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Je n'étais pas sans ignorer l'incroyable talent de Christian Jacq, égyptologue de formation, à nous faire revivre la terre des pharaons. En effet, plus jeune, il m'avait déjà séduite avec « La Reine liberté ». Cela fait au moins deux ans, si ce n'est trois que j'avais la « Reine soleil » dans mes affaires. Pourtant, ce n'est que maintenant que je ne m'y suis plongée.

L'histoire débute pendant le règne d'Akhénaton, le pharaon maudit, et de sa femme Néfertiti. L'Egypte traverse une mauvaise passe : le règne du pharaon touche à sa fin, celui-ci se détourne du pouvoir, lui préférant la religion, et même sa femme, la belle Néfertiti, semble se moquer de la politique.

C'est à ce moment-là que l'une des six filles du couple émerge de l'ombre. Elle a quatorze ans, est belle et ambitieuse. Elle s'appelle Akhésa. Elle a le profil d'une reine. Elle sera la femme de Toutankhamon.

Au début, j'ai eu du mal à me plonger dans ce récit alourdi par de nombreuses descriptions pourtant nécessaires, et par le ton souvent bien trop emphatique de l'auteur, qui insiste bien trop souvent sur la beauté de l'héroïne ou utilise de biens grands mots quand des termes moins hyperboliques seraient recommandés. Néanmoins, on finit par se laisser prendre. Politique, amour et religion, voilà ce que nous propose ce roman de Christian Jacq qui nous décrit un Toutankhamon désespérément attachant, et nous attendrit avec son histoire d'amour avec Akhésa, dont le courage final nous éblouit et efface l'agacement qu'elle a pu provoquer au début (trop belle, trop jeune, trop brillante, trop parfaite !).Un sacré portrait de femme, tout de même !

Christian Jacq, pour nous, parvient à ressusciter l'Egypte des pharaons et nous donne envie de voyager. C'est une plongée dans le quotidien d'un autre temps que nous propose ce livre bien fait, suffisamment romancé pour être passionnant, et suffisamment basé sur le réel pour être édifiant.
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Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas replongée aux temps anciens de l'Egypte que Christian Jacq sait faire revivre comme personne. Au début, la princesse Akhésa n'apparaît que comme une gamine pétrie d'orgueil et de fierté, obnubilée par son ambition. Mais elle évolue au fil du récit et je me suis attachée à elle. La fin de son règne m'a forcément attristée. Par contre Toutankhamon m'a agacée du début à la fin, comme un sale gosse qui ne pense qu'à s'amuser et qui néglige son rôle primordial de pharaon. J'ai du mal à comprendre pourquoi c'est lui qui de nos jours encore, a une telle renommée, alors qu'il n'a rien bâti, ni réalisé de concret, aucune bataille mémorable remportée, pendant son règne.
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Entrée au royaume des deux Terres dans ses splendeurs et ses décadences.

Pouvoir et religion, stratégie et politique se toisent, s'affrontent et se déchirent.

Envoutement d'une beauté trop jeune dans un empire se murant dans ses croyances.

Lentement l'éclipse se fait jour pour disparaître à jamais dans ces ténèbres si âprement combattues.

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Aujourd'hui, Christian Jacq nous parle de « la Reine Soleil », Akhésa, une ravissante princesse, troisième fille du pharaon « Akénaton ».
Fille rebelle avec un sens du pouvoir incomparable, elle va rentrer un peu plus dans l'histoire de l'Egypte en épousant « Toutankhamon ».
On aime ou on n'aime pas le style de Christian Jacq, mais comme à son habitude, l'auteur nous donne envie d'arriver au plus vite à la fin et nous offre, par la même occasion, du rêve, de l'amour, de l'action et du suspense.

C'est un livre que j'ai lu il y a plus de 20 ans, l'époque ou j'aimais beaucoup Christian Jacq. Ce n'est pas que je n'aime plus, mais je suis passé à autre chose. Mais je vous conseille fortement cet auteur.

