La peau sur les os

À l'heure actuelle, je peux selon mes goûts en matière de livres de Stephen King, que "La Peau sur les Os" est pour moi le meilleur King écrit sous son pseudo Richard Bachman pour le moment.
J'ai tout simplement adoré ce bouquin malgré que j'ai mis un peu de temps à le lire.

Tout part d'un accident de la circulation. Où Billy Halleck renverse et tue en voiture une grand-mère de la communauté des gens du voyage.
De là, le patriarche tsigane lance un maléfice, une malédiction sur Billy Halleck.

Ce dernier en effet, qui est une personne en fort surpoids se voit perdre du poids de jour en jour malgré les quantités gargantuesque de nourriture qu'il continu d'ingurgiter.

De là, après avoir consulté médecin et spécialistes, on ne décèle aucune pathologie chez Billy... tout va bien chez lui, mais continue de perdre du poids de façon inexplicable.

S'en suivra pour Billy une traque dans plusieurs états des États-Unis après les gitans pour essayer de retrouver le patriarche de la communauté pour qu'il annule son maléfice.
Mais les choses ne sont pas aussi simples.

Et pour ceux qui pensent que King ne sait pas finir ses histoires, là, c'est une bonne leçon de morale à la fin du livre, même si il faut l'avouer, passé un certain moment dans la fin du récit on voit les choses venir.

J'ai mis un peu de temps à lire celui-ci mais celà n'a rien enlevé au plaisir de lecture.

Petite immersion dans le monde de Stephen King, monde qui m'est relativement inconnu.
William est avocat, vit une vie paisible dans le Connecticut , entre mocassin à glands, tshirt à crocodiles et parties de golf. Jusqu'au jour où, pendant que sa femme aventurait sa main dans son slip alors qu'il conduisait, il écrase une tzigane. Acquitté, il croise le père de la susdite tzigane.Mauvaise rencontre....

Une histoire bien flippante comme il faut, tellement bien racontée qu'elle semble plausible.On est dans le fantastique , mais pas trop , si vous voyez ce que je veux dire. Les adjectifs ajoutent souvent une petite pointe de macabre et j'ai bien aimé le cynisme assez récurrent. Je me suis même surpris à sourire. sans parler de l'autodérision , l'auteur se permettant de "s'auto railler" dans le livre .
Au delà de l'histoire, très prenante donc, on ne peut s'empêcher de voir une critique assez acerbe de la bourgeoisie américaine , ou de la bourgeoisie tout court, égoïste , percluse de certitudes, vivant dans un monde qu'elle ne veut pas partager.
Je n'irai pas jusqu'à dire qu'on est devant un pamphlet sur le surpoids légendaire des ricains !
Les relations 'gitans'/ 'homme blanc de la ville' décrites ici ne sont pas propres aux USA et le rapport de force montré est très astucieux.
Il y a donc beaucoup de morale dans cette oeuvre, la fin en constituant une certaine apothéose.

Deux sociétés , deux types de vengeance devant l'injustice dans un récit qui s'il ne coupe pas le souffle tient quand même bien son lecteur en haleine .

Stephen King (The King) a le chic et l'art de remuer les problèmes de l'Amérique contemporaine!
Cette fois, c'est Billy Halleck qui sert la double démonstration: Impunité et kilos en trop!
Dans ce récit de vingt ans, mais toujours bien d'actualité, le miracle se transforme en malédiction.
Avec le talent qu'on lui sait, King (The King!) nous emmène dans ces contrées à la limite du fantastique et du quotidien. Et, qui de mieux que les gitans peuvent incarner la liberté, la différence et le besoin d'une justice équitable?
Un bon Stephen King (The...) que j'avais beaucoup apprécié à sa sortie en grand format, et que je recommande aux fans qui ne l'ont encore lu.

Billy Halleck pèse plus de cent kilos,un jour qu'il fait un trajet en voiture avec sa femme,celle-ci lui fait une gâterie et il perd le contrôle de son véhicule et tue accidentellement une vieille gitane.Blanchi lors du procès,il se trouve confronté avec le père de sa victime qui lui souffle une parole en lui touchant le front.C'est alors que Billy va commencer à maigrir,jusqu'à avoir la peau sur les os...

