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4,19

sur 950 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Difficile de s'attaquer à un second livre de J.P Jaworski après avoir lu "Gagner la guerre". Ce livre avait, que dis-je, est tellement bon .. !

Peu importe, j'étais impatient de savoir ce que cela pouvait donner.

Rapidement, le livre nous emporte et nous plonge dans un tout nouveau monde. On est happé par l'histoire et ses personnages. On veut savoir, comprendre, vivre les évènements.
L'histoire déjà, les circonstance qui ont amenées Bellovèse à ne pas mourir et ce que cela va impliquer pour lui et son entourage. le monde ensuite, cette plongée dans la Gaule que j'ai re-découverte au travers des pages. On découvre des peuples, leurs fonctionnements, leurs coutumes, leurs castes, leurs règles, leurs codes. On découvre tout cela aux travers de deux "enfants" emmenés pour faire la guerre et qui assistent à des scènes qu'ils ne devraient pas voir.

J.P Jaworski a ce pouvoir de décrire des scènes captivantes que l'on croirait voire de nos propres yeux. On peut noter en anecdote le passage de "La course". Ou les troupes de guerriers menés par leurs héros répondent à un ban armé. le dernier arrivé perd la vie. Je ne sais pas vous mais moi, j'avais l'impression de courir à leurs cotés !

Au delà du récit, il y a le style et le rythme. Captivants au début et à la fin du livre, ils sont parfois déroutants au milieu. Il arrive que l'on se retrouve perdu entre réalité et rêve du personnage principal, que l'on ait du mal à saisir l'intérêt de tel ou tel passage de l'histoire. Cependant, malgré ce qui peut s'apparenter à des lenteurs, ça marche, ça fonctionne. Et après avoir lu "Gagner la guerre" je fais confiance à J.P Jaworski pour que son récite soit une nouvelle fois très bien construit.

J'attends donc la suite avec impatience !!
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J'avais envie de lire cette série depuis un long moment, ayant eu le premier tome dans l'oeil depuis sa sortie. Je me suis enfin décidé à prendre les cinq tomes et les lire progressivement, tome après tome. C'est toujours un plaisir de lire ce genre d'ouvrages, même si je dois reconnaitre qu'il y a quelques faiblesses dans ce premier tome que je ne peux pas nier.

Déjà, ce tome est assez introductif. Comprenez par là qu'il s'agit d'un tome dont la totalité de l'histoire sert d'introduction au personnage, au contexte et aux relations. Il n'y a que peu de déroulé narratif, chaque chapitre étant la présentation de ce qui a été au préalable. Nous remontons ainsi la vie de Bellovèse, fils de Sacrovèse, de son trajet pour se défaire du charme jusqu'à son enfance et les péripéties qu'il a connu, autant mystiques que politiques. Il est difficile de démêler le vrai du faux et la part réel du fantastique dans le récit, qui oscille souvent sur la corde raide entre "il y a une explication" et "c'est impossible". Je pense que c'est volontaire, notamment pour baigner dans l'ambiance que le récit pose : nous sommes entrainés dans la vision du personnage principal, sans apporter de regard extérieur.

Le hic, c'est que j'ai ressenti dans ma lecture un temps mort dans le chapitre 4, au niveau de la balade en forêt. C'est un peu long pour pas grand chose à mon gout et ça n'apporte pas grand chose au reste du récit. Les deux jeunes hommes sont énervants et je n'ai pas encore compris ce qui était développé dans ce passage.
C'est la limite que je vois dans le livre : à vouloir poser des bases en tout sens et bien définir le cadre que l'on va explorer dans les autres volumes, il ne prend pas suffisamment le temps de poser une histoire intégrale dans ce volume. Les révélations finales sont intéressantes mais moins percutantes dans mon cas puisque ma lecture avait souffert de ce temps mort le précédant.

En somme, une bien belle ouverture mais je suis moins enthousiaste qu'après mes autres lectures du même auteur. J'attends plus de la suite, encouragé par le style et l'érudition. Mais l'introduction ne m'a pas suffit.
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Bellovèse est un jeune guerrier, neveu du Haut Roi, celui-là même qui l'a exilé avec sa mère et son frère au fond du royaume biturige après avoir tué son père. A l'occasion d'une guerre contre les Ambrones, Bellovèse et son frère quittent leur foyer afin de mener leurs premiers combats. Au cours du premier assaut, Bellovèse est mortellement blessé…mais il n'est « même pas mort »…

Jean-Philippe Jaworski nous plonge dans la civilisation celtique de l'âge de fer, époque à peine effleurée en fantasy. L'auteur, très bien documenté, tente de reconstituer la société celte telle qu'elle était (d'après des sources archéologiques ou littéraire antique).

