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Bizarre.

Un homme génétiquement modifié pour être un surhomme cognitif, embauché pour faire passer une flotte dissidente par un trou de ver protégé, sans payer le prix. Une équipe d'hommes presque tous génétiquement modifiés et sacrément bizarroïdes pour le renfort avec un IA cinglée pour faire la maille.

Avec un titre comme ça, il fallait s'attendre à de la hard science, ok, on l'a, enfin je crois. Un traitement moins sérieux que prévu (et la hard science, dans mon monde à moi, c'est sérieux) mais sans être drôle. Ce n'est pas un roman où l'humour domine, ni même ne perce, mais ce n'était pas l'intention de l'auteur, du moins je l'espère.

La comparaison avec Océan Eleven ? Ça s'annonçait bien. le démarrage était dans le ton, mais la bizarrerie de l'univers m'a largué. J'ai détesté la relation tellement glauque des Numen et des Fantoches. Je n'ai pas apprécié la grossièreté, pour moi gratuite de l'homo eridanus.

Des bonnes idées dans cet univers si particulier, mais tellement particulier que je ne suis même pas sûr d'en avoir compris intégralement la structure.

Bref et en un mot : Bizarre.
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Comme beaucoup de critiques ici sur Babelio, ce roman plein d'intérêt et
d'espoir au vu de son sujet me laisse perplexe.
On s'attend à de la hard science, mais non, on a plutôt un embrouillamini de quantique à la sauce Künsken. Parfois c'est réussi, quelque fois brumeux, souvent incompréhensible, mais bon, on s'intéresse quand même à cette arnaque spatiale gigantesque montée par le héros l'homo quantus Belisarius Arjona avec ses complices tous hauts en couleurs.
Oui, l'histoire est captivante, prenante et amusante, les personnages fouillés et certains assez délirants : de belles imaginations et trouvailles de la part de Künsken.
On prend du plaisir à lire ce premier tome, mais bizarrement pas d'engouement.
Je lirai tout de même la suite, le Jardin Quantique.
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Certaines accroches font davantage mouche que d'autres ; avec le Magicien quantique, chez Albin Michel Imaginaire, on nous promet un Ocean's Eleven dans l'espace, alors banco pour le premier roman de Derek Künsken, annoncé comme l'étoile montante de la « science-fiction canadienne »…

Le casse du millénaire Belisarius Arjona arnaque à tout-va et se fait même appeler le « Magicien quantique » ! C'est un homme quantique, c'est-à-dire qu'il a été modifié pour que son intellect cohabite avec une intelligence supérieure de type quantique et qu'il puisse s'en servir en plusieurs « modes » de pensée. Quittant la planète-laboratoire où il est « né », Arjona survit en devenant un as du braquage, d'argent mais bien vite aussi d'informations, son cerveau quantique en étant bien sûr très friand. Une fois sa réputation faite, même parmi les autorités dirigeantes qui usent parfois de ses services, Arjona est l'objet de convoitises devant un potentiel aussi talentueux. C'est ainsi qu'une flottille de vaisseaux ressortie des tréfonds de la galaxie l'embauche pour lui faire traverser l'un des trous de ver les plus surveillés du coin. Son art de « transformer la probabilité en réalité » est donc mis à rude épreuve, car ses capacités ont tendance à s'amenuiser avec le temps et organiser un tel passage va nécessiter une équipe hors-normes.

Du hard et du fun On se souvient de la volonté affichée par Gilles Dumay au lancement d'Albin Michel Imaginaire de proposer des romans si besoin funs et décomplexés, pouvant rendre le genre SFFF (science-fiction, fantasy et fantastique) attrayant pour un public non initié. C'est clairement dans ce créneau que s'affiche le Magicien quantique. Ainsi, il y a quelques passages un brin typé « hard SF » dans ce bouquin, mais il ne constitue pas un obstacle majeur pour profiter de l'aventure. Il y a l'inverse davantage d'aspects « bon enfant », à commencer par la constitution du groupe, le choix parfois très pittoresque de ses composants et puis l'usage régulier sans être lourd d'un vocabulaire québécois qui fait mouche pour « folkloriser » le récit de notre point de vue très français : les termes comme « hostie », « tabernacle » et « câlice » sont de sortie, ça dépayse un peu sans gêner la lecture.

