépêche : il ne lui reste plus qu'une quinzaine d'années avant de devoir tirer un trait sur son pouvoir de séduction. Alors il vise un gros poisson, et ferre Odile, femme de René Langlois, à la tête d'une grande entreprise céréalière, sur le point d'investir dans ces nouveaux OGM très prometteurs (le futur est à l'hybridation, à la sélection, au bouleversement de la biodiversité). Sa maîtresse lui permet rapidement d'arrondir ses fins de mois en assurant le transport de mystérieuses mallettes.

Son aventure débridée avec Aldo fait temporairement oublier à Odile les regrets qui inconsciemment lui pèsent, ceux de s'être soumise à l'attrait de l'homme riche et à son pouvoir, de s'être laissée acheter et corrompre au nom d'un confort et d'une sécurité devenus une prison, d'avoir condamné sa fille à suivre le même modèle. Mais pour l'instant, elle se consacre à la jouissance (dans les deux sens du terme) que lui procure cette liaison, redécouvre la générosité du plaisir, l'excitation des rendez-vous clandestins. Elle en finit par se croire amoureuse…

Aldo aussi tombe amoureux. Mais pas d'Odile. A l'occasion d'une de ses missions extra professionnelles, il rencontre Svetlana, jeune mère célibataire et ambitieuse, employée de banque en pleine et fulgurante ascension.

Le coup de foudre est réciproque.

C'est donc une histoire d'amour, comme le proclame l'auteur dès l'entame du roman ?

Oui, mais c'est aussi, quand même, une histoire d'argent. Aldo et Svetlana ont un objectif commun, et banal, puisqu'il est celui qui mobilise l'ensemble des protagonistes : en avoir toujours plus (vous aurez compris de quoi). Alors Aldo et Svetlana ont un plan. Et pour le coup plus qu'ambitieux : énorme. Et donc proportionnellement risqué…

C'est donc un polar, aussi, où s'enchevêtrent intérêts des uns et magouilles des autres, où les mondes de la finance et de l'économie s'acoquinent avec le grand banditisme.

Joseph Incardona, au-delà de dépeindre le cynisme et la vacuité de ce royaume du pognon qui divise le monde en deux camps : ceux qui en sont et ceux qui voudraient en être -et face à cela, nulle idéologie, nul altruisme qui tiennent-, s'interroge en passant sur les mécanismes existentiels qu'il sous-tend. Dans quelle mesure cette course à l'argent est-elle un palliatif aux désarrois, au mal-être des hommes ? "Plus personne ne sait ce qu'il est vraiment devenu, un moyen, un but, un prétexte, une dématérialisation de nos existences ?"

J'ai beaucoup aimé retrouver la plume de Joseph Incardona, son énergie et sa variété. Tantôt elle claque avec une sécheresse qui va droit au but, tout en se teintant d'un humour et d'une ironie féroces, tantôt elle s'assagit en retrouvant un rythme neutre, comme pour ménager des temps de respiration. L'auteur se pose régulièrement en observateur extérieur, digressant sur la manière dont il a conçu son texte, déclarant par de surprenantes apartés son amour pour certains de ses personnages, faisant des remontrances à d'autres. Et tout cela en maintenant une parfaite homogénéité.

Bon, il me semble que le roman aurait gagné à être dégraissé d'une bonne centaine de pages, mais ce que j'en retiendrai surtout, c'est de l'avoir trouvé aussi divertissant (on sourit souvent) qu'intelligent.
Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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Les histoires de cul, de banquiers suisses pourris, de criminels, d'affairistes, de costume Armani, de Mercédès, de fric puant… On dirait du James Bond, sans l'humour ni le second degré. La caricature involontaire lasse vite, les trous d'imagination ne valent pas ceux du gruyère.
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un bon thriller qui débute dans le milieu chic de Genève, au milieu des investissements et villa de luxe.

L ennui et l'envie se mêlent à ce petit monde, et cela donne un mélange d'arnaque de haut vol, amours illégitimes et de grand banditisme brutal.

Le livre est écrit comme un script de film et un froide description de certaines scènes.

bon roman, entre argent et escroquerie, une écriture originale qui immerge bien le lecteur, le nombre inutilement important de scène "hot" , m'a fait baisser la note
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Suite de mes pérégrinations en terre suisse romande avec ce roman de Joseph Incardona .
Un amoureux de la langue de Molière mais aussi du poète suisse Charles Ferdinand Ramuz dont , comme l'indique Wikipédia - oui je sais on a la culture qu'on peut - les écrits reflètent les espoirs et les désirs de l'être humain . Et Dieu sait que ce roman est un condensé d'espoirs pas toujours couronnés de succès et de désirs souvent inassouvis .

