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3,48

sur 378 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
D'abord, une sublime première de couverture : le beau visage livide maculé de sang vermeille d'une sirène rousse. Tout est splendide, de l'image à la typographie, jusqu'au résumé, qui a achevé de me convaincre.

Il s'agit de ma toute première lecture du genre, un challenge, en vérité. Et, une fois n'est pas coutume, ça n'a pas fonctionné pour moi.

Je n'ignorais pas qu'on serait très, très loin du conte d'Andersen et encore plus du film Disney. À peine y retrouvons-nous notre protagoniste principale (ici Angela), jolie jeune femme atteinte de sirénomélie, vendue par son père à un cirque. Elle y fait la connaissance de son meilleur ami, Henry, garçon difforme dont les doigts soudés ensemble figurent des pinces de homard.

L'idée de départ était pourtant bonne : attribuer à la condition d'Angela une explication scientifique, plausible. Sa vie cauchemardesque dans ce cirque tenu par Stanley, un forain pervers, rappelle celle de Joseph Merrick alias Elephant Man. Jusque là, j'étais dedans, j'y croyais. Une sirène monstre de foire, prostituée sans pitié pour servir les penchants ignobles de clients crasseux, ma foi, pourquoi pas ? L'ambiance est crédible, glauque à souhait. J'ai plongé dans un océan de tristesse et de douleur très bien écrit, servi par une plume acérée, agrémentée d'expressions québécoises.

C'est ensuite que les choses se corsent. Un déferlement de violence dont j'ai parfois peiné à trouver la justification. L'âme humaine est décortiquée dans toute sa noirceur, sa déchéance. Viol, passage à tabac, torture, folie...j'avoue que mon estomac a été un peu malmené au cours de ma lecture. Petite nature que je suis, je pensais tout de même m'être assez préparée à cette relecture audacieuse de l'une de mes histoires favorites.

C'est tellement dommage parce que le fond est très bien vu, les personnages sont correctement travaillés et le fait que l'action se déroule au Québec ajoute une dose d'originalité agréable. le Palais des Nains, sorte de cour des miracles ahurissante de démence meurtrière, a le mérite de surprendre, tant il survient de nulle part. Et c'est peut-être en cela que réside le problème. À force de vouloir choquer, on finit par se perdre.

Les chapitres défilent, tels les scènes d'une pièce de théâtre macabre dont les acteurs souffrent tant, que le public en vient à souhaiter que ça s'arrête. Les genres se mélangent : fiction réaliste, conte horrifique, on passe de l'un à l'autre sans avoir le temps de reprendre son souffle.

En vérité, si l'objectif est de mettre le lecteur mal à l'aise, de le pousser à refermer le livre avant de le rouvrir avec un intérêt coupable, alors, la mission de l'auteur est réussie. À chaque épisode insoutenable, j'ai pensé ne pas aller au bout. Et ils sont très (trop?) nombreux au fil des pages. Malgré tout, j'ai terminé cette histoire, l'esprit bien loin des vagues et des profondeurs marines.

Une lecture bien perturbante pour ma part, qui risque d'alimenter quelques cauchemars ! Mais peut-être que c'est ce qui donnera envie à certain.e.s de s'y plonger au risque de se noyer?

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Ce récit s'inspire de la petite sirène, mais se démarque complètement du conte original et de la version de Disney. ⚠ Public averti ⚠

Le livre aborde un sujet intéressant : la sirenomélie, une malformation réelle peu connue. Sans cette lecture, je n'aurais jamais su que cette condition existait.

L'auteur, Sylvain, nous offre une plume fluide et simple, délivrant des scènes horribles sans surcharger de descriptions superflues. Cette approche permet à notre imagination de créer des images aussi épouvantables que nous le souhaitons.J'ai préféré garder mes distances avec les protagonistes, évitant ainsi de me laisser totalement emporter par leurs destins et leurs mésaventures.

Cependant, malgré le plaisir de cette lecture, j'ai été partagée quant à la fin du récit qui m'a paru un peu trop rapide. J'aurais aimé en apprendre davantage sur le monde mystérieux des "égouts".

En conclusion, ce livre est une belle entrée en matière dans la découverte des contes interdits.