Bonne lecture à vous.
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Le règne du pharaon renégat, Akhenaton (en français : « celui qui rayonne pour Aton »), est sur le déclin. Sa femme, la belle et célèbre Néfertiti (« la belle est venue »), refuse de le revoir, il s'est enfermé chez lui depuis plusieurs jours pour écrire un long poème sur la splendeur de son dieu, ses hommes de confiance complotent contre lui et les colonies de l'Égypte se révoltent contre ce pays dont la puissance s'affaiblit.
Reniant les croyances millénaires de son peuple, il a apporté de nombreux changements, aussi bien dans la religion que dans l'art : de nombreuses fresques dépeignent la vie du monarque dans le cadre familial en train de jouer avec ses filles ou d'embrasser sa femme et l'architecture évolue (le concept étant de faire en sorte que les rayons d'Aton puissent entrer à l'intérieur des bâtiments).
Mais rien ne semble permettre à l'évolution des moeurs de persister. Chacun est conscient qu'une fois Pharaon mort, les Égyptiens abandonneront Aton pour retourner à leurs anciennes divinités. Thèbes redeviendra la capitale et Akhetaton, la cité de la lumière, sera abandonnée au sable et au désert. Tel semble être le destin de la culture qu'a voulu transmettre ce roi moderne.
Mais Akhésa (de son vrai nom Ankhes-en-pa-Aton : « elle vit pour Aton ») ne l'entend pas de cette oreille. Bien que troisième fille du couple royal (et donc incapable de prétendre à la couronne), elle a bien l'intention d'avoir un rôle à jouer sur la scène politique. Petit à petit, à l'aide de sa superbe beauté et de son intelligence hors du commun, elle arrive à se faire une place parmi les plus grands et fascine ses amis comme ses ennemis. À la mort de son père, elle réussira à monter sur le trône aux côtés de Toutankhamon, le jeune prince de Thèbes fou amoureux d'elle, et prendra son destin en main comme une véritable reine.

L'intérêt de ce livre est qu'il nous dévoile les enjeux politiques du temps de l'Égypte ancienne. Avec Akhésa, on est transporté en plein coeur de l'action. On y voit ses évolutions, son passage de l'enfance vers l'âge adulte, les responsabilités qu'elle est peu à peu amenée à prendre. Ses sentiments évoluent : tout d'abord méprisante à l'égard du jeune Toutankhamon, elle en vient à peu à peu éprouver une tendresse presque maternelle pour cet époux de deux ans son cadet. En parallèle, elle doit lutter contre l'attirance profonde qu'elle ressent envers son opposant le plus acharné et manipuler les puissants du royaume pour parvenir à ses fins : rendre à l'Égypte sa splendeur d'antan. Mais la tâche est extrêmement difficile : les prêtres d'Amon sont prêts à tout pour reprendre leur place.
La pression exercée sur la jeune femme est énorme : d'un côté elle est incapable de renoncer au rêve de son père d'« apporter la lumière d'Aton dans les coeurs », de l'autre, elle n'a pas la force nécessaire pour lutter contre les prêtres et doit sans cesse se cantonner à son rôle de reine. Car malheureusement, Toutankhamon est encore un enfant trop immature pour régner et c'est celle qu'il aime qui est obligée de gérer les affaires à sa place. Elle doit se sacrifier sans cesse, déjouer des complots et en créer, entretenir son image publique, contrôler ses ennemis comme ses proches, lutter contre la part d'elle-même qui ne voudrait que devenir l'amante du général des armées.
La jeune femme voit tout ce à quoi elle tient s'écrouler autour d'elle : sa mère meurt, puis son père, puis elle doit abandonner sa religion, puis la capitale qu'a fait bâtir Akhenaton… Elle est peu à peu dépossédée par les prêtres, mais toujours elle restera droite et fière. Comme une reine. Comme une héroïne. Un peu trop, même…
L'auteur rationnalise l'origine de cette force et de cette énergie d'un côté par le caractère particulièrement volontaire de son personnage, mais aussi en sous-entendant que c'est Aton lui-même qui rayonne à travers elle et qu'Il lui prête une partie de sa puissance.

