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3,86

sur 1888 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai mis énormément de temps à finir ce livre parce que je faisais des pauses. J'ai trouvé ce livre compliqué à lire, surtout le début. J'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire j'ai plus compris vers la fin mais quand même assez compliqué. Cependant l'histoire en elle- même et super bien.
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C'est du pur SK des années 80, pas forcément ma période préférée dans la carrière de l'auteur, mais c'est de la bonne série B littéraire, qui n'est jamais surprenante, mais qui fascine toujours autant par le talent qu'à King pour broder sur de tous petits événements durant de nombreuses pages. Pour le coup, c'est parfois un peu trop long.
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J'ai sorti ce livre de ma pile à lire dans le cadre du #pumpkinautomnchallenge pour remplir la catégorie "Rocket Racoon on the run" dont j'ai retenu les mots clés mutation et expérience scientifique.

Bon clairement, je n'ai pas adoré. le livre a été publié en 1980, le thème n'était pas encore tourné et retourné dans tous les sens comme aujourd'hui. Il m'a donc paru vu et revu parce que c'est bien le cas. On sent les prémisses de ce genre de thème et forcément pas d'étonnement ou de surprises en le lisant.

Je l'ai trouvé extrêmement long. La psychologie est très bien travaillée mais on en aurait pu en couper une partie que ça n'aurait rien changé. Pour autant, ce livre m'a marqué, j'en ai rêvé. Stephen King sait nous atteindre et nous déranger avec ses histoires.

Le dernier film adapté du roman dont le titre est Firestarter est actuellement sur Netflix si l'histoire vous intrigue.

Un bilan mitigé mais je suis tout de même contente qu'il ait participé à cette ambiance si particulière du #pumpkinautumnchallenge
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L'histoire n'est pas palpitante. L'action est surtout centrée vers la fin au dénouement. le plus de cette histoire ce sont surtout les personnages principaux qui sont attachants. Mais l'idée du roman reste du déjà-vu pour moi avec le King, c'est dommage.

Chronique entière sur le blog.
Lien : https://leslecturessucrees.c..
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Andy & Charlie, un père & sa fille sont en fuite...
A leurs trousses : La Boite.
La Boite ? C'est une Agence gouvernementale.

*** FLASH BACK ***

Deux étudiants en rade de tunes.
Andy & Vicky deviennent cobayes sur le campus, pour se faire injecter le "Lot 6".
L'expérience tourne au désastre pour certains mais pas pour eux.
Ils en ressortent même avec certains pouvoirs.
La télékinésie pour Vicky, et Andy sait commander les actes/pensées des autres.
Ils finissent par se pécho & ensemble, ils donnent naissance à la petite Charlie.
Mais avec des parents légèrement différents tu peux te douter que la gamine est un peu comme un X-men.
Un enfant 2.0
Let the fire starter !

Elle est mignonne Charlie.
Mais faut pas trop l'énerver ou lui faire peur.
Son pouvoir : la Pyrokinésie
En gros, elle peut te faire flamber en 2-2 comme un poulet.
#KFC

La Boite a eu vent de la survie de leurs cobayes et ... de la descendance surtout.
Charlie est une petite bombe.
et une bombe, ça se surveille et quand son pouvoir devient plus puissant, il faut en reprendre le contrôle à tout prix.
Une arme de destruction dans le corps d 'un enfant.
Charlie est super attachante.
8 ans.
Torturée entre le plaisir d'exercer sa puissance (déchaine la fureur Mitch) et sa peur panique de faire le Mal.

Ca s'annonce bien tout ça nan !?
Et ...
Ben un livre trés ... lent au final. Ah.
Comme ma lecture.
Attention c'est bien à lire mais certains (longs) passages auraient pu être carrément supprimés je pense.
Ils ne servent à rien. (Pour moi)
Stephen King adore prendre son temps, c'est bien connu, mais là c'était un peu trop.
Par contre la fin ... un vrai feu d'artifice, Minou, car à force de jouer avec le feu avec une gamine chaude comme la braise ben c'est un bouquet final qui t'attend.

Un Stephen King en dessous de ce à quoi je suis habituée.
Même si on est déçu ça reste toujours un incontournable 😉

Une expérience scientifique.
Une vie de cavale.
Et toujours l'enfance, thème cher à King.
(Charlie aurait pu être la petite cousine de Carrie en fait)

Le livre a été adapté en film (en 1984 - Vintage ) Avec Drew Barrymore. Si ça te tente ...