Découvrir cette collection a été une expérience intrigante, inédite et plaisante, ça change des romances, ou des romans qui fint pleurer 😅🫣!
Je vais continuer à lire cette collection avec le groupe de lecture commune, mais je tiens à rassurer tout le monde : je ne suis pas une psychopathe! 💀
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On est très loin de l'histoire bien mignonne proposée par Disney. Ici la queue de la sirène est dûe à un handicap, ce qu'il lui entraînera une vie de monstre de foire.
Ce récit est glauque, noir, sans lumière, trash.
Angela rêve d'une échappatoire à son existence. Mais que faire alors que l'on n'est pas capable de marcher ?
Les personnages côtoient la violence et la folie, la douleur et l'humiliation. Rien ne leur sera épargné.
Un roman dur, qui change de ce qui se lit habituellement.
A ne pas mettre entre toutes les mains, seulement pour public averti.
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Disons-le d'emblée, ce roman s'avère meilleur que LE VILAIN PETIT CANARD ou LE PETIT CHAPERON ROUGE dans cette même collection de contes interdits, ne serait-ce que parce qu'il suit l'histoire originelle de manière plus fidèle. Mais précisons tout de suite que nous sommes loin d'une grande réussite.
Ici, nous suivons le destin d'Angie, jeune fille atteinte d'une véritable maladie, la sirénomélie, surnommée « le syndrome de la sirène », qui a transformé ses jambes en une sorte d'appendice caudale. A sa naissance, rejetée par son père alcoolique, l'enfant est confiée à des forains qui vont la transformer en phénomène de foire et tirer parti de sa condition. Là, Angie se lie d'amitié avec un « garçon homard » et subit des viols à répétition par des pervers qui paient pour coucher avec une « sirène ». Elle finit par s'enfuir et trouve refuge dans un étrange palais habité par des nains.
Comme les autres titres de la série, ce conte interdit se veut horrifique et riche en passages osés. L'auteur étale donc pas mal de scènes chocs qui mêlent sexe et sang de manière très frontale. C'est d'ailleurs la principale qualité du bouquin : plonger dans la fange et offrir au lecteur son quota de scènes de viols et de tortures. LA PETITE SIRENE parvient ainsi à divertir lorsque le romancier joue à fond la carte de la perversité (la sirène se fait violer avec un harpon planté dans sa « queue », l'homme homard ébouillanté vivant,…) ou du délire, en particulier grâce à une bande de nains. Ceux-ci vivent dans un « palais des nains » où ils se livrent à toutes les turpitudes possibles. Faut dire que le nain s'ennuie. A part jouer dans Game of Thrones, Fort Boyard ou du porno hard-crad les débouchés sont minces. Alors il faut bien s'amuser et comme le chantait les VRP tripoter les « nénés des nanas des nains ».
Bref, ces aspects outrés peuvent paraitre ridicules, ils n'en sont pas moins plaisants et permettent de sortir quelque peu des sentiers battus. L'hommage plus ou moins volontaire au classique « Freaks » rend plus digeste un roman qui aurait cependant été plus réussi en sombrant encore davantage dans le porno gore rigolo. Ceux qui ont visionné les perles de cinémathèques que sont « La Baby Sitter violée par un nain » ou « The Sinful Dwarf » me comprendront. Notons toutefois que le bouquin se distingue aussi par son vocabulaire canadien dépaysant avec quelques expressions sympas (« hostie » ou encore « Viens moi dedans ! ») qui donnent le sourire.
Roman totalement invraisemblable mais en partie sauvé, justement, par ses péripéties délirantes, LA PETITE SIRENE aligne viols, tortures, perversions sexuelles et passages cradingues pour le plaisir de l'amateur de littérature déviante. Dommage que le tout se prenne un peu trop au sérieux (couverture classieuse et présentation prestigieuse) sans oser assumer jusqu'au bout ses orientations malsaines. On préfèrera donc relire un bon Gore ou un petit Karnage mais, au niveau des Contes Interdits, voici sans doute le bouquin le plus fun (pour l'instant).

Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Le genre était probablement trop violent et déviant pour moi à ce moment-ci. À la fois grotesque, frisant le ridicule (pas juste frisant). le côté corrosif avec le palais et tous ses personnages plus « grands » que nature. du pur délire. J'ai tout de même aimé la qualité d'écriture de l'auteur, le développement de ses personnages qui sont captivants malgré tout...mais pas le type d'histoire déjantée et malaisante qui y était rattachée.
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Ce conte ci est dans la lignée des autres contes interdits qui reprennent les contes traditionnels mais dans leur version moderne, fantastique et horreur. Ici la petite sirène d'Andersen est une superbe jeune fille atteinte de sirénomélie (ou le syndrome de la sirène) que son père, fou de chagrin, avait voulu noyer à la naissance. le médecin accoucheur en a pitié et la confie à un groupe de forain qui l'exploite en tant que monstre de foire et régulièrement comme prostituée. Suite à de nombreuses péripéties, elle arrive à se sortir du cirque avec l'espoir d'être opérée et d'avoir enfin une vrai vie de femme. Mais tout ne se passe pas comme prévu.
Fan de fiction fantastique et ne boudant pas celle d'horreur, je ne pouvais que succomber à ces versions de nos contes traditionnels. J'en ai déjà lu plusieurs que j'ai plutôt apprécié dans l'ensemble mais je dois dire que celui ci n'est pas le meilleurs. Pourtant il est plutôt bien écrit, les éléments du contes sont bien repris en toute dérision, les personnages principaux sont attachants et on ne peut que compatir à leurs malheurs, l'horreur monte crescendo, la fin est efficace et logique. Mais je ne sais pas, il m'a manqué un truc, je ne suis pas autant rentrée dedans que dans les autres contes. Bon par contre, il faut préciser qu'il s'agit là de littérature québécoise et que l'on peut parfaire sans problème son vocabulaire et ses "sacres" québécois. Peut être une lecture à réserver aux amateurs du genre ?
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La collection des contes interdits fait beaucoup parler d'elle ces dernières années. Je l'ai découverte à ses tout débuts, je crois qu'il ne devait y avoir que 5/6 contes de sorti à cette époque là. J'ai de suite était fan du concept. Je trouve que reprendre les contes de notre enfance, qui nous ont tant fait rêver et les transformer en histoires affreuses, gore, ayant des thèmes vraiment difficile à lire, perso j'adore! Je suis très loin d'avoir tout lu dans la collection mais j'ai tout de même pas mal de contes interdits lus pour le moment. Même si je suis très fan de cette collection (et celle dans l'univers des contes interdits qui reprend des personnages que l'on a croisé ailleurs), il y en a certains qui ne m'ont pas plu du tout ou pas plus que ça. Celui ci est un peu particulier, ce n'est pas que je n'ai pas aimé mais je ressors de cette lecture avec un sentiment étrange. Mais on en reparlera après!

J'avais déjà lu un autre conte de cet auteur et dans mes souvenirs, j'avais plutôt bien aimé. Alors forcément certaines fois je me retrouve un peu décontenancé par les expressions québécoises mais ça forcément l'auteur n'y est pour rien! Si certaines ne m'ont pas dérangées dans le sens où je l'ai comprise, je dois avouer qu'avec certaines j'ai eu du mal à comprendre. Mais ma foi, ça nourrit ma culture générale j'ai envie de dire. Tréve de plaisanterie, sinon sa plume est agréable à lire, c'est fluide et assez addictif! Ce que j'aime avec cette collection de livres c'est que se sont toujours des romans très courts qui se lisent vraiment très vite. Généralement ils ne font pas long feu entre mes mains!

Dans ce roman, on retrouve un père alcoolique qui tente de noyer son enfant difforme. Un couple de monstres de foires en cavale, poursuivi par un policier corrompu, au service d'un juge pervers. Une magnifique sirène prisonnière des griffes d'un forain sadique et qui se lie d'amitié avec un garçon homard. Une mystérieuse attraction montréalaise, le palais des nains, qui cache des abominations, d'absurdes personnages de cauchemars aux intentions machiavéliques.

Concernant l'histoire, déjà on a clairement les éléments essentiels du conte de base. Et rien que ça c'est appréciable, j'ai déjà lu certains contes interdits où on ne retrouve pas les éléments de base et clairement, je trouve ça hyper dommage. L'histoire en elle même m'a permis d'apprendre de nouvelles choses pour le coup. Je n'avais jamais entendu parler de la sirénomélie, c'est une forme rare de malformation qui provoque une fusion des membres inférieurs, ce qui fait penser à une queue de sirène. Il y a aussi la malformation qu'a le personnage de Henry, ce dernier à ses mains qui font penser à une pince de homard, il y a une absence de deux doigts et la main a donc une apparence de pince. Je n'avais jamais entendu parler de ces deux malformations pour le coup. Comme tous les romans de cette collection et surtout comme précisé sur la couverture, ce roman est pour un public averti. Ils abordent des sujets hyper difficiles comme la pédophilie, le viol etc et surtout, parfois certaines scènes sont vraiment difficiles à lire. Alors faites attention à vous. Pour être tout à fait transparente, ce conte là est celui qui m'a mis le plus mal à l'aise. Lire des romans aussi difficile que ceux là ne me dérangent pas le moins du monde, il en faut beaucoup pour me perturber. Mais alors lui? Sincèrement c'est la première fois que je ressens ça pendant une lecture, jamais je n'avais ressenti ce genre d'émotions. Je n'étais pas bien pendant ma lecture, j'étais mal à l'aise, parfois je lisais du coin de l'oeil, c'était tellement bizarre! Dès le début j'avais cette sensation bizarre mais alors le summum ça a été quand on arrive à la maison des nains, alors là pardon mais c'était beaucoup trop bizarre, chelou, étrange tout ce que vous voulez. Même en écrivant ces mots je tire la grimace. Si vous l'avez lu je veux bien que vous me fassiez un retour de votre lecture, je suis très curieuse de voir si quelqu'un a eu le même ressenti que moi!