On ne peut que saluer Stephen King pour son originalité,encore une fois il nous entraîne dans une course pour la vie à couper le souffle.Le rythme est effréné et on n'arrive pas à lâcher le roman avant de savoir comment ça va finir. Les thèmes de la différence,de l'abus de pouvoir sont abordés avec précision,notre héros comprendra qu'on ne fait pas de mal à autrui sans en payer les conséquences...
Je vous conseille ce livre qui est vraiment super,même si on aime pas King,La Peau sur les os est une vraie petite perle à découvrir.

Billy Halleck a bien réussi : il est associé dans son cabinet d'avocats, sa femme le désire autant qu'avant et sa fille est une adorable jeune personne. Et il pèse plus de 110 kilos. le poids de la réussite, peut-être. Par mégarde, il renverse un jour une vieille Tsigane et voilà que ce malheureux accident se transforme en malédiction. Billy perd chaque jour deux kilos, alors qu'il mange toujours autant. Si les premiers kilos envolés font du bien à son moral et à sa ceinture, l'amaigrissement devient rapidement inquiétant tant il est inexorable. « J'ai tué cette vieille et maintenant je dépéris peu à peu. » (p. 119) Son entourage refuse de croire à la malédiction et parle de cancer, de dépression, de culpabilité. « Les vieux Tsiganes ne jettent pas de sort. le vieux Tsigane, c'est l'apparence que votre inconscient a revêtue pour vous punir. » (p. 166) Bill sait pourtant qu'il est dans le vrai et que, s'il veut survire, il doit retrouver le gitan qui l'a maudit et opposer à la malédiction une force d'une puissance égale. Mais où trouver une telle force de haine et destruction ?

Stephen King explore ici les légendes tsiganes et la puissance du mauvais oeil que les gitans sont supposés déployer. Mais le plus inquiétant reste le fait que Bill Halleck n'a jamais la maîtrise de son corps, quel que soit l'excès. Quand on a quelques kilos en trop, on rêve parfois d'un régime miracle qui gommerait sans effort les rondeurs disgracieuses. Dans le cas de Bill Halleck, ça vire rapidement au cauchemar : obèse ou décharné, il reste le point de mire et le sujet de conversation Voilà encore un très bon roman, parfaitement dosé en terreur et en interrogations. À se demander si on a vraiment envie de reprendre une part de tarte et de s'approcher du camp de gitans qui vient de s'installer à la sortie de la ville…

Un excellent livre qui raconte l'histoire d'un homme, père de famille, marié, heureux dans la vie, bon vivant, qui écrase une vieille bohémienne. Il vit dans une petite ville, il joue au golf avec le juge et connaît bien le policier qui l'arrête. le jugement est bien sûr prononcé en sa faveur.
Le père de cette bohémienne (très âgée) vient et lui touche l'oreille en lui disant "maigris", parce que le bonhomme, de 1,90m, est assez corpulent.
Au début, il maigrit et tant mieux, mais par la suite, l'amaigrissement inexpliqué continue. le juge, le policier et d'autres liés à son affaire sont aussi victimes de sorts différents.
Personne ne sort indemne de cette triste histoire. Même pas lui. Il apprend par le père qu'il doit donner ce sort à quelqu'un d'autre. Est-ce que le destinataire sera celui qu'il envisage ?
Une histoire haletante dans son récit, fort bien écrite et très prenante.

Alors que j'ai souvent un peu de mal avec les livres de Stephen King les plus anciens, j'ai vraiment adoré celui-ci et je l'ai dévoré en peu de temps.
Nous suivons Billy, qui a tout pour être heureux, sauf meut-être quelques kilos de trop, et qui un jour, va avoir la malchance de renverser une femme gitane et de la tuer, dès lors, le père de cette gitane, va décider de se venger et va jeter une malédiction sur Billy. Celui-ci se met à maigrir de façon excessive, tout en dévorant tout ce qui lui passe sous les yeux.
Ce livre est bien construit, il n'y a pas de temps morts, les personnages sont plaisants et bien décrits.
J'ai passé un excellent moment de lecture avec ce Stephen King et je recommande volontiers ce roman.

❤️ALERTE COUP DE COeUR ❤️

Alors que sa femme, Heidi, lui faisait la 1ere branlette de sa vie, Billy Halleck a renversé une vieille gitane.
Splouch.Paf la romano. Oups.
Billy a été blanchi par le juge (qui est une connaissance).
Rien. Même pas un rappel à la loi. Que-Dalle.
En sortant du tribunal il a juste croisé le chemin du mari de la gitane...
"MAIGRIS"
Hein ? Il a dit quoi le vieux sans nez ?
Mais voilà que Billy, 112 kg, commence à maigrir...
          