* A tantot - bisous Les Minous *
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On retrouve ici, l'attrait de l'auteur pour les personnages d'enfants, loin de l'image que l'on en a des enfants. Stephen King montre les enfants de façon plus intelligente et observatrice que nous ne les voyons nous-même. Ils ont une grande conscience des problèmes des adultes, tout en gardant leur part d'innocence.
Ici, la poursuite prend une partie du livre mais ne parait pas répétitif, chaque étape est différente, on suit les différents points de vue, ceux des poursuivant et des poursuivit, ce qui nous permet de comprendre le point de vue de certains, d'autre étant juste de bons toutous.
Un livre découper en 10 parties qui se lit plutôt facilement pour un Stephen King, avec des parties découper en plusieurs petits chapitres. Charlie est une enfant adorable, mais triste et perturbée par ce qu'elle est capable de faire et qu'elle ne contrôle pas. En plus de les suivre, on repart dans des flashbacks qui permettent de comprendre comment ils en sont arrivés jusqu'à devenir des fugitifs. La trahison est un maitre mot dans ce livre.
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"Charlie" a connu deux faux départs, l'un il y a de nombreuses années, durant ma pré-adolescence (et ce n'est pas plus mal, j'aurai probablement été trop jeune pour cette lecture), et l'autre peu de temps après ma lecture de "Simetierre" (qui m'a donné un nouvel élan dans la bibliographie de King).

"Charlie" (ou "Firestarter" pour les anglophones) est un roman de 1984 qui s'intéresse à Charlene McGee et à son père Andrew. Chacun est doté d'une faculté parapsychique, la première est capable de déclencher des feux, le second d'influencer et de manipuler les gens. Et tous les deux par la seule force de leur esprit.

Le roman est une fuite en avant acharnée pour échapper à La Boîte, un organisme gouvernemental à l'origine des expériences ayant inoculées ces pouvoirs à la famille McGee, et qui bien évidemment à des projets plein la tête avec de telles capacités.

Cette lecture, par le choix du média, s'est avérée éprouvante. Lue en plusieurs étapes via le format audiolivre, ce qui m'a le plus agacé et hérissé le poil, c'est la narration de Damien Witecka et par-dessus tout son interprétation de la larmoyante Charlie. Très certainement que sur le papier, la compassion est plus facile pour cette fillette qui n'a jamais demandé un tel pouvoir et qui vit horreur sur horreur. Mais dans mes oreilles, c'est plus du tout la même histoire et comme elle chiale quasiment à chaque fois qu'elle parle, j'ai très rapidement eu de l'antipathie pour cette gamine. En même temps, quoi de plus horripilant qu'un homme adulte singeant une petite fille qui pleure ? Il est d'ailleurs probable que quelques vulgarités soient sorties inopinément de ma bouche dans ces moments-là...

En soi, le roman est bon quoiqu'un peu vieillot désormais. Il fonctionne très bien dans ce sentiment de n'être jamais laissé en paix. Tout le pan scientifico-surnaturel est intéressant et le pouvoir d'Andrew est plutôt original, si l'on replace le roman dans son cadre temporel.
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Je n'avais aucune idée de l'histoire qu'il y avait derrière Charlie. Je ne me pose pas trop de questions quant aux King. Celui-ci est le préféré d'une amie, et j'avais envie d'une coupure dans une série de fantasy.

C'est une histoire ancrée dans le monde actuel que je découvre ici, avec juste ce qu'il faut d'extraordinaire. Une petite fille a une aptitude hors du commun, résultante de choix malencontreux.

J'ai eu du mal à commencer, et du mal à me motiver à le lire après avoir lu 100 pages. C'était "bien" mais sans plus, et surtout long. La petite fille et son papa sont traqués par le gouvernement et on les suit dans leur fuite. Fuite entrecoupée de flashbacks pour comprendre pourquoi on en est arrivés là. Moyen. J'ai préféré la 2e partie du livre, qui est plutôt une évasion. Je l'ai trouvée bien plus palpitante.

Dans l'ensemble, j'ai bien aimé Charlie, mais je ne pense pas qu'il fera partie des tops dans mon classement des Stephen King.
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Bonjour tout le monde… merde ça fait un bail… c'est que la lecture en ce moment ce n'est plus trop mon truc…j'ai fait le tour d'un grand nombre de questionnements et de genre, du coup je me la joue blasé…

Avant tout chose, et comme d'hab je ne vais pas vraiment parler du bouquin, les étoiles de notation se suffisent à elles-mêmes, et puis les nombreuses autres critiques feront l'affaire, donc pour ceux qui souhaiteraient me chier sur les écrits, s'insurger de ma vulgarité, ne perdez pas votre temps, parce que franchement je m'en cogne, mais à un point que vous n‘imaginez même pas, et ce n'est pas de l'arrogance, c'est juste que je m'en fou, des fois ça choque, des fois c'est drôle, souvent ridicule, la majorité du temps j'ai honte, parce que c'est nul, ça vieillit mal ou la maturité a fait des ravages autre que dans ma barbe, mais j'assume un peu près tout, et quand bien même ce n'était pas le cas, ce n'est pas bien méchant finalement, n'accordez pas tant d'importance à ma bêtise, je suis bien trop ordinaire pour ça.