Car le monde que Christian Jacq met en scène est un univers merveilleux, empreint de magie et de surnaturel. Les dieux ont une influence notoire sur le monde, se dévoilant parfois aux humains et prouvant leur existence à l'aide de phénomènes inexpliqués, et pourtant totalement acceptés par la population : « Soudain, une main froide, une main de pierre se posa sur sa nuque. le bras d'Amon avait bougé, le dieu lui-même confirmait le couronnement de Toutankhamon. » Mais il nous montre aussi des miracles beaucoup plus petits et confidentiels : par exemple la famille royale est capable de regarder le soleil dans les yeux sans se les brûler et Akhésa est insensible à la chaleur.
On appréhende donc le monde de la même manière que les Égyptiens, avec leurs légendes et leurs croyances. Jacq nous décrit la lignée royale comme des surhommes (ou des sur-femmes) descendants directement de la race des dieux.

L'auteur détaille le rôle de la religion dans cette société, qui a une place centrale. le peuple croit dur comme fer à ses dieux et chaque cérémonie a une importance particulière et une magie qui lui est propre : « Akhésa ressentit une étrange impression au plus profond de son corps. Un feu très doux s'éveillait en elle, comme un soleil de fin de jour dorant la peau sans la brûler. L'eau parfumée qui avait circulé sur tout son corps la recouvrait d'une clarté immatérielle, sorte d'or liquide divinisant la chair. le regard de Toutankhamon lui-même s'était modifié. Les vertus du liquide magique de la purification, pratiqué sur chaque Pharaon depuis l'aube de l'histoire égyptienne, lui communiquaient une forme de vie d'origine céleste. »
« Comme chaque jour, Pharaon se rendait au sanctuaire dont il avait lui-même dirigé la construction. Et chaque jour, il y goûtait l'instant extraordinaire où les hymnes, les prières et les sacrifices faisaient se lever à nouveau le soleil dont dépendaient toutes les formes de vie, au ciel comme sur la terre ».

Ce qui est intéressant, aussi, c'est que l'auteur décrit le mode de vie des Égyptiens, parsemant son récit de faits réels sur l'architecture et le mode de vie, introduisant des éléments constructifs pour la compréhension de cet univers : « Sortant de la villa, ils traversèrent des jardins où on utilisait le chadouf qu'avaient mis au point les ingénieurs d'Akhenaton. Sur un pivot fixe, le paysan avait placé une perche de bonne taille. À l'une de ses extrémités, un seau ; à l'autre, un contrepoids. D'un mouvement régulier, le paysan abaissait la perche pour faire pénétrer le seau dans un bassin d'irrigation. Puis, relâchant doucement cette dernière, il laissait agir le contrepoids. de la sorte, au fil des heures, de grandes quantités d'eau étaient transportées au prix de moindres efforts. » Surtout, nous voyons apparaître au fil des pages les descriptions de l'architecture égyptienne et des fameux monuments : « Akhenaton avait voulu que le temple d'Aton fût unique. Il n'y avait pas de progression, comme dans les autres sanctuaires de l'Égypte, de la clarté de l'extérieur vers le mystère du Saint des Saints où la divinité était cachée au milieu des ténèbres, mais une simple enfilade de cours et de salles ne présentant aucun obstacle à la diffusion des rayons vivifiants d'Aton ».

