Manga découvert lors d'un achat frénétique de BD ;-)
La couverture m'a intrigué par ses tons orange et noir où on aperçoit une jeune femme en compagnie de corbeaux. le résumé a titillé ma curiosité avec une simple phrase pour tout le tome.
En fait, le résumé est composé de 4 phrases qui correspondent aux 4 histoires de ce tome. Finalement, j'aurais mieux fait de passer mon chemin pour ce manga car dès les premières cases, on voit des seins et du sang. Guère mon délire...
Prenant mon courage à 2 mains, je continue ma lecture pour m'arrêter au début de la seconde histoire. Ce manga mélange policier, tout pour me plaire, et exorcisme, tout le contraire.
Les graphismes sont plutôt bien travaillés et les visages des personnages reconnaissables, bien que 2 hommes se ressemblent pas mal. le mangaka sort peu des cases, il y a peu de mouvements en dehors.
Les personnages sont présentés à la va-vite et en avant pour la première enquête d'un duo improbable, un jeune agent tout juste sorti de l'école de police et une jeune femme qui sort de l'asile. On apprendra plus tard qu'elle est une sorte de chaman.
Le décor est rapidement planté et la résolution de l'affaire encore plus rapidement. C'est la jeune femme qui trouve le meurtrier grâce à ses « dons » et du premier coup en plus. Vraiment trop rapide à mon goût... Ce manga fait presque passer la résolution de l'enquête policière au second plan lui préférant l'exorcisme... Très peu pour moi...
Les dessins sont bien faits mais l'histoire est beaucoup trop bâclée à mon goût... En écrivant cette critique, je ne me sens même pas la force de finir ce tome, j'en ai déjà oublié le début.
Comme vous l'aurez compris, je ne vous conseille guère de lire ce manga mais comme on dit : « Chacun ses goûts » donc à vous de juger maintenant...
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie         170
Le lieutenant de la brigade de recherche et d'investigations spéciales, Kimizuka Akihiko, enquête sur meurtres. Il fait équipe avec Amamiku Matsuri qui est en fait une yûta, c'est-à-dire, une femme capable d'aider les âmes à partir en paix. On suit le duo dans des enquêtes troublantes.
Il faut d'abord comprendre qu'une âme humaine est composée de 7 mabui qui représentent chacune une émotion : bonheur, colère, tristesse, plaisir, compassion, haine et espoir. Quand on perd une mabui, une autre peut prend la place libre, mais elle peut être une mabui mauvaise…
Je ne sais pas quelle est la part de folklore japonais et de l'imagination des auteurs mais l'idée est très intéressante. Malheureusement, j'ai trouvé les enquêtes trop courtes et qui manquaient de profondeur.
Il y a des traits d'humour avec les personnages du manga entre chaque enquête ainsi que des explications sur des événements réels qui ont donné le point de départ de l'enquête.
J'ai bien aimé l'humour présent par moments, le côté fantastique et d'horreur du manga ainsi que les caractères stéréotypés des personnages même si les poitrines féminines sont mises en valeur trop souvent à mon goût (ce manga est plutôt shonen).
Commenter  J’apprécie         90
Beurk! La couverture est magnifique ce qui m'a de suite donné l'envie de le lire,mais l'histoire est sanglante, bon ça ne me dérange pas encore trop, mais c'est sur une snuff movies (oui vous avez bien lu) rien à voir avec la si jolie couverture orange et noir de présentation, heureusement que je ne l'ai payé qu'a 2,50 sinon je serais malade d'avoir jeté mon argent .....
C'est le premier manga que je ne terminerais pas de lire, la série est arrêtée au num 2 pas étonnant ! Je vous rassure je n'ai pas fait la bêtise d'acheter le num 2.
Commenter  J’apprécie         40
Un manga qui s'inspire de légendes urbaines japonaises. C'est plutôt original, mais assez sanglant et plutôt répétitif...
Commenter  J’apprécie         20
Chez nous, à Okinawa, les mabui sont l'équivalent de l'âme. Chaque humain porte en lui sept mabui. Parfois, il peut arriver que l'on perde l'une d'entre elles. Dans ce cas, une mabui errante en profitera pour se faufiler dans la place vacante. Certaines de ces mabui sont nuisibles, ou entre de mauvaises mains. Les chasser et permettre aux mabui perdues de reprendre leur place... c'est le rôle des Yuta, les chamans d'Okinawa.
(dixit la jeune femme chamane).
Capitaine Yumi : Ces histoires de malédiction ne tiennent pas debout.
Lieutenant Akihiko : N'empêche qu'on retrouve ce film sur le disque de tous les gens tombés dans le coma...
Capitaine Toshihiro : A force d'en entendre parler sur le net et à la télé, les plus faibles ont fait de l'auto-suggestion, voilà tout.