AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,36

sur 1074 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Pour le moment, c'est le plus mauvais King que j'ai lu à ce jour.
L'histoire est tirée par les cheveux :des zombies télépathes qui volent et qui kiffent la zic un peu pourave...HUM ! Même prit au second degrés, la mayonnaise n'a pas prit...j'ai trouvé que c'était "too much" ! Même le dénouement me laisse perplexe. Les personnages ne sont pas vraiment intéressants, le style est pauvre, quant à la fin du livre, c'est une fin ouverte qui laisse libre court à l'imagination du lecteur ; en revanche, elle n'éclaire pas non plus sur le pourquoi du comment de tout ce merdier.
Deux étoiles pour l'idée : des bigophones qui détraquent les gens c'était sympas. Deux étoiles pour le début qui est pas mal non plus, sinon je ne vous recommande pas ce livre : King a écrit beaucoup mieux !
Commenter  J’apprécie          304
Quel déception! Lecture laborieuse. le king signe ici à mon humble avis son plus mauvais roman - et j'en ai lu beaucoup. On peut certes en tirer quelques bons passages, la plume est fluide mais tout le reste m'a déplu. L'histoire est lente. Les personnages, sans saveurs, ne sont pas attachants et manquent de crédibilité dans leurs réactions face une situation des plus horrible et traumatisante.
Commenter  J’apprécie          180
J'ai adoré le début : ça démarre sur les chapeaux de roues, on n'a même pas le temps de se poser de questions !! C'est méga trash et marrant à la fois (bon, j'avoue,il n'y a peut-être que moi pour me marrer devant les éructations primaires des siphonnés )
Mais plus j'avançais et plus je trouvais l'histoire fade...Comme les personnage auxquels je me suis peu attachée. Surtout Alice, qui m'a gonflé avec sa godasse de bébé. Bizarrement, je me suis surtout attachée aux personnages secondaires (le directeur et Ray).

Avec du recul, j'ai quand même pris du plaisir à lire ce roman, je peux pas dire le contraire. Les pages défilent à une vitesse folle et je ne me suis (presque) pas ennuyée. Mais je dois dire que je suis restée sur ma faim, car le contenu reste assez pauvre. C'est "divertissant" on va dire et certainement pas le meilleur roman qu'a pu écrire Stephen King...
Commenter  J’apprécie          120
le début des années 2000 a été, je pense, la pire période pour King au niveau de ses écrits.
Après le très ennuyeux "Dreamcatcher" de 2002, après l'insignifiant "Roadmaster" de 2004, voici le "Cellulaire" de 2006 qui n'est franchement pas génial.

Pourtant, ça commençait bien, très bien même. Pour une fois, on ne pouvait pas dire que King prenait son temps pour mettre l'histoire en place. Là, ça partait sur des chapeaux de roues et j'en étais franchement ravi. Je passais outre les nombreuses critiques négatives qui j'ai pu lire ici et là et avec un tel début, j'étais enthousiaste quant à la suite du bouquin.
Mais que nenni !!! L'histoire traîne un peu en longueur (étonnant pour un livre qui ne fait "que" 500 pages). de nombreux passages pas très intéressants où ça part un peu dans tous les sens.

En revanche, les personnages sont plutôt bien travaillés, ça rattrape un peu, surtout le trio Clay-Tom-Alice. Mais on ne s'en souviendra pas comme des personnages majeurs de l'Oeuvre de Stephen King.

Je m'attendais à plus de fantastique, plus de sang, plus de zombies, etc...
En fait, tout comme "Dome", je m'attendais à beaucoup plus. La quatrième de couverture est plutôt trompeuse par rapport au contenu.

Au final, ça donne un livre plutôt moyen, qui ne restera pas dans les annales kingiennes. Les aficionados (j'en fais partie) savent bien évidemment qu'il a écrit pire mais aussi beaucoup mieux que ça.

Note : 2.5/5 mais sur Babelio, ça donne un 3/5 (parce que je suis gentil).