Humanité modifiée Si certains peuvent voir dans ce livre assez peu de « world-building », ce n'est pas pour autant qu'il n'y a pas de décor très science-fictif. Certes, certains mots peuvent servir un peu de « totems », à commencer dans le titre par l'attrait pour le « quantique » ; toutefois, il y a l'effort de créer des espèces humaines variées, toutes plus ou moins issues de celle que nous connaissons actuellement (l'auteur en profite pour utiliser le plus souvent possible des terminologies latines comme si ces espèces existaient). Ainsi, le personnage principal est un « homme quantique » (Homo quantus) : son esprit est colonisé par quelque chose ressemblant à une intelligence artificielle qui lui permet de temps à autre d'entrer dans une phase « réflexion accélérée » ou « analyse surdimensionnée » ; cela apparaît au départ comme un super-calculatrice portable, mais cela a aussi comme conséquence de se donner l'impression de quitter son corps, d'être une entité extérieure ; c'est bien développer au moment de la résolution de l'intrigue. Ensuite, l'Homo eridanus est un mastodonte transformé génétiquement et contre son gré pour résister aux plus fortes pressions : résultat, il ne survit que dans les abysses les plus profonds ou dans un conteneur spécial. Troisième exemple, tout aussi étranges sont les Fantoches : petits êtres transformés également génétiquement, ils sont toute leur vie subjugués par leurs créateurs qu'ils considèrent comme des dieux ; problème, ceux-ci ont disparu et l'objet d'une quête sans fin pour les Fantoches. le casse peut alors apparaître comme un prétexte pour faire se confronter ces différentes espèces du genre humain. Ces différents changements appliqués à l'humanité sont autant de questionnements sur notre propre finalité. Je dois bien l'avouer, j'ai lu ce roman au moment où j'ai développé un virus (pas un coronavirus !) qui m'a créé une sacrée fièvre au point de pas mal délirer deux jours et trois nuits de suite. Alors, entre deux cauchemars sudoripares, la lecture du Magicien quantique m'a à la fois tenu en haleine et complètement confirmé dans mon délire. Car, au fond, ne pourrions-nous pas être déjà des êtres dont le subconscient est parfois en train de prendre le dessus ? Vaste questionnement métaphysique en perspective qui est parfois touché du doigt par ce roman.

Le Magicien quantique est donc un récit fun qui transporte très loin, il mérite clairement le détour !
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Lu en VO.

On peut résumer simplement ce livre par la formule suivante : c'est Ocean's Eleven revu par Greg Egan (le bouquin relève en effet de cette SFF « de casse » qui a été particulièrement à la mode ces dernières années). Non, non, ne fuyez pas à la mention de « Hard SF » ou de Greg Egan, ce livre n'est ni aussi exigeant, ni aussi aride (l'humour y est très présent) que ceux de l'australien, et il est donc accessible (avec un peu de bonne volonté) à chacun d'entre vous, tout en étant capable de satisfaire le vrai aficionado de ce genre littéraire : un vrai tour de force ! Il propose une intrigue classique mais intéressante, servie par une écriture fluide, agréable et efficace, des personnages complexes et crédibles, un humour occasionnel mais ravageur, un univers d'une richesse surprenante (principalement sur le plan de la description de plusieurs variantes de l'humain de base créées par génie génétique) pour un aussi petit ouvrage (moins de 400 pages), ainsi qu'une réflexion d'une grande profondeur, qui là aussi, étonne dans un bouquin de petite taille. Bref, pour son premier roman, Derek Künsken, jusqu'ici spécialisé et reconnu dans la forme courte, signe un véritable coup de maître, que je ne saurais trop vous conseiller de découvrir.