Prenons Aldo “le gigolo” , un professeur de tennis , beau gosse, toujours le teint bronzé , trentenaire approchant la quarantaine mais les muscles saillants et l'énergie du sportif qui s'entretient . le club de luxe dans lequel il officie représente un réservoir d'opportunité en gent féminine , riche à millions , frisant la cinquantaine mais avec une libido aussi démesurée que le trop plein d'ennui qui rythme leurs journées monotones . Un manque d'amour et de tendresse qu'Aldo propose de combler moyennant quelques marques d'affection pécuniaires .Mais plus que ça c'est pour Aldo Bianchi la possibilité de gravir à marche forcée les échelons de la société et d'entrer de plein pied dans le clan des nantis .
Odile va représenter cette opportunité : elle va tomber follement amoureuse de son Aldo chéri ne lésinant sur aucune dépense ni sur aucun voyage pour faire plaisir à son amant .
Elle va même l'embarquer dans une combine de porteur de valises permettant à une organisation criminelle de faire passer en toute discrétion la frontière franco suisse à quelques millions de francs français en cash . Un business bien rodé mais qui est gourmande en petites mains quand le flux s'accélère . C'est à l'occasion d'une soirée entre banquiers suisse et bourgeois établis que Aldo va faire la connaissance de Svetlana , une jeune banquière aux dents longues . Une rencontre qui va bouleverser à jamais leur vie et leurs ambitions mais la force de l'amour peut-elle battre la puissance de la convoitise ?

On connaît la chanson “ les histoires d'amour finissent mal en général “ . Je ne vous cacherai pas que l'auteur ne laisse que peu d'espoir dans la réalisation d'un élément positif dans ce roman de pure noirceur et l'amour , même s'il crève l'écran par son incroyable intensité , ne résiste pas à l'immoralité , au machiavélisme et à la manipulation élevés ici à l'état de l'art par certains des personnages , qui semblent agir dans un mouvement perpétuel à la recherche de la multiplication infinie de leurs richesses . Un club très fermé où chaque membre , alors qu'il possède déjà tout , souhaite encore plus . Comme un appétit insatiable et incontrôlable . Comme une drogue ...ou une pathologie incurable .
L'auteur nous immerge dans cette eau polluée en égos surdimensionnés , en jeux de rôles et jeux de dupes , en collusions toxiques entre des banquiers avides et des criminels en recherche permanente des meilleures blanchisseries suisses dans lesquelles écouler leurs liquidités .. L'auteur n'a pas de mots assez féroces pour décrire cette équipée malsaine , ces desseins dramatiques travestis par un orgueil et un narcissisme démesuré . Rien n'est caricatural dans les mots utilisés par Joseph Incardona pour dépeindre ces filous en Rolex - pardon en Patek - dont la cupidité n'a d'égal que leur insensibilité .
Ce n'est pas un hasard si la période où se déroule le récit se situe à la fin des années 80 , les années fric , les années frime . le paraître et le superficiel comme moto . le capitalisme flamboyant - et flambeur - alors que le régime communiste russe vit ses derniers soubresauts .
Un roman d'une grande justesse , qui plante ses flèches acérées sur cette période et cette faune consanguine , tout en laissant le lecteur seul juge des éventuels enseignements qu'il pourra en tirer.
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Il m'a bien fallu 15 jours pour arriver au terme de cette lecture. Cela est peut-être dû au contexte actuel que nous traversons tous, mais cette lecture a été un véritable calvaire pour moi. Je vous explique pourquoi.
Je découvre pour la première fois l'univers extravagant et très atypique de Joseph Incardona. Une écriture assez fluide dans l'ensemble et de nombreux changements de points de vue qui sont structurés par le nombre incroyable de chapitres. Là où cela commence à me déranger c'est quand l'auteur introduit ses réflexions personnelles quant à l'évolution de son roman. Alors oui c'est extravagant, c'est atypique, c'est peut être grandiose, mais cela m'a donné l'impression de ne plus savoir où donner de la tête. Ces mini cassures changent le rythme et ne donnent pas à mon sens une dimension de l'intrigue perfectionnée. Si certains et certaines ont adoré, moi je suis passée complétement à côté.


Une ambiance à la Scorsese comme dans le Loup de Wall Street. Si il est claire que j'adore Leornado di Caprio dans son rôle ici j'ai beaucoup moins apprécié celui de l'apprenti riche. Ce prof de tennis, Aldo, qui veut à tout prix rentrer dans le monde des magouilles et Cie en charmant les dames de ces riches messieurs. Devenir le gigolo pour parvenir à ses fins et un peu surfait. Et comme tout le monde le sait l'univers de la finance se résume à celui qui pissera le plus loin pour mieux t'entuber et à celui ou celle qui aura le plus de conquêtes. Bref un monde d'apparence où la désolation se cache derrière les coups fourrés, les coupes de champagnes et les antidépresseurs.


Le thème de ce roman est intéressant mais ne m'a pas du tout convaincu, du tout, du tout ! J'ai eu du mal à percevoir où voulait en venir l'auteur. A mes yeux il dépeint uniquement ce monde inaccessible au commun des mortels. La pseudo scène coup de foudre et bonheur qui s'ensuit dans un romantisme dégoulinant de guimauve détonnent franchement dans ce milieu où les émotions ne doivent pas exister.