Je m'excuse pour tous vos messages laissés à l'abandon, sans réponse, mais je cours après le temps qui me manque cruellement, une maison c'est du taf, être privilégié aussi, un confinement avec jardin bien pépère, bien arboré, ça aide le sourire en plein soleil… Pis il y a ces putains de corvées aussi, celles de tous les maux doux qui vous ride la bonne humeur, comme tout le monde quoi, la vie des bien nés, après ne regardez pas la télé, trop de déprime ces derniers temps, à juste titre, mais comme je suis plutôt terre à terre, j'ai tendance à éviter la paranoïa, ou le manque de discernement, évitant ainsi tout débordement émotionnelle à la con, ce n'est jamais bon de se laisser submerger par un trop plein de conneries qui vous lobotomisent la joie de vivre.

Sinon quoi de neuf, bah pas mal de trucs du coup, je me suis vautré lamentablement en vélo tiens, dans un trou à la con, point de suture, dents pétées, rien de grave, mais une cicatrice sur le front, bravo l'artiste… ça fait guerrier un peu, enfin je crois, enfin j'espère…

Et surtout une Petite « Charlie » de 3k350 pour 49 cm, 3 semaines d'avance, née dans l'urgence, très rapidement, bordel ça avait l'air de faire mal ces conneries, pas de salle d'accouchement, pas de péridural, on pousse, on pousse, on pousse… Ah voilà qui soulage la maman…moi tout blanc, un peu paniqué par la situation, mais je tiens sur mes deux jambes, la sage-femme envoie bouler le médecin prête à assurer le coup, que dalle c'est son accouchement, elles adorent ça parait-il enfin quand ça se passe comme ça, sans longues attentes interminables, il lui fallait juste des gants et une couverture en urgence pour la sortie, et puis elles sont arrivés en masse aussi suivant les cris qui résonnaient dans les couloir de la maternité… il y avait une dame à côté de nous qui attendait comme nous une salle de libre, bah elle était ravie…

Et puis les nuits chaotiques, bébé collé au sein, c'est reparti pour le cododo, les joies des premiers jours, du premier mois, elle grogne cette petite, elle se promène avec papa la nuit pour soulager maman, les yeux grands ouverts, le sourire aux lèvres, c'est mignon quand c'est le tien, mais on oublie vite que c'est le chaos, qu'on n'a plus le temps de rien, que la grande soeur a besoin d'attention aussi, on est submergé de fatigue, mais bon hein quand c'est le deuxième même avec la mémoire qui flanche, on s'en doutait, on était préparé, on se pose moins de question, les gestes sont plus surs, les questionnements moins nombreux, même si parfois on doute, on se demande si on fait bien, si les autres douillent de la même façon, et ils douillent de la même façon, un bébé c'est laborieux, compliqué mais surtout on l'aime donc bon…

La nuit il ne faut pas trop se parler c'est tout, un simple « ça va » est très vite interprété en « fils de pute », le diable se niche dans l'obscurité et la fatigue, c'est moche la nuit, on s'agace bien vite…

Voilà les copains, des petites nouvelles, vous reconnaitrez que je suis un poil de cul moins vulgaire, je vieillis mal, et ça me fait moins marrer….
Le livre est bien, sans plus, c'est loin d'être son meilleur, mais King reste pour moi un grand auteur qui n'a plus rien à prouver… ces personnages sont travaillés, et sa critique de la société est absolument bandante…tout ce que j'aime et j'apprécie chez lui.

Et vous l'aurez compris entre le livre et cette « non critique », il n'y a qu'une seule chose à retenir :

CHARLIE
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J'ai pris mon temps avant de venir rédiger ce billet. C'est que je ne savais pas très bien qu'en dire, en fait.

Tiens, si, je peux commencer par dire que je lui ai trouvé beaucoup de longueurs à ce King ! Dire que je n'étais pas d'accord avec ceux qui reprochaient la même chose à Joyland. Là pour le coup, je comprendrais. Je vais même vous avouer qu'il m'est arrivé de survoler plusieurs pages, dans le dernier quart du roman, sans trouver le poil d'une petite évolution dans l'action des personnages.

Cependant, je ne peux pas nier qu'il ne m'est pas venu à l'esprit un seul instant d'en abandonner carrément la lecture. Stephen King a le sens de la narration qui fait que l'on a absolument envie de connaître la suite des événements. Je tenais à savoir comment l'histoire pouvait se terminer pour Charlie, petite fille douée de pyrokynésie (entre autres spécialités car elle a aussi des prémonitions), et son papa, Andy McGee, qui détient quant à lui la faculté de dominer mentalement ses semblables (il leur fait faire ce qu'il veut, et en échange il se coltine une migraine carabinée pendant plusieurs jours).

Quand j'y pense, c'est surprenant de trouver des longueurs dans le récit alors même que la narration créé un suspens indéniable. Stephen King réussi à édifier des ponts reliant les personnages entre eux : une rivière, une voiture que l'on suit d'un personnage à l'autre, comme un travelling avant, pour nous montrer que seules quelques minuscules minutes séparent nos deux protagonistes attachants de leurs poursuivants diaboliques. Quelle belle idée, et bien ficelée !

Alors voilà, je crois que j'ai tenu entre mes mains le 1er roman du King qui ne me laissera pas des souvenirs impérissables. Au suivant !
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