Ce qui précède n'est qu'un résumé : retrouvez ma critique détaillée sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.com/..
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Le magicien quantique de Derek Künsken

De l'homo sapien à l'homo quantus.
Belisarus accepte une mission Suicide pouvant mener à une guerre interstellaire. Celui ci compose son équipe, I.A. Surpuissante, Faux Numen, fantoche mutant.
leur mission déplacer une flotte de guerre.
La récompense une immense richesse .
La mission pourrait bien tourner à l'escroquerie.

Premier roman de l'auteur.
L'histoire m'a un peu plus que moins décontenancé.
Homo quantus, trou de verre, I.A, Fantoche, numen... tant de vocabulaire qui peut laisser bouche bée plus d'un lecteur qui ne li jamais de science-fiction.
S-F pur est dur.
Accrochez-vous à l'histoire, car moi elle m'a perdu
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Les monstres se rebiffent.

Tout le monde sait ce qu'est un magicien, personne ne sait ce qu'est le quantique. Mais à la fin du roman, tu sauras ce qu'est un magicien quantique. Enfin, un magicien assez orthodoxe, sa spécialité étant de flouer, d'arnaquer pour son propre profit (l'homme moderne dans toute sa splendeur ;p).

Le pitch : un péage a été mis en place au bord de l'autoroute spatiale, soit tu raques, soit tu passes 500 générations à faire le parcours via les nationales. Comme il existe toujours des radins, il y en a qui tente de se faufiler, ni vu ni connu, en te collant au train pour passer à l'as. C'est, en très gros, ce qui se passe ici en remplaçant autoroute spatiale par trou de ver. Mais on ne passe pas dans un trou de ver comme dans un péage. Alors dans ce cas précis, l'utilisation d'un magicien quantique est ce qu'il faut.
L'astuce t'es donnée ici pour la modique somme de 12€, soit beaucoup moins cher qu'un avocat.

On va pas se mentir, si le quantique te donne des boutons, prépare la crème apaisante : le jargon scientifique à toute sa place dans le roman, la dénomination de hard SF n'est pas usurpée. Mais comme personne ne comprend ce qu'est le quantique, ce n'est pas grave, il faut voir cela comme une licence scientifique. Donc tu fais somme moi, tu mets par-dessus ta tête les explications Hard SF et tu profites du reste, car il y a du lourd et même du sense of wonder.

L'arnaque étant ici gigantesque, notre magicien va faire appel à toute une équipe pour l'aider dans sa résolution. La galerie de personnage vaut clairement le détour et c'est surtout avec eux que j'ai pris mon pied. Nous avons le droit à une Intelligence Artificielle qui se prend pour un Saint, une otarie ordurière, une fanatique de dynamite, un savant fou et un duo d'adorateur pervers. Même si Derek te fout tout ça dans la gueule sans t'en donner les codes au départ, plus tu avanceras, plus tu pousseras des Ouah, des Oh et aussi des Yeah.

Un peu ardue, mais c'est sans compter l'humour qui nous est apporté par l'otarie, la fana d'explosifs et l'otarie ordurière qui permet d'alléger l'ensemble. Et tu apprendras quelques formules grossières pas piquées des hannetons !
Plus sérieusement, les interrogations sur les modifications génétiques, la bio-ingénierie font et sont le coeur et le sel du roman. Qu'en est-il des monstres créés, quelle libre arbitre, comment donner un sens à sa vie alors que tu as été conçue dans un seul but ? Les Numens et les Fantoches sont clairement flippant : Deux peuples liés on ne peux mieux dans une relation sadique, couplée d'un retour à l'envoyeur.
J'ai franchement adoré ces parties du roman.