La grande majorité du roman ne sert qu'à dépeindre le contexte dans lequel tente d'évoluer nos apprentis héros qui ne rêvent que d'avoir les poches pleines. Peut-être que le bonheur ne se résume pas qu'à seulement ça et là où l'auteur veut amener notre réflexion.


Ni thriller, ni roman noir, ni romance LA SOUSTRACTION DES POSSIBLES est un grand flop pour moi. Joseph Incardona m'a plutôt effrayée avec ces longueurs interminables et cette manière de tourner en rond. Je n'ai pas du tout su trouver ce point d'attache qui me donne envie d'avancer dans une lecture. Une première expérience loin d'être enthousiaste et je ne pense même pas lire autre chose de cet auteur.


Et vous, l'avez-vous lu ? Avez-vous aimé ?
Lien : https://lesmisschocolatinebo..
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Joseph Incardona a l'art de servir des romans percutants, autant dans leur propos que dans leur forme. C'était déjà le cas avec Derrière les panneaux il y a des hommes. Il ne ménage pas son lecteur et lui sert la comédie humaine dans toute sa splendeur. Son levier n'est pas le cynisme, ce serait trop facile. On sent derrière les épreuves qu'il impose à ses héros un subtil soupçon de tendresse. Il les aime ces pauvres créatures cupides, moins naïves qu'en quête de sens et de sentiments. Ici, il nous livre une sorte de grand roman de la finance.

L'idée de placer l'intrigue en 1989 est formidable. On est au carrefour de deux époques, juste avant que les lignes de code informatique ne remplacent les mallettes de billets. A Genève, bien sûr, incontournable plaque tournante de la finance. On est au sommet des années fric, de la réussite affichée de façon ostensible. On est chez les super riches qui ne sont jamais rassasiés, chez eux et chez ceux qui aspirent à se hausser à leur niveau. Comme Aldo et Svetlana. Lui est prof de tennis et gigolo, histoire de s'ouvrir des contacts, on ne sait jamais (ceux qui ont connu les dégaines des joueurs de tennis des années 80 s'y retrouveront, sourire en coin). Elle est sexy, secrète, poursuit une belle carrière dans la finance. Progression fulgurante mais il lui en faut plus. Les deux se rencontrent autour d'une mallette. Coup de foudre. Où vont se nicher les histoires d'amour ?

Joseph Incardona mène son intrigue à fond la caisse. Les mallettes passent la frontière suisse en Alfa Roméo (petit bras) ou en deltaplane, les putes manient le couteau aussi bien qu'un cuisinier japonais, le sexe est un attribut du pouvoir autant qu'un exutoire, les bergers corses diversifient leurs activités, derrière les apparences de luxe tranquille se cachent des ego féroces et prêts à tout. C'est à la fois violent et terriblement addictif. L'auteur n'hésite pas à enquiller les clichés pour mieux coller à l'époque et on se surprend à tiquer un certain nombre de fois, côté relationnel entre les deux sexes. On verrait bien les Delon et Claudia Cardinale de 30 ans au casting si c'était possible... On est au coeur des pires manoeuvres de la finance et de ceux qui tirent les ficelles. Un peu « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les comptes planqués en suisse sans jamais oser le demander ». Mais ce qui intéresse Incardona c'est l'argent en tant que moteur du monde et la façon dont sa quête avilit les individus. C'est en cela que, sous sa couverture dorée, ce roman tire sérieusement vers le noir.

Mon seul bémol tient au principe stylistique qui peut lasser par ses effets au bout d'un moment et donner la sensation de longueurs à certains endroits. Pour le reste, le plaisir de lecture est évident. Ça envoie, c'est efficace, très cinématographique, l'auteur a visiblement pris son pied en l'écrivant et ça se diffuse au lecteur.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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C'est tout un voyage dans lequel nous transporte Joseph Incardona ! En effet, ce que je retiens, et selon moi une des raisons majeures pour lire ce livre, c'est qu'il est différent de ce qu'on lit d'habitude quand on lit un thriller. le style est unique (c'est ma première rencontre avec cet auteur), percutant, vif, le propos super intelligent et demande une grande concentration car l'auteur en profite pour faire de multiples observations et critiques sur la société de la fin des années 80 et le pouvoir et le désir de l'argent (après tout le milieu bancaire et financier est omniprésent) qui vont emporter d'ailleurs les principaux personnages dans un tourbillon de péripéties dont ils ne sortiront pas indemnes ...
Un autre aspect qui rend ce roman unique est qu'on sent la présence de l'auteur qui nous accompagne dans cette histoire, et même à quelques reprises il s'adresse à nous lecteur et on se sent donc ... impliqués !
C'est original, un peu complexe oui, mais passionnant et on en sort ébahis devant tant de talent et la quantité de connaissance que déploie l'auteur. À mon avis il y a un gros travail de recherche derrière tout cela.
On en sort récompensé !
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