Au final, Jacq a une écriture légère, très agréable et très facile à lire. Les phrases sont courtes, mais efficaces : elles nous font voir un monde à jamais éteint.
Cependant, Akhésa est presque trop parfaite pour être réellement crédible. Elle est décrite comme étant « fine, élancée, un visage parfait, des cheveux noirs, une peau cuivrée, des seins ronds hauts placés, des hanches étroites, des jambes longues et minces, des pieds d'une infinie délicatesse » et les princes étrangers disent d'elle qu'« aucune de nos femmes ne pourraient rivaliser avec elle ». le « divin père » Aÿ, éminent personnage politique, dit lui-même : « La princesse Akhésa... La plus belle femme de la cour, en effet », ce à quoi sa femme, la nourrice Ti, répond : « Je n'ai jamais eu la moindre influence sur elle. Parmi les filles du couple royal, c'est elle qui a la plus forte personnalité. Et maintenant la beauté… La beauté de sa mère, celle d'une reine. » Comment voulez-vous qu'on se retrouve dans ce personnage trop idéalisé ? Jacq aurait vraiment gagné à laisser un soupçon d'humanité à sa déesse.
De plus, on ne parle presque jamais de ses jeunes soeurs (elles ne sont même pas nommées), alors qu'elles sont elles aussi les filles du couple royal et qu'Akhésa les a côtoyées pendant toute son enfance. L'auteur parle seulement des aînées qui se mettent entre son héroïne et le trône (Méritaton et Makhétaton), mais dès qu'elles sont écartées du pouvoir, plus aucune allusion n'est faite. Dommage, cela coûte du réalisme à l'histoire.
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Les noms des pharaons Akhénaton et Toutankhamon ne nous sont pas inconnus, mais qui avait déjà entendu parler d'Ânkhésenpaaton (que Christian Jacq nomme Akhésa dans ce roman) ? Nous la suivons depuis son adolescence jusqu'à ses dernières heures, nous rencontrons les grands personnages de l'Egypte antique à travers ses yeux et bénéficions de ses réflexions sur la politique de son pays. Akhésa, troisième fille d'Akhénaton et épouse de Toutankhamon, est réellement au centre de cette histoire.

Je ne me suis jamais passionnée pour l'égyptologie et c'est pourtant un sujet qui m'intéresse. Dans ce roman, il y a énormément de détails sur les us et coutumes des Égyptiens, leurs croyances, leurs traditions, leurs coutumes, leurs relations avec les pays voisins, le climat politique, etc. Ma curiosité a donc été satisfaite. Je suis moins touchée par le côté romanesque, bien qu'il y ait du suspense et des péripéties (en tout cas pour les lecteurs qui ne connaissent pas les pharaons). Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, ils sont pourtant intéressants mais pas assez creusés à mon goût. Akhésa tient plus de la légende que de la femme en chair et en os : avec sa beauté incomparable, sa vivacité d'esprit et sa force de caractère, les hommes tombent amoureux d'elle toutes les dix pages . Akhénaton passe pour un illuminé (peut-être les effets des rayons du dieu Aton, haha... pardon), Toutankhamon est juste un jeune mâle en rut et le général Horemheb joue le rôle du méchant qui oeuvre dans l'ombre, accompagné des vilains prêtres d'Amon. J'avais peur d'être déçue par la fin et, au contraire, j'ai trouvé que cela clôturait fort bien le roman.

Même si ce n'est pas un coup de coeur, "La Reine Soleil" me donne envie de lire d'autres romans se déroulant en Egypte antique. C'est une civilisation fascinante !
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Ce livre traînait dans ma PAL depuis de nombreuses années et il a fallu un challenge pour l'en sortir.
Ma lecture a été assez laborieuse puisque ce livre ne m'attirait pas plus que ça. Pourtant, la plume est agréable mais j'ai trouvé certains personnages trop caricaturaux et sans consistance. Ainsi, Toutankhamon apparaît comme un jeune homme frêle sans réelle volonté, à part celle de plaire à sa jeune épouse. Certaines études scientifiques ont pourtant laissé suggérer que Toutankhamon avait mené lui-même certaines batailles malgré son handicap.

Hormis ce bémol, j'ai trouvé l'histoire intéressante et le personnage d'Akhésa, fille d'Akhénaton et Néfertiti, plutôt bien campé. C'est une femme forte qui n'hésite pas à se dresser contre les hommes de pouvoir pour le bien de l'Egypte.
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Ce roman égyptien décrit parfaitement la rupture entre modernisme et conservatisme dans l'empire des pharaons. Akhenaton, roi révolutionnaire et réformateur , à profondément marqué toute une génération du monde antique lors de son règne. de la représentation artistique à la religion elle-même, Akhenaton pulvérise les standards jusque renommer le dieu soleil Aton au lieu de Amon, bouleversant le culte à la lisière du monothéisme. Ce livre a donc mis en lumière pour ma part la stylistique différente entre les représentations artistiques, avec les traits tout en longueur, plus fins, plus étirés en comparaison aux rondeurs habituelles, un style reconnaissable entre tous. le célèbre Toutankhamon initialement Toutoukaton, ceci explique cela.
Un de mes Christian Jacq préféré, dommage qu'il n'y ait que un tome.
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A la place 145 de ma pal depuis le 1er Février 2018 - 3éme livre du challenge #nothrillerindecember et pour la lecture commune de Christian Jacq - J'ai choisis La reine soleil, l'aimée de Toutankhamon, il as reçu le prix Jean d'Heurs du roman historique de l'année 1989. J'ai une fascination pour ce pharaon, donc découvrir encore de nouvelles sur lui, cela m'intéresse beaucoup