Commenter  J’apprécie          110
"La civilisation sombra (...) dans l'âge des ténèbres non seulement en s'accompagnant d'un bain de sang, comme on pouvait s'y attendre, mais à une vitesse que même les plus pessimistes des futurologues n'avaient pu prévoir".
C'est sur cette phrase que s'ouvre ce roman. On est prévenus, il va y avoir de l'action et du sang en veux-tu en voilà. Si certains romans démarrent très lentement, tel n'est pas le cas de celui-ci. Il démarre sur les chapeaux de roues, dès les premières pages lues, le monde devient apocalyptique, les gens contaminés par leur portable deviennent complètement fous et plus si humains que ça. Bref c'est le chaos. Sauf que pendant les deux cent pages suivantes, il ne se passe plus rien et on s'ennuie. Ce n'est que vers le milieu que l'action reprend pour emmener le lecteur quelque peu endormi jusqu'au bout. de plus aucune explication n'est donnée sur les raisons de ce chaos, qui l'a provoqué et pourquoi. Bref, même si par certains aspects ce roman m'a fait penser au film Je suis une légende, que j'avais beaucoup aimé, il ne m'a pas emportée. Moi qui suis (ou plutôt qui étais) une grande fan de Stephen King, je suis déçue par ses romans récents. Je ne retrouve plus le plaisir que j'avais en lisant "Marche ou crève" ou encore "La peau sur les os" et les autres romans plus anciens.Dommage!!!
Commenter  J’apprécie          70
C'est bien simple, il y a deux choses auxquelles je suis accro : les zombies (que se soit au cinéma ou dans la littérature) et mon (ô précieux) téléphone. Autant vous dire qu'après avoir lu la quatrième de couverture de ce King, j'étais emballée !
J'ai déjà lu pas mal de King et malheureusement je ne placerai pas celui là dans mon top 5 …

Pourtant dès le premières pages ça partait plutôt bien pour moi : on est directement plongé dans un univers apocalyptique sans temps morts, et nous vivons grâce à des descriptions assez cinématographiques le chaos dans lequel le monde et nos héros semblent sombrer.
Malheureusement après tout s'essouffle pendant au moins 200/220 pages avant au final que l'action reprenne (et encore King m'avait deja perdu).
Clay avec l'aide d'un petit groupe de survivants est déterminé à retrouver sa femme et son fils et doit parcourir pour cela les 200 km qui l'emmènera à Kent Pond (je ne savais pas que 200 km pouvaient être aussi long en littérature …). Durant leur périple nos héros vont petit à petit découvrir la façon d'être et d'agir des personnes contaminées en les observant et je n'avais qu'une envie : connaitre le pourquoi du comment : qu'est ce que ‘l'impulsion' ? Comment cela est-il arrivé ? Je n'aurais pourtant pas de réponses à mes questions.
King m'a perdu après un peu plus de la moitié du bouquin, mais je ne me décourage pas et je continue ma lecture … Ce n'est pas la fin qui va remonter le niveau de ce livre : j'ai trouvé qu'elle a vite été expédiée, je déteste les histoires où nous restons sur notre faim et c'est clairement le sentiment que j'ai ressenti !

Au niveau des personnages, j'ai réussi malgré tout à m'attacher a Clay, Tom et Ardai mais sans plus, même à ce niveau King m'a habitué à mieux …
Par contre le personnage d'Alice avec sa chaussure de bébé m'a clairement gonflé SPOILERS quand elle est morte je me suis dis une chose : bon débarras !
Mais la chose à laquelle j'ai le moins adhéré et que je regrette d'autant plus, c'est vraiment ces pseudo « zombies » mais qui sont tout de même humains avec un zeste d'extra-terrestre … C'est trop pour moi je n'ai pas accroché du tout.

L'idée de départ était bonne, mais la période dans laquelle King a écrit ce livre n'est pas sa meilleure … Je m'attendais à vivre une aventure rythmée et effrayante et au final je n'ai pas ressenti cela : excepté le début du roman je me suis vraiment ennuyée, et je n'ai pas accroché à ces « zombies ». Dommage. Il y a pourtant quelque chose qui m'a poussé a continuer de lire, ce que j'ai fait sans pour autant apprécier …
Au sujet de l'adaptation cinématographique il y avait un casting de choix : le duo d'acteurs John Cusack/Samuel L. Jackson réunis prés de dix ans après « La Chambre 1408 », moi ça me vendait du rêve … Je l'ai trouvé sympathique mais sans plus, à regarder si vous n'avez rien de bien passionnant à faire de votre journée.
Lien : https://blondreader.wordpres..
Commenter  J’apprécie          61
De moins en moins convaincue par King.

Pourtant, avant même de voir les adaptations cinématographiques, j'avais adoré La ligne verte et Shining.

Après avoir lu Cellulaire et un autre livre dont j'ai déjà oublié le nom, je suis bien obligée de réviser mes à-prioris positifs sur "le maître de l'horreur".

Tout simplement ennuyeux, je me suis forcée à le lire jusqu'au bout histoire de passer le temps dans les transports en commun, j'ai failli louper mon arrêt plus d'une fois. Non parce que j'étais captivée, vous l'aurez compris, mais parce que je luttais contre l'endormissement.

J'ai plus souvent ri intérieurement qu'autre chose devant les descriptions qui se veulent effrayantes et porteuses d'une grande tension psychologique.
Un point spécial pour Alice qui m'a particulièrement agacée, au point où (SPOILER) j'ai remercié abondamment l'auteur quand elle est morte. Enfin débarrassée d'elle !