Du côté des personnages, celui d'Angela m'a profondément touché. Elle se retrouve exposé dans un cirque comme une bête de foire, elle est, quasi quotidiennement, violée, elle doit « travailler » dans des conditions tout simplement affreuses, elle va vivre des choses tellement horrible que je ne peux tout simplement pas le dire tant c'est affreux. La vie ne lui a fait aucun cadeau, je pense que je préfère mourir plutôt que vivre une vie comme la sienne. Ce qui m'a le plus surprise avec elle c'est le courage qu'elle a. Je ne dis pas qu'elle s'en fiche de ce qu'elle vit parce que ce n'est pas le cas mais elle est hyper courageuse parce qu'elle trouve la force de ne pas se laisser abattre et ça, franchement ça mérite le respect! On a aussi Henry, le garçon homard qui m'a également beaucoup touché. Il est très attaché à Angela et vivent tous les deux dans la même caravanes. Ils se soutiennent mutuellement et je pense que si ils tiennent le coup c'est justement parce qu'ils sont là l'un pour l'autre. Henry est un jeune homme tellement touchant, voir ce qu'il est devenu, ça m'a brisé le coeur pour lui.

Je ressors donc de cette lecture avec un sentiment de malaise qui me colle à la peau. le roman n'est vraiment pas mauvais je trouve, tout est cohérent etc mais vraiment tout ce qu'il se passe surtout au palais des nains, ça m'a vraiment mis très très mal à l'aise. Je me suis sentie si bizarre pendant ma lecture, c'était très perturbant! En tout cas, je suis toujours aussi fan de ce concept de contes interdits. Je continue de découvrir petit à petit les différentes histoires et j'ai même commencer à découvrir celles dans l'univers des contes interdits, j'adore!
Lien : https://enairolf.home.blog/2..
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C'est le deuxième conte interdit que je lis et je ne suis toujours charmée. A mes yeux, La Petite Sirène est "moins pire" que Hansel et Gretel mais reste tout autant horrible. Je ne sais pas trop à quoi je m'attendais à lire ces choses-là. Une réécriture plus dark des contes ? En fait, je vois difficilement l'intérêt de lire et écrire des choses pareilles...
Ce que j'ai apprécié, c'est le style d'écriture de l'auteur. La plume est agréable à lire bien que ce qu'il raconte est horrible.
Ici, dans cet ouvrage, vous allez suivre les aventures d'Angie, une jeune demoiselle qui a une déformation de naissance : elle n'a pas de jambes. Aussitôt née, aussitôt les malheurs commencent. Elle se retrouve dans un cirque où elle est maltraitée, violée jusqu'au jour où les évènements font qu'il n'est plus possible de vivre dans ce cirque.
J'ai apprécié le personnage de la Comtesse et sa folie.
Mais c'est bien tout. Hormis une grande pitié pour notre personnage principal, je dois dire que je n'ai pas ressenti grand chose à l'égard des autres personnages.
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Je n'ai pas beaucoup aimé ce roman. J'ai même été mal à l'aise à certains moments pendant cette lecture.
Pourtant j'adore les thrillers, mais ce déferlement de perversité sexuelle et de sadisme, c'était trop.

Cette petite fille naît dans ce monde contemporain avec le syndrôme de la sirène, ses membres inférieurs n'en font qu'un.
Rejetée par son père, elle se retrouve dans un cirque.

Outre les conditions misérables dans lesquelles elle vit, elle subit régulièrement des sévices sexuels, viols et tortures, qui sont de pire en pire au fil des pages.

Les personnages sont très superficiels, plats, sans consistance, et j'ai eu du mal à avoir de l'empathie pour eux.
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De bons et moins bons passages dans ce livre. Ma critique ne sera pas très longue. Disons simplement que j'ai bien aimé les lieux décrits, la difformité des personnages, le palais des nains, la comtesse et la fin fut bien. Par contre, j'ai eu l'impression que l'auteur a voulu mettre de l'avant l'horreur et les scènes de sexe et, par le fait même, a un peu baclé le travail au niveau de l'histoire. de trop grandes coincidences, comme l'apparition du personnage Martin par exemple, m'ont laissé un petit peu sur ma faim. On a tenté d'expliquer les ressentis des personnages au fur et à mesure, ça aurait pu être intéressant si on ne l'avait pas fait si rapidement dans certaines scènes et avec des personnages très peu importants au déroulement de l'histoire. Il y avait un peu trop d'histoires dans cette histoire en fait. La scène entre Gustave et sa cousine par exemple, en est une inutile ou justement trop rapidement classée pour qu'on s'y attarde vraiment. Néanmoins, le côté créatif de l'auteur lui a sourit à certains endroits. La maladie de la sirène par exemple était un bon point de départ à l'histoire. le palais des nains avait ce quelque chose de lugubre et intriguant ayant bien servi la cause du récit. Bref, un roman que je recommande pour sa façon de nous amener dans un univers loin du déjà vu mais que j'aurais aimé savourer un peu plus.
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