Aknesa et Toutankhamon se sont croisés très jeunes, Il est tombé fou amoureux de la troisième fille du pharaon Akhénaton. Ils se sont retrouvés au pouvoir, ils étaient adolescents.
Cette reine a emmené très vite Toutankhamon sur le chemin du pouvoir pour diriger l'Egypte. Lui qui penser que profiter de la vie avec la femme qui m'aimes.

Je ne connaissais pas l'histoire de la reine Akhésa, très jeune, elle s'intéressait beaucoup à la politique de son pays, mais comme elle était la troisième fille du pharaon, elle savait que normalement elle ne doit pas régner.
Mais selon des circonstances exceptionnelles, elle accéda au trône auprès de Toutankhamon, mais il était très jeune et pensa qu'à s'amuser, mais Akhésa, avec leur amour puissant, arriveras à faire murir son mari de Pharaon.
Ce qui est intéressant dans ce livre, c'est de voir de Pharaon évoluer pour plaire à sa belle, et a un moment on ressent qu'il prend un réel plaisir à gouverner.
On comprend aisément que derrière toutes décisions il y a Akhésa.
Il y a beaucoup de rebondissements dans la vie de ce jeune couple, des autres personnages du royaume veulent absolument prendre leur place.
Ce livre est extrait de la vie réel d'Akhésa et ce qu'on en sait, on est très vite embarqué en Egypte au temps des Pharaons, j'ai lu beaucoup de livres de cet auteur, et à chaque fois, il m'enchante, c'est vraiment une parenthèse enchantée.
Bon la vie au temps des pharaons, et pas que fait d'enchantement, il y a beaucoup d'épreuves, de combats. Mais l'univers est royal et féérique, je suis toujours sous le charme.
Je suis une passionnée d'Egyptologie, c'est pour une raison que ces livres me plaisent toujours, j'ai une fascination extrême pour Toutankhamon, alors découvrir son amour, j'étais extrêmement captiver.
Mais ce que j'ai apprécier et ce qui guide toute la trame, c'est leur amour, mais plus particulièrement les sentiments profonds de la Reine et comment cela évolue et même après sa mort.
Elle lui a était loyal jusqu'au bout de sa vie, j'ai trouvé cela admirable et tellement émouvant.
Je me dit que je devrais lire plus les ouvrages de Christian Jacq, car ce sont vraiment des joyaux comme ce qui raconte.

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Une très belle histoire qui nous livre les secrets de l'Egypte Antique, ses jeux de pouvoirs entre Pharaon prêtres et hauts fonctionnaires, comme si l'on y était. de nombreux détails agrémentent l'histoire sans la rendre lourde et ennuyeuse, nous permettant ainsi de plonger et comprendre les cérémonies pharaoniques.

On y découvre (et redécouvre) des personnages forts et intrigants mais, surtout, on est happé par la personnalité d'Akhesa, le coeur, le Soleil, de cette histoire. Sa beauté, son charisme, son intelligence, sa passion. Car Akhésa, troisième fille de Pharaon, est une femme forte, ambitieuse et, surtout, passionnée. Une femme qui restera, jusqu'au bout, malgré les épreuves, fidèles à Aton, fidèle à Toutankhamon qu'elle aura appris à aimer. Jusqu'au bout, malgré les jeux de pouvoirs, malgré la corruption, malgré Horemheb, elle restera, finalement, fidèle à elle-même.

Je suis ravie d'avoir découvert la vie d'Akhésa que je ne connaissais pas. Ravie d'avoir eu l'impression de partager la vie de ce personnage inspirant et fort de volonté. C'est le premier ouvrage de Christian Jacq que je lis, ça ne sera certainement pas le dernier.
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