Le récit est emprunt de l'aura du mythe : impossible de distinguer les éléments fantastiques, magiques, qui se fondent dans la réalités de nos personnages. L'auteur illustre à merveille la façon dont le mythe et le sacré imprègnent la vie des Celtes. Dieux, entités hors du monde, magie druidique, sacrifices, etc… La religion est inscrite dans la vie et la vie, dans le sacré, indissociables. Les premières lignes de l'ouvrage de Jean Markale consacré à la civilisation celtique sont à ce titre édifiantes : « Quand on veut étudier l'histoire des Celtes, on se heurte constamment au mythe. (…) Il n'y a pas d'exemple plus frappant de synthèse harmonieuse entre l'élément imaginaire et l'élément de réalité pure. »

L'auteur a réussi à inscrire la perception du temps chez les celtes au sein même de la structure de son récit. Des transitions merveilleuses et ciselées, font voyager le lecteur dans le passé, le présent, l'avenir du personnage.

Pour de plus amples explications sur cette structure, je vous invite d'ailleurs à lire l'interview de l'auteur sur actuSF ainsi que sur Elbakin.net.

Le style de l'auteur est de nouveau de haute volée : figures de styles, richesse du vocabulaire, etc… Mais il colle aussi à son histoire et à l'époque qu'il traite puisque je l'ai trouvé quelque part moins « baroque » que dans Gagner la guerre. Ainsi en va-t-il de ses personnages : on ne trouve pas d'équivalent à Benvenuto par exemple et c'est très juste : le temps évoqué n'est pas au cynisme grinçant de notre assassin !

On retrouve donc la plume merveilleuse de JP Jaworski, délicieusement reconnaissable, mais au service d'un univers très différent de celui des Vieux Royaumes.

« Même pas mort » possède un souffle mystérieux, épique et magique et j'ai vraiment hâte de me plonger dans la suite « Chasse royale », deuxième branche de la trilogie « Rois du monde ».
Lien : http://casentlebook.fr/meme-..
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Difficile de ne pas comparer avec La reine celte de Manda Scott, et hormis qu'il s'agit des Celtes, la comparaison s'arrête là. Roi du monde décrit un monde brutal et inégalitaire ou la spiritualité est relégué au rang d'un panthéon de dieux qui ne valent pas mieux que les humains qui leur font des sacrifices. le contexte m'a plutôt fait penser aux pires périodes de moyen-âge plutôt qu'à cette période proto historique connue pour autre chose que cette barbarie omniprésente. La reine Celte est série anthropologique, culturelle et même spirituelle, celle-ci est une série sanglante, détestable, et matérialiste. Ceci dit ça se lis bien, nombre d'aventures sont palpitantes, de nombreux personnages sont intéressants avec cependant quelques parties lourdes et de moindre intérêt qui alourdissent le récit.
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Jaworski abandonne cette fois le Vieux Royaume de Gagner la guerre & Janua Vera, pour nous transporter dans le monde des Celtes. Un titre à vrai dire guère engageant, un résumé sur le quatrième de couverture qui semble n'engager à guère d'originalité.
Peu importe, on conserve toujours ce qui fait la force de Jaworski. D'abord une langue ciselée, un plaisir des mots, un vocabulaire riche et précis. Ensuite une intrigue complexe et en flashback, dans laquelle le lecteur est entièrement immergé. Enfin des personnages toujours truculents, un récit à la première personne prenant le lecteur a témoin, l'interpelant même directement sur des questions telles que le sens de la vie, la place de la guerre ou de l'honneur ...
Encore un grand roman, premier tome d'une série qui doit en compter trois.

Un dernier mot sur l'édition des Moutons électriques. L'ouvrage bénéficie d'une couverture rigide ("hardcover") toilée, cousue, d'un papier au grammage épais, d'une police de caractère et d'une impression soignées. Bref un bel ouvrage, agréable à tenir en main, puis à voir sur une bibliothèque. le tout pour un prix tout à fait correct ...

Vous auriez donc grand tort d'attendre la sortie de l'ouvrage en poche !
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Décidément mon auteur préféré, mais comment fait-il?!
Ici il ne s'agit plus de l'univers du vieux royaume on nous invite à plonger dans les mémoires d'un vieux roi qui sent son temps se terminer et qui probablement souhaite créer une mythologie autour de son histoire.
On est pris par l'épopée de Bellavèse, qui aurait très bien pu exister tant l'oeuvre s'inscrit dans le réel, les moments faisant appel à la "magie" pouvant très bien être sujet à interprétation (exagération de Bellavèse ou superstition? Un très bon livre à lire et à faire découvrir.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Je viens de conclure la lecture de "Rois du monde" de Jean-Philippe Jaworski, et force est d'admettre que l'auteur a su m'entraîner dans cet univers fantastique.

