Chaque époque a eu ses amateurs de "bons mots", depuis les Surréalistes (Breton, Éluard,
Soupault, etc), jusqu'à
Prévert et
Boris Vian, suivis des comiques
Raymond Devos et
Coluche, des anthologies de l'humour (
Jean-Paul Lacroix), de
Georges Pérec faisant disparaître une voyelle dans un de ses romans à Érik
Orsenna, académicien défenseur de la langue française. Sans oublier les classiques "Mr et Mme ont un fils (ou une fille), comment vont-ils l'appeler ? Ici, je donne le patronyme, mais j'imagine également sa profession et son lieu de résidence pour gâter mes lecteurs. Exemple : Fine Declercq, ostréicultrice à Marennes (17).