Le côté Ocean Eleven m'a beaucoup moins convaincu et j'avais parfois l'impression que l'auteur ne s'en préoccupait pas trop par moment, pour mon plus grand bonheur car il abordait d'autres thématiques ayant eu mon intérêt. J'ai eu du mal aussi avec les différents lieux, n'ayant jamais réussi à me les imager, rendant mon immersion difficile. Donc je n'ai pas réussi à me représenter comment l'arnaque se mettait en place et comment le magicien quantique allait s'y prendre (et comment il s'y est pris). La première moitié, la mise en place, m'a paru longue mais j'ai dévoré le reste, avec son action tonitruante et ses réflexions.

Un univers complexe, drôle, brouillon aussi. Un mélange audacieux de space opera, de batailles stellaires et de whodunit qui aurait mérité peut être d'un peu plus de bagout pour maintenir cohérent l'ensemble. Cela reste cependant un premier roman réussi, et laisse présager un auteur qui nous offrira de bien beaux romans dans l'avenir.
A réserver tout de même aux amateurs de SF
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Ma première tentative de lecture "hard science". Si le résumé m'avait vraiment tapé dans l'oeil, la lecture fut assez décevante, avec des longueurs, des questionnements métaphysiques du héros trop fréquents à mon goût, des descriptions de l'univers quantique beaucoup trop abstraites et, à côté de ça, des descriptions de certaines scènes tellement floues que je m'y suis parfois perdue (merci à la couverture, qui m'a au moins éclairée sur un point...). Je ne lirai pas la suite.

La suite sur mon blog :
Lien : https://lauryn-books.blogspo..
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Le terme de « baffe » est clairement insuffisant pour décrire ce petit livre de moins de 400 pages, qui propose une Hard SF se baladant entre la « normale » et l' »ultra-Hard » à la Egan… mais sans le côté exigeant de cette dernière. Ocean's eleven de l'espace, The quantum magician montre la préparation et l'exécution de l'arnaque du millénaire, devant ramener dans l'espace humain une flotte de douze vaisseaux révolutionnaires ayant pour but d'obtenir l'indépendance de leur nation de son tuteur colonial. Mettant en vedette des variantes de l'humain de base obtenues par génie génétique, dont un Homo quantus qui est un véritable ordinateur vivant (et on est à des millions d'années-lumière des Mentats de Dune, là !), le roman propose une intrigue passionnante, servie par une écriture fluide, agréable et efficace, des personnages complexes et crédibles, un humour occasionnel mais ravageur, un univers d'une richesse surprenante pour un aussi petit ouvrage, ainsi qu'une réflexion d'une grande profondeur, qui là aussi, étonne dans un bouquin de petite taille. Bref, pour son premier roman, Derek Künsken, jusqu'ici spécialisé et reconnu dans la forme courte, signe un véritable coup de maître.

Ce qui précède n'est qu'un résumé, retrouvez la critique détaillée sur mon blog.
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Un homme aux capacités au-delà des normes humaines, Belisarius Arjona, un homme quantique (homo quantus) engage une bande d'êtres tous plus étranges ou barrés les uns que les autres pour organiser le casse du siècle. Leur tâche : permettre à une flotte militaire de passer par un trou de ver ennemi. Mission en principe impossible. Mais l'est-ce vraiment pour ce maître des possibles ? Et avec quelles conséquences ?

