47 cordes, tome 1

Ambroise est un jeune harpiste doué qui commence dans un nouvel orchestre. Sa route croise celle d'une étrange créature fantastique qui a une incroyable capacité de transformation et qui se prend d'obsession pour lui.
Inconscient de cette obsession, Ambroise tente de trouver sa place dans l'orchestre et dans la vie...

Premier volume d'un diptyque, j'ai retrouvé ici, avec plaisir, l'atmosphère et le style de Timothé le Boucher que j'adore.
En effet, le récit est dense mais pas trop bavard, qui laisse beaucoup de place aux non dits, aux jeux de regards, à l'expressivité des personnages.
J'ai également beaucoup aimé en apprendre plus sur les personnages auxquels je me suis accroché. D'ailleurs, ma lecture dans son entier a été très immersive, j'ai lu ce volume d'une traite.

Le rythme n'est pas particulièrement haletant mais une certaine tension est installée, bien présente avec le sentiment d'étrangeté qui tiens le lecteur tout aussi bien que s'il l'avait été.... jusqu' à la fin du volume qui donne envie d'en lire plus.
Mon seul petit bémol aura été l'impression elle-même de certaines pages que j'ai trouvé floue.

Bref, j'ai adoré et attends la suite avec impatience !

Comme à chaque fois avec Timoté le Boucher, préparez vous à être désarçonné. Dans ce roman graphique, qui constitue la première partie d'une série, nous découvrons le personnage d'Ambroise, un jeune harpiste. Ce dernier est l'objet de la convoitise d'une métamorphe qui n'hésitera devant rien pour arriver à ses fins.
Le scénario est d'une puissance inouïe, transportant le lecteur dans un univers étrange et envoûtant. Timothé le Boucher joue avec les perceptions de son personnage mais également avec celle de son lecteur. le scénario est complexe mais aussi terriblement prenant. J'ai lu cet énorme roman graphique d'une seule traite et je l'ai terminé le souffle court et complètement ébétée.
Esthétiquement parlant, j'ai reconnu le style de Timothé le Boucher d'un seul coup d'oeil. Les traits fins, les décors épurés et les couleurs très tranchées marquent la patte de l'illustrateur. J'aime toujours autant cet esprit graphique
Bref, 47 cordes est un thriller psychologique fascinant.
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Ah ce nouveau Timothé le Boucher ! On l'attend, on l'achète dès parution, on patiente un peu car on savoure le plaisir par anticipation et on plonge au coeur d'une nouvelle histoire en dévorant les pages d'une traite.
Ici, ce premier volume n'échappe pas à la règle : il se lit dans un seul souffle, captive du début à la fin et donne très fortement envie de lire le second tome dès la dernière page tournée.
Cette histoire d'amours, de métamorphoses, de folie et de démesure fait découvrir une nouvelle facette de l'art graphique de l'auteur et nous laisse totalement époustouflé par la gestion du suspense et de la mise en scène graphique. du grand Timothé le Boucher !
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Au plus le cursus de Timothé le Boucher se garnit, au plus ses albums en imposent. Primo par le contrôle des codes de la bande dessinées, secundo par la régularité et l'aplomb de ses scénarios. 47 Cordes est un livre aux prétentions profondes, une oeuvre foisonnant de défiances charnelles, d'acteurs bizarroïdes, un thriller hypnotique cérébral et paradoxal qui traite entre autre de la phobie et du rapport à l'autre.
Le scénario est mené de main de maitre, avec une tension qui vat crescendo, une histoire étrange, un jeu de charme et d'influence, aux multiples alternatives. Il vat falloir attendre le second tome, avant que l'intrigue ne se livre entièrement.
Graphiquement c'est élégant et sensuelle, le visuelle paraît très lisse, les émotions semblent sans âmes et les décors sans épaisseur, mais ces effets ne sont pas le fruit du hasard et on sent une grande maitrise dans le dessin.
Timothé le Boucher parvient à s'élever au registre des plus grands, il prouve encore une fois qu'il est un auteur sur qui il faut compter. Vivement recommandé !

Le fait qu'on avance presque toujours à travers les yeux du naïf Ambroise, en difficultés relationnelles et mal dans son corps fait que l'histoire avance lentement, les révélations sont distillées au compte goute. Ce n'est pas important, je n'ai pas vu passer ces 374 pages, je me suis laissé porter par le mouvement.
Cet univers des métamorphes est captivant, j'ai envie d'en savoir plus.

Encore une fois, quel chef d'oeuvre que nous offre ici Timothé le Boucher! Après l'incroyable « Ces jours qui disparaissent » (dont j'ai fait la chronique), j'avais vraiment hâte de découvrir sa nouvelle création et je n'ai pas du tout été déçue.