Dans un premier temps, j'avoue avoir éprouvé quelques difficultés à adhérer au roman qui m'a semblé souffrir de quelques longueurs introductives.

Puis, au fil de la narration, les aventures du jeune Bellovèse m'ont progressivement captivé et ainsi je n'ai pas regretté d'avoir persévéré.

Au terme de la lecture, nous devinons que par l'intermédiaire de ce tome, l'auteur traduit sa volonté d'introduire les protagonistes et l'environnement d'une épopée que l'on souhaite complexe et épique.

Que dire de l'écriture ? Jean-Philippe Jaworski se distingue par la qualité de sa plume ce qui a été un véritable enchantement pour ma part.

C'est avec confiance et un certain empressement que je me plongerai, très bientôt, dans les tomes suivants.

Bonne lecture à tous.

NeO.
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J'arrive tranquillement au bout de « Même pas mort », premier volet du cycle des "Rois du Monde" de Jean-Philippe Jaworski.

Il s'agit de la jeunesse de Bellovèse, prince orphelin du roi des Turons, au bénéfice de son oncle, le haut roi des Bituriges. Exilé avec sa mère et son frère Ségovèse, il est placé sous la surveillance et la bienveillance de l'un des héros du haut roi, Sumarios. Toujours chevelus et pas encore admis dans la compagnie des hommes, Bellovèse et Ségovèse prennent le chemin des armes à l'occasion d'une guerre arverne. C'est au cours du premier affrontement de sa vie que Bellovèse se fait perforer le flanc droit et aurait dû mourir. Sa survie improbable lui vaut un interdit qu'il lui faut lever en se rendant à l'île des Vieilles.

C'est ainsi que plusieurs récits s'enchâssent, finissant par s'entremêler dans les fièvres de l'enfant poursuivi par un monstre invisible et celles de l'adolescent percé d'une lance, encadrées par cette figure presque tutélaire d'un Bellovèse d'âge mûr et au faîte de sa gloire. A quel âge sommes-nous ? Qui rêve ?

J'ai trouvé que la deuxième des trois parties du livre, intitulée « Les marches ambrones », accusait quelques longueurs. C'est celle qui s'attache à suivre le départ à la guerre de Bellovèse et de son frère et si chacun des événements qui y prennent place sont intéressants et riches de sens, ils auraient peut-être gagné à être plus condensés. Cette partie du récit ne m'a finalement emporté que dans ses dernières pages… justement quand tout s'est accéléré. Il fallait emprunter le chemin pour y parvenir, mais on n'avait peut-être pas besoin d'autant le rallonger.

De ce point de vue-là, la première partie « L'île des Vieilles » pèche également un peu dans ses premières pages et je pense qu'il faut un peu s'accrocher. J'ai découvert Jaworski avec « Gagner la guerre » que j'ai aimé de bout en bout. Mais « Même pas mort » n'est pas une copie et se déroule dans un univers très différent, et Bellovèse rappelle bien plus le Resplendissant du Vieux Royaume que Benvenuto. J'ai donc buté et douté en lisant les premières pages, pas certaine d'adhérer au monde celte et ennuyée par ces longueurs. Mais j'aurais eu tort de laisser tomber.

La dernière partie « L'île des Jeunes » fait référence à cette destination vers laquelle tend un Bellovèse suffocant d'une lance plantée dans le torse. A demi-mort, c'est là qu'il renoue avec ses souvenirs d'enfant et que l'on ne sait plus qui de l'adolescent ou de l'enfant rêve de l'autre. Les courses à la fois physiques, intimes et mystiques à travers une forêt habitée de légendes et de dangers, courses menées par un vieux fou un peu devin, et ponctuées de rencontres à la lisière du réel.

La construction du roman prend finalement tout à rebrousse-poil. C'est dans « L'île des Jeunes » que se nouent les premiers liens entre Bellovèse et les deux compagnons qui l'attendront aux abords de « L'île des Vieilles », mais aussi avec les héros celtes dont il partagera la guerre dans « Les marches ambrones ». J'ai bien aimé le parti-pris de ne pas faire les présentations de façon un peu artificielle en début de livre, mais plutôt de remonter petit à petit le fil des peurs, des tensions et des confiances. J'ai aimé que les personnages soient construits au travers du regard subjectif et forcément limité de Bellovèse. J'ai aimé pressentir les mystères autour de Suobnos ou d'Albios, autour de Sumarios et de Troxo… et accepté que Bellovèse ne parvienne pas à les percer pour l'instant.

Concernant le style de Jaworski dans « Même pas mort », il me semble qu'il est plus ardu que dans « Gagner la guerre ». Je comprends bien le plaisir qu'il y a à jouer avec les mots – et ça pique la curiosité – mais j'imagine qu'il faut aussi faire quelques compromis si on ne veut pas perdre en chemin des lecteurs moins familiers des mots.