Enfin débarrassée de ce livre, la lecture a été expédiée.

Merci à Roselia11 pour cet échange, dommage que je n'aie pas accroché !
Commenter  J’apprécie          60
Un livre à oublier. Stephen King n'était pas au meilleur de sa forme. Il venait d'écrire des livres très mauvais tels que Territoires, Roadmaster et Colorado Kid.
Cellulaire conclue cette mauvaise passe qu'a connue le maître de l'horreur. Ce livre ressemble beaucoup à un scénario de (télé)film, puisque l'auteur s'intéresse davantage aux situations surréalistes qu'à ses personnages, en effet, dès le début le lecteur est confronté à l'horreur. Ce qui contraste avec les longues introductions psychologiques auxquelles nous a habitués monsieur King. C'est peut-être pour ça que j'ai été un peu dérouté par ce roman.
Dans une intrigue similaire, je vous conseille Désolation, dont l'horreur est plus efficace.
Enfin, Cellulaire n'a pas de fin, et il me semble que ce roman porte un propos plutôt faible, il n'y a pas de rebondissements, les péripéties sont très linéaires. le lecteur sort frustré de cette lecture car il a l'impression qu'il manque 200 pages ! Pourtant l'histoire avait bien commencé avec avec beaucoup de rythme ! Dommage.
Commenter  J’apprécie          40
Je termine cette petite revue avec Cellulaire de Stephen King. Après avoir dévoré Ecriture, il me tardait de retrouver ce maître de la littérature populaire américaine. J'avais saisi le prétexte d'une intrigue se déroulant à Boston pour m'acheter le livre. Quelle déception ! le roman est relativement épais avec près de six cent pages mais l'intrigue reste pitoyablement mince.
Les premières pages sont racoleuses et dramatiques avec la description de la fin du monde, rien de moins. Par une après midi ensoleillée, tous les téléphones portables du monde se mettent à carillonner à l'unisson. Malheur à celles et ceux qui décrochent, ils deviennent immédiatement fous furieux. Quelquefois suicidaires, la plupart du temps meurtriers mais toujours violents. Toute trace de civilisation dans le cerveau balayée par une rage primaire et une brutalité sanguinaire. Nous suivons alors les aventures d'un petit groupe de rescapés qui tentent de survivre dans la catastrophe. Peu à peu une conscience collective émerge des masses décérebrées et une nouvelle civilisation émerge. Un semblant d'organisation apparaît ainsi que des pouvoirs télépathiques grandissants chez les post-humains. Ces "siphonés" entament alors une guerre totale contre le restant de l'humanité.
Présenté comme cela, l'histoire est alléchante, le livre l'est malheureusement beaucoup moins.
Dans la forme déjà c'est catastrophique. C'est atrocement mal écrit ou bien mal traduit, probablement un peu des deux. le style est pauvre et sans imagination. Seul avantage, ça se lit vite. Stephen King s'improvise pasteur de l'easy-reading en quelque sorte.
Passons au fond maintenant, ce n'est pas mieux. On sent rapidement que l'histoire ne suit pas un scénario réfléchi et que l'intrigue se forge au hasard des rencontres du petit groupe de survivants. Quand à la fin, elle est grand-guignolesque. Que le lecteur potentiel se rassure, l'humanité est sauvée in extremis.
Comme souvent avec Stephen King, la cause du glissement vers l'horreur n'est jamais expliquée, on se contente des hypothèses des protagonistes. Attentat terroriste ? Expérience qui a mal tournée ? Événement surnaturel ? On n'en saura pas plus et c'est diablement frustrant.
Enfin pas si frustrant que cela lorsque l'on suit les théories informatiques du romancier et son analogie avec la psyché humaine. Les explications sont au mieux erronées et les tentatives de vulgarisation par la bouche d'un gamin de huit ans font au choix sourire ou se lamenter l'homme de science.
Enfin bref, un roman à éviter. Je me demande si c'est une exception ou bien si tous les livres du quidam étaient déjà aussi mauvais lorsque je les dévorais à l'adolescence.
Lien : http://oiseauchanteur.blogsp..
Commenter  J’apprécie          41
Très percutante au début du livre (l'exergue est à couper le souffle et nous annonce une saga à la façon de "La Guerre des Mondes") l'histoire va decrescendo de pages en pages, jusqu'à ... C'est un petit Stephen King, même si, il faut lui reconnaître ça comme d'hab', les personnages sont immédiatement attachants.
Commenter  J’apprécie          20




Lecteurs (2866) Voir plus



Quiz Voir plus

Cellulaire stephen King

Comment s'appelle le personnage principale?

Thomas
kevins
Clayton
Anne

19 questions
18 lecteurs ont répondu
Thème : Cellulaire de Stephen KingCréer un quiz sur ce livre

{* *}