                   🍔💀🍟💀🍕
Mon secret minceur ?
Une malédiction tzigane pourquoi ?

Le kif : t'enfiler 6000 Kcal par jour et tu perds, tu perds, tu perds... Ou comment Moby Dick se transforme en Kate Moss.
Billy Halleck, avocat aisé, bien portant , bon mangeur, qui appelle son ventre "la maison Budweiser" 🍻 va perdre plus d'un kilos par jour.
Passée la bonne surprise, il finit par se dire qu'il est victime d'un sort que le gitan lui a lancé.
Une vengeance.
Faire justice soi-même.
Mal réveillée, mal dormi Esmeralda !?
La joie de sa femme se transforme aussi en inquiétude.  Un problème de santé ? Un cancer ?
Mais les docteurs ne décèlent rien.
La malédiction personne n'y croit.
Ses proches pensent qu'il sombre dans la folie...

Pour une fois dans un roman de King, oups pardon Richard BACHMAN, l'histoire commence direct.  j' ai été embarquée de suite.
Normal, Tu veux savoir.
La seule question que je me posais c'était ce que King allait pouvoir nous raconter sur 2105 pages (liseuse)... Ça fait beaucoup nan !?
Mais non.

                  🍔💀🍟💀🍕
Une chose est sûre : avec King tu sais que le héros va morfler sa race. (Ouiiiiiiii)
La réussite américaine = la malbouffe = gros
On parle souvent de la fonte des glaces.
Lui c 'est la fonte des graisses.
Mais pas que. Billy va perdre ses répères, ses idées préconçues vont voler en éclat, ses principes aussi, son entourage, ses amis, sa raison d' être etc...

King sait superbement décrire toutes les pensées qui peuvent te passer par la tête, si tu te mets à la place de Billly.
Le personne change complètement (et pas que physiquement)

Le maléfice tzigane : imagination ou réalité ?
La tension monte au fil des pages
Billy s'en sortira t il vivant ou crevera t il en épouvantail ?
La vengeance est un plat qui se mange... tiède :D
(tu y repenseras à la lecture ahah)

Je l'ai Dévore  sans prendre 1gr.
Jte le conseille Minou.
De l'Horreur, du fantastique, un bon cru à 0 calorie !
J'ai faiiiiiiiiiiim !!!

✉️PS : j'adore, ya que King pour faire des blagues sur lui-même dans ses bouquins
"on se croirait dans un Stephen King" 😂

  > ❤️ALERTE COUP DE COeUR ❤️
* A TANTOT ~BISOUS LES MINOUS *

Un de mes romans préférés écrits par Stephen King. le concept est génial, la narration trépidante. Après avoir renversé une vieille gitane, un avocat obèse et malhonnête passe au tribunal et s'en tire à bon compte. En tout cas, à première vue. Car le mari de la victime lui jette un sort et le condamne à maigrir, maigrir, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien. Billy doit trouver un moyen de conjurer le sort avant qu'il ne soit trop tard, mais y arrivera-t-il?

La plume horrifique de Richard Bachman, alias Stephen King, nous embarque dans une analyse sans concession de la société américaine et sa "Justice" à deux vitesses.
Que vaut la vie d'une vieille gitane contre la réputation d'un riche avocat, quand de plus le juge est un ami dont l'impartialité laisse à désirer.
Notre plus que grassouillet membre du barreau renverse une femme et s'en tire sans même une tape sur la main. Ça semble un peu familier, on dirait un fait divers, n'est-ce pas ? Changeons un tout petit peu le profil des protagonistes et voyons si au final les choses ont vraiment changé.
Et la plupart du temps, dans la vraie vie, cela en reste là. Saut que cette fois, un vieux gitan ne trouve pas le procès équitable et va arranger la justice à sa sauce à lui en jetant un sort au coupable. Puisque le grassouillet semble gêné aux entournures par son surpoids, il va l'aider à maigrir, maigrir, maigrir et puis maigrir encore, jusqu'à ce qu'il n'ait plus que la peau sur les os.
La perte de poids va aller de pair avec une baisse de popularité de l'avocat... il faut dire que tout ça lui pèse sur le moral et la santé psychique. Il va donc se retrouver seul et rejeté par ses pairs et le reste de la communauté.
Les romans signés Bachman sont toujours beaucoup plus noirs que ceux signés Stephen King, mais bien entendu tout aussi passionnants et addictifs.