Un Ocean's quantique
Cette série (car le Magicien quantique est le premier d'une série qui en compte trois à ce jour) met en scène un homme quantique. Quézaco ? En cette époque avancée, on tripatouille les espèces et on en crée certaines, pour de multiples raisons. Obtenir des esclaves dévoués et prêtes à se sacrifier pour vous (enfin, en principe, mais il faut toujours se méfier des petites lignes en bas du contrat, ou des effets indésirables non imaginés au départ) : et voici l'Homo pupa, aussi appelé « Fantoche » (j'ai eu du mal avec ce terme, trop connoté pour moi). Créer un groupe capable de vivre sous des pressions marines phénoménales : et voilà l'Homo eridanus, surnommé Bâtard, et au langage fleuri à un point jouissif (ou agaçant, selon) et au doux parfum québécois (l'auteur est canadien). Enfin, inventer un être capable d'effectuer des calculs d'une puissance inégalée, en maniant les concepts quantiques : arrive l'Homo quantus, dont Belisarius Arjona est un représentant un peu particulier. En effet, il a quitté la réserve où l'on place ces êtres peu adaptés au monde extérieur, intéressés uniquement par la connaissance.
Et il s'est trouvé, pour éviter la folie, une occupation à plein temps : les arnaques à la Ocean's (vous savez, les films avec Georges Clooney, Brad Pitt et matt Damon, entre autres). Il a une couverture : propriétaire d'une galerie d'art fantoche. Et il monte des coups, avec des figurants, comme dans les bonnes vieilles arnaques, popularisées entre autres par un autre film, plus ancien celui-là, L'Arnaque, de George Roy Hill, qui date de 1973 et met en scène Paul Newman et Robert Redford. Même principe : on imagine un plan, avec des coups par la bande, des mensonges, des trahisons, des surprises. Mais pas nécessairement avec le même résultat.

Un faux rythme
En effet, j'ai eu du mal à entrer dans ce roman, tant le rythme m'a paru irrégulier. Entamer un récit de SF demande toujours un effort, plus ou moins violent, et cela ne me rebute pas (par exemple, la lecture de Périphériques de William Gibson demande de la patience, puisqu'il faut attendre une centaine de pages avant de vraiment pouvoir être dans l'histoire). Mais là, la mise en place des personnages et du décor, la découverte des Fantoches (je sais, je fais un blocage dessus, cela nécessite sans doute un passage chez un psy, mais en attendant, cela m'a bien gêné) et de leurs particularités ont été laborieuses pour moi. Ensuite, par contre, cela a glissé tout seul. Même si je n'ai pas tout compris quand Belisarius part dans ses fugues et autres calculs aux termes trop obscurs pour l'ancien élève de classe littéraire et au bagage scientifique trop maigre. Mais cela n'enlève rien, par contre, au récit ? Au contraire, cela le parsème de cette magie accolée au personnage central.
Central, car c'est lui qui accepte la mission réputée impossible de permettre à une flotte de traverser un trou de ver contrôlé par des ennemis. Central, car c'est lui qui réunit une troupe de personnages aux compétences et aux caractères bariolés, entiers, étranges et donc attachants. Central, car c'est lui qui mène l'action, même si elle semble lui échapper à certains moments et si on se demande si et comment il va retomber sur ces pieds. Central, car sa particularité est telle qu'il ne peut que fasciner le lecteur (en tout cas, moi, il m'a impressionné).

À tel point que j'attends, malgré mes réserves, la parution de Quantum Garden, suite directe du Magicien quantique et déjà acquis par Albin Michel Imaginaire, avec une certaine impatience (c'est prévu pour début 2022). Car il n'est pas donné à tout le monde de pénétrer l'esprit d'un arnaqueur quantique.
Lien : https://lenocherdeslivres.wo..
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c'est tonique, inspiré , agrémenté de personnages originaux dans un monde inventé biensur puisqu'il s'agit de science fiction....Il manque , à mon goût , une dose d'explication préalable du monde dans lequel l'action se passe...les peuples sont nombreux et on peine à mettre du sens à tout cela...Et puis , et ce n'est biensur pas une critique, il y a tellement d'invention qu'on apprécierait des dessins pour visualiser à quoi ces personnages imaginés pourraient ressembler....cela pourrait donc être de la bande dessinée ? oui , ou un livre agrémenté de dessins comme on le voyait dans le passé ( c'est mon coté bibliothèque verte qui a bercé mon enfance qui ressurgit!)
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