L'histoire est originale et nous pousse vraiment à la curiosité vis à vis de la relation qu'entretiennent Ambroise et Francesca. Ambroise est pleins de bonne volonté, souhaite s'améliorer à la harpe et veut à tout prix récolter les 47 cordes de l'instrument que lui propose la cantatrice. Mais les épreuves proposées par celle-ci ne seront pas toujours évidentes, ni même liées à la musique…

Réalisme et fantastique se mélangent pour donner un cocktail détonnant qui saura vous charmer à coup de dessins sublimes et de relations toxiques…

J'ai été transportée dans cet univers très sensuel, pleins de manipulations et de mystères. La volupté des corps, des décors, les façons d'agir, tout est fait pour plonger le lecteur dans une ambiance bien à part. Et c'est d'ailleurs ce qui pourrait lui porter préjudice auprès de certains : le côté charnel du livre peut déranger certaines personnes. Cela reste donc principalement un roman graphique pour un public adulte.

Je n'ai qu'une envie : que le tome 2 sorte afin de voir ce qu'il adviendra d'Ambroise et de ses aventures…

A mes yeux, si vous avez aimé « Ces jours qui disparaissent », foncez lire cette nouvelle pépite!
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Quel chef d'oeuvre !

Ce roman graphique est une vrai pépite.
Si j'ai été moins emballée par le graphisme il faut dire que l'histoire est captivante. Tout au long de ma lecture je me suis demandée ce qui amenait la métaphore à être aussi tenace envers Ambroise. Pourquoi le veut-elle tant ?
Si je n'ai pas eu la réponse à ma question, j'ai aimé suivre l'évolution de la relation entre la cantatrice et Ambroise.
L'ambiance malsaine et pesante bien que parfois dérangeante nous tient en haleine tout du long.
Un thriller psychologique totalement réussi.

J'ai hâte de lire la deuxième partie !

Que dire de plus ? La critique d'Erik est complète je ne peux rien y ajouter...
C'est un véritable chef d'oeuvre que cette bande dessinée de Thimothée le Boucher....Une métamorphe se joue d'un jeune harpiste et lui accorde une corde à sa harpe à condition que sa proie exhausse son voeu... Un bel exercice de manipulation psychologique, et en même temps un thriller dont la tension va crescendo... seul bémol, une certaine frustration de ne pouvoir lire la suite aussitôt ce premier tome lu...
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Timothé le Boucher revient en force, avec un nouveau titre encore plus dense que les précédents ! L'occasion pour lui de développer des personnages en profondeur et d'aborder des thèmes qui lui sont chers, et qui fonctionnent. Pour nous lecteurs, c'est une double dose de lecture et de plaisir, mais aussi une attente et un suspens encore plus insoutenables ! Car l'auteur sait jouer avec nos émotions. Il sait nous capter et nous absorber avec des thrillers psychologiques. Une nouvelle fois, il évoque la thématique de la personnalité avec un personnage métamorphe. Des pleines pages très réussies viennent ponctuer l'histoire. Timothé le Boucher réussit à nous proposer une première partie d'une histoire étrange, sensuelle, habilement menée, avec ce qu'il faut de suspens, tout en développant des personnages charismatiques et ambigus. Une véritable réussite ! Nous n'en pouvons déjà plus d'attendre le second tome.

La métamorphe amoureuse

Timothé le Boucher est un auteur qui ne cesse de nous impressionner au fil de ses publications tant il fait montre d'une grande maturité et d'un talent graphique saisissant.

Teinté de fantastique, son scénario s'avère tout à la fois audacieux, brillant et passionnant. Dès les premières pages, l'auteur parvient à captiver l'attention du lecteur alors que l'on découvre une étrange prédatrice prête à tout pour qu'un jeune homme solitaire et réservé lui cède corps et âme. le portrait du jeune homme va se compléter au fil des pages alors que la jeune femme se révèlera rapidement être une métamorphe à même de changer d'apparence à sa guise et jouant avec Ambroise comme un chat le ferait avec une souris pour connaître chacun de ses secrets et parvenir à le faire tomber dans sa toile.

A travers cet album sombrement poétique porté par un dessin élégant et sensuel et un découpage d'une grande précision, l'auteur interroge sur notre rapport aux autres et sur l'apparence qui conditionne nos comportements.

47 Cordes est indéniablement un petit bijou dont il nous tarde de découvrir la fin… D'autant que le cliffhanger laisse augurer de passionnants développement…
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