C'est l'histoire d'une fille, Saé, qui se démène pour faire le bonheur des autres. Elle les entraîne dans la cuisine de Shiori et de Yûki pour les aider à confectionner de magnifiques bentô. qu'ils offriront ensuite à l'élu de leur coeur.
Saé, quant à elle, peine à déclarer ses sentiments à Yûki. Pourtant, ce ne sont pas les occasions qui manquent.
Petite série très sympathique à lire en trois tomes. Certes la trame narrative est assez répétitive mais cela reste très agréable à lire cependant. D'autant plus que j'apprécie toujours les livres où je découvre des mets venus d'ailleurs.
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Comme je m'y attendais c'est une lecture toute mignonne et agréable, une vraie lecture doudou!
Les bentos confectionnés nous donnent faim, j'adore le fait que nous avons les recettes afin de les reproduire à la maison surtout qu'elles ne semblent pas difficiles!
J'ai également adoré les dessins qui sont remplis de douceur et je suis fan de Saé qui est toujours optimiste, souriant et altruiste. Sa bonne humeur est contagieuse.
Côté histoire je m'attendais à quelque chose de simple mais elle est quand même très redondante, à chaque chapitre c'est le même schéma qui est suivi et ça c'est un peu dommage. Sinon j'ai apprécié le fait que ce soit le garçon qui sache cuisiner et pas la fille comme nous pouvons souvent le lire.
Au final, ce n'est pas un manga exceptionnel mais j'ai passé un excellent moment avec ces personnages, je vais sûrement le relire.
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Et ainsi s'achève le dernier tome des aventures de Saé et Yûki. Ce que je trouve de formidable dans cette trilogie, c'est qu'au lieu de devenir de plus en plus médiocre, comme c'est le cas pour de nombreuses séries. Celle-ci au contraire s'est bonifiée au fur et à mesure des volumes.
C'est devenu ma série anti-coup de blues ! Les personnages s'affirment, prenent en maturité au fil de l'histoire. Et même s'ils pourraient tomber dans des clichés, comme pour le père de Yûki. Ils sont dépassés avec légèreté et optimisme.
C'est une belle leçon de vie qui nous est offerte : oser faire ce qu'on aime, avoir le courage de prendre sa vie en main et prendre soin des personnes de notre entourage, surtout celles qui nous sont chères. Sans s'oublier pour autant ;)
Autre part de vérité, expérimentée aussi par mes soins : Prendre le temps de cuisiner pour nous ou des personnes que l'on apprécie est une merveilleuse expérience. L'énergie et l'amour se ressentent réellement dans le plat. On l'apprécie doublement !
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Suite et fin de la trilogie "Un amour de bentô"! Un tome tout doux et sucré où Saé est bien décidée à avouer ses sentiments à Yûki! Avec un bentô peut-être?!
Personnellement je n'achèterais pas cette série pour ma bibliothèque personnelle. Je trouve les personnages et l'intrigue bien trop lisses, trop classiques. Néanmoins, le dessin est plaisant et les recettes alléchantes. En définitive, je dirais qu'il s'agit d'un petit shojô sympathique qui plaira aux jeunes filles qui aiment la cuisine et les garçons!!
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[…] On lit ce troisième volume de Un amour de bentō avec autant de plaisir que ses prédécesseurs.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Tu l'aimes, n'est-ce pas?
Ce n'est plus la peine de te mentir.
Sois honnête envers toi-même, et tu verras, te seras heureuse.
Le plus important c'est d'avoir le courage de ne pas de mentir à soi-même!
Il ne sait pas combien de fois la cuisine de Yûki a sauvé le cœur des gens. Jamais il n'a vu son fils cuisiner... Et il n'a jamais mangé ses plats non plus. Il ne sait... vraiment rien de lui!
Le plus important c'est d'avoir le courage de ne pas se mentir à soi-même !
Le plus important est d’avoir le courage de ne pas se mentir à soi-même !
Sois honnête envers toi-même, et tu verras, tu seras heureuse.