Le contexte permet de comprendre la plupart des expressions qui pourraient poser problème. Mais je m'interroge tout de même quand aucun dictionnaire en ligne ne connaît le mot « ai » (autrement que pour le paresseux des mots croisés) et que le titre offert en référence pour l'expression « ais disjoints » est « Les mystères de Paris » d'Eugène Sue publié en… 1843. Tout ça pour parler de bêtes planches disjointes, ce qu'on comprend aisément par le contexte, et ainsi éviter une redondance. A noter également quelques termes très spécialisés avec lesquels on aura peu d'occasions de briller en société, à moins de fréquenter une bande d'archéologues du gallo-romain.

De façon générale, je trouve que « Même pas mort » est d'un abord plus rude et une lecture un peu plus exigeante que « Gagner la guerre ». Cela se justifie un peu par le fait qu'il aborde la civilisation mal connue des Celtes, se rapporte à un univers nettement plus guerrier. Mais il aurait gagné en contrepartie à être un peu plus condensé sur certains passages, sans pour autant que ça nuise à l'histoire et aux personnages. C'est un peu dommage mais pas suffisant pour m'empêcher de continuer à découvrir la suite des « Rois du Monde » !
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Même pas mort : une immersion intrigante dans le monde celtique gaulois

L'écrivain Jean-Philippe Jaworski, auteur de jeux de rôle historiques ou issus de l'oeuvre de Tolkien, propose ici une série de romans qui se déroule aux temps des Celtes gaulois. Même pas mort, première branche est le premier titre de la série qui a pour titre “Rois du monde” .
L'auteur est né en 1969, son oeuvre est éditée aux éditions Les moutons électriques, maison spécialisée dans la littérature de genre notamment la science fiction et le fantastique.
Le volume “Même pas mort” est paru le 22 août 2013, il bénéficie d'une couverture épaisse et d'un papier de grande qualité. Les 304 pages sont imprimées avec des caractères resserrés sur des pages larges.
Ce roman à caractère historique narre les premières années de vie du celte Bellovèse qui était le fils d'un roi Turone, monarque d'un peuple gaulois. L'action se situe au centre de la France, en grande partie dans l'actuel Massif Central et également sur le rivage de l'Atlantique.
Le lecteur est immédiatement plongé dans l'univers mental des Celtes du premier siècle avant Jésus-Christ, avant la guerre des Gaules. le livre est donc en premier lieu un roman d'aventures qui nous permet de suivre la vie mouvementée de guerriers celtes. le second aspect est la présence de la magie qui est au coeur de leurs croyances. Par ce fait, le livre a un caractère merveilleux parce que les faits surnaturels sont acceptés par les personnages comme l'expression de l'au-delà.
Bellovèse narre son histoire à un interlocuteur Grec. On apprend peu à peu que son frère Ségovèse et lui étaient les héritiers légitimes du royaume Turon et qu'Ambigat, leur oncle roi des Bituriges, cherchant un moyen de les tuer, les avait envoyés faire la guerre. Cependant Bellovèse, quoique mortellement blessé, ne mourut pas car la magie entra en jeu.
L'auteur maintient le suspens grâce à l'intrication des évènements à caractère merveilleux avec les actions purement guerrières construisant un récit complexe mêlant plusieurs temporalités au point que le passage de l'une à l'autre n'est pas mis en page par des espaces séparateurs. Ainsi, le lecteur voyage entre deux réalités : celle des faits héroïques et une seconde aux confins de la magie.
Jean-Philippe Jaworski dresse le portrait d'un guerrier Celte de haut rang dont la destinée est l'épopée. L'écriture emploie un vocabulaire très précis qui oblige parfois à avoir recours au dictionnaire notamment si on n'est pas féru de l'armement celte. Ce premier épisode est fort documenté, il est extrêmement rigoureux dans les descriptions du mode de vie des Celtes Gaulois et des paysages traversés par les héros. le récit est également riche en rebondissements.
J'ai goûté les séquences de combats ainsi que les dialogues entre les guerriers qui sont emplis de défis, insultes et rodomontades. J'ai apprécié la lente prise de conscience du héros : peu à peu son univers prend de l'épaisseur et les personnages qui l'entourent se chargent de paradoxe et d'ambivalence. Par contre, je trouve parfois un peu artificielle et déroutante la juxtaposition sans transition de périodes temporelles distinctes.
Ce roman est globalement une réussite, il attirera les lecteurs aimant l'histoire, les récits de combats à armes blanches et la plongée dans un univers qui laisse régner l'indétermination entre faits réels et faits merveilleux.
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Une belle aventure en terre Celte, vivement la suite!
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