AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,48

sur 502 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
- Abandon -

Cette dystopie, au demeurant bien écrite, est ennuyeuse et manque de rythme.

Les personnages sont antipathiques et l'intrigue est « plate » comme disent les québécois.

Bref, parvenue à la moitié du livre, que je lis déjà en diagonale (ce qui est mauvais signe), j'ai décidé d'abandonner cette lecture qui ne me passionne décidément pas…
Commenter  J’apprécie          80
Un roman dans le laboratoire et les urnes de l'Iowa

Qu'adviendra-t-il dans le futur d'un monde gouverné par la violence et la duplicité d'individus du genre de Donald Trump ? Ce président Ubu, autoproclamé roi d'une « Amérique great again », est au centre du nouveau roman de Douglas Kennedy qui se déroule en 2045.
À la lecture de ce livre, le lecteur, qui se souvient encore des épisodes tragiques liés au premier (et, espérons-le !) unique mandat de l'inquiétant bouffon, ressent l'impression d'assister à des scènes du genre de celles que décrivaient les personnages de Shakespeare, dans cette « histoire racontée par un idiot et qui ne signifie rien. » C'est là que réside la force philosophique du roman qui donne à réfléchir sur l'homme, le progrès, la société, le pouvoir...
En 2045 donc, déchirés par une nouvelle guerre de Sécession, les États-Unis sont profondément fracturés en deux zones irréconciliables : l'une, progressiste mais sous surveillance et l'autre traditionaliste, figée dans le fondamentalisme religieux, le suprémacisme blanc, la défiance de tout individu « anormal », la haine de toute déviance.
Dans ce chaos du milieu du XXI° siècle, au coeur de cette dérive de la société américaine, où l'homme est une « marionnette entre les mains des dieux », les (très modernes et connectés) personnages du roman s'électrisent comme ils peuvent à coups de puce et de gadgets high-tech. Mais ils finissent par égarer le lecteur dans une décevante histoire d'espionnage et de famille reconstruite.


Lien : http://ericbertrand-auteur.n..
Commenter  J’apprécie          30
Extrêmement décevant. Dès la moitié du livre j'ai lu en diagonale et j'ai du me forcer pour le finir, être bien certain que je n'ai pas manqué un final époustouflant, mais non, rien, creux, ennuyeux. L'intrigue n'est qu'un prétexte mais ne présente aucun intérêt. On sent d'ailleurs que l'auteur s'en moque. Prétexte pour l'auteur pour nous montrer qu'il a compris l'usage qu'un régime totalitaire peut faire de la technologie, et il en rajoute, en rajoute, toujours plus ennuyeux. Tout le monde sait aujourd'hui ce que l'on peut faire avec un traceur GPS et une micro caméra, de là à délayer pendant 335 pages, non, vraiment ce livre ne présente aucun intérêt.
Commenter  J’apprécie          10
Ce roman n'est qu'un vulgaire polar auquel l'auteur a ajouté de la propagande en faveur du changement opéré par le gouvernement américain. Quant à écrire que Biden est la réincarnation de Roosevelt, c'est pousser la caricature à son extrême...






Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (1250) Voir plus



Quiz Voir plus

Douglas Kennedy

En quelle année parait son premier roman Cul de Sac (parfois titré Piège nuptial)?

1973
1987
1994
2003

10 questions
216 lecteurs ont répondu
Thème : Douglas KennedyCréer un quiz sur ce livre

{* *}