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Voilà un recueil de nouvelles de SFF assez varié ça, c'est certain ! En voyant la couverture je m'attendais à lire pas mal d'histoires de fantasy mais finalement c'est beaucoup de science-fiction et très peu de dragons (cf la couverture...).
Ça ne m'a pas dérangée j'aime lire les deux.

17 nouvelles parlant de sujets vraiment variés : on passe du clonage à la découverte d'une vie sur une planète, à la drogue, à des voyages, mais surtout à une réflexion sur l'Humain dans son ensemble.

C'est très bien écrit, aucun doute là-dessus, le seul bémol c'est que chaque nouvelle a un univers très travaillé et assez complexe, ce qui fait que parfois j'étais un peu perdue et j'étais assez frustrée de découvrir une histoire si courte dans laquelle j'avais du mal à tout saisir.
J'ai moyennement apprécié ce recueil finalement parce que j'ai parfois eu du mal à saisir le sens de certaines nouvelles. Il y en a une qui est ressortie du lot et qui ne ressemble à aucune autre c'est : Avril à Paris. Vraiment c'était un petit ovni dans le recueil et pourtant c'est celle que j'ai aimé le plus.

Je pense que si vous aimez l'auteure vous pouvez apprécier ce recueil mais de là à dire que c'est une bonne introduction pour son oeuvre ; pas du tout. En tout cas moi ça m'a paru trop nébuleux pour avoir envie de poursuivre l'aventure. C'est dommage.
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J'ai trouvé les premières nouvelles intéressantes mais pas exceptionnelles (comme le Guin l'avoue elle-même), puis à partir des nouvelles incluses dans le cycle de Terremer j'ai été subjuguée et mon enthousiasme n'est jamais retombé. On retrouve tous les thèmes chers à Le Guin : l'importance de bien nommer les choses, son amour pour les arbres, les questions sur les effets de la technologie. Chaque nouvelle est introduite par l'autrice, et j'aime presque autant sa manière de parler de son écriture que ses écrits. Elle se bat pour exister en tant que femme qui écrit de la SFFF, essaie d'échapper aux carcans de son époque tout en restant parfois cloisonnée par ses biais (sa résistance face à l'écriture inclusive se solde par une tentative de dire la non-binarité au goût d'inachevé par exemple).
C'est une immense écrivaine qui n'a pas peur d'avouer ses failles.
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J'ai franchement hésité à écrire cet article. Je ne trouvais rien de spécial à développer, et ce livre m'a beaucoup moins emballé que le reste de la blogosphère. Pourtant, Dieu sait que ça fait un bon bout de temps que j'aurais dû parler d'Ursula le Guin sur ce blog, pour sa contribution à la SF avec le cycle de l'Ekumen comme à la fantasy avec celui de Terremer. Et le dieu des articles à livrer a décidé qu'il y aurait encore un samedi cette semaine, c'est pourquoi me voici obligé pieds et poings liés de produire votre pitance hebdomadaire. Voici donc un recueil de 17 nouvelles écrites par la dame d'adamantium, avec en rouge celles appartenant à l'Ekumen, en bleu celles de Terremer, et en vert celles indépendantes.
[Et malheureusement comme y'a pas moyen taper du texte en couleurs sur Babelio, il faudra lire la suite de ma critique sur mon blog ! Je vous ai bien eus, bande de chanapans :P]
Lien : https://cestpourmaculture.wo..
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Habituellement, la SF explore le futur au travers des avancées des sciences dites « dures » : découvertes en physique, en technologie, en informatique, etc. Le Guin s'intéresse davantage aux sciences humaines, à savoir la sociologie et l'anthropologie. Plusieurs nouvelles sont des « psychomythes » : des histoires centrées sur les sentiments et la psychologie des personnages. Ils se placent dans des cadres futuristes qui répondent aux codes et abordent des thématiques propres à la SF, mais on se rend vite compte qu'ils ont en fait une portée universelle.
Par exemple, parler de la technologie du clonage permet de questionner à quel point nos relations sociales définissent notre identité dans Neuf existences. Ou raconter des missions d'exploration d'autres planètes est juste un cadre pour parler de l'utilité concrète de l'empathie dans Plus vaste qu'un empire, ou bien l'importance de nos sens (vue, ouïe) pour nous connecter aux autres et au spirituel dans le champ de vision.

L'auteure utilise brillamment les codes des genres littéraires pour orienter les attentes. Quand elle en change au milieu d'une nouvelle, d'un coup c'est toute la perception des enjeux qui se retrouve bousculée ! La grande quête de toute une vie caractéristique de la fantasy paraît insignifiante lorsqu'on bascule dans de la science-fiction à échelle d'une galaxie par exemple.

Les nouvelles explorent des univers super intéressants et ont des concepts forts. En découvrant ces univers, je comprends tout à fait que l'auteure ait eu envie de les développer en séries de romans les possibilités qu'ils offrent.

Plusieurs fois, les nouvelles évoquent la fascination pour des connaissances. Interdites, inconcevables ou n'intéressant que soi, cette soif d'apprendre qu'ont les personnages est bien souvent le moteur et l'enjeu de l'histoire. La Science permet aussi d'entrevoir des vérités vertigineuses.

J'ai beaucoup aimé la nouvelle "Ceux qui partent d'Omelas".

Les nouvelles ont été écrites sur une période de 11 ans. C'est intéressant de voir le style et les thématiques évoluer au fur et à mesure.
Plus les années passent et plus les histoires se permettent d'aborder des thèmes sombres (la folie, le sentiment de profonde solitude, ...) et engagés (critique de ce qui cause l'aliénation, l'inaction face à l'inacceptable, la description d'une utopie anarchiste, la révolution...).
On voit aussi des références très claires à sa propre vie au moment où elle écrit. Par exemple, Avril à Paris montre un personnage qui est chercheur en poésie médiévale. En retirant les histoires d'alchimie et en remplaçant « Villion » par « Ronsart », c'est exactement la situation de le Guin lorsqu'elle travaillait sur sa thèse. Quand elle nous parle directement en temps qu'auteure dans Ceux qui partent d'Omelas, c'est aussi une part de sa vie et de sa vision du monde qu'elle partage.
Et enfin, on retrouve de manière flagrante ce parallèle dans la toute dernière nouvelle, À la veille de la révolution, où une très vieille révolutionnaire anarchiste repense au passé, à ses combats et à tous ceux encore à mener...

Au final, c'est un petit recueil très sympa à lire ! Les univers sont foisonnants, les personnages diversifiés et vivants, les thèmes abordés super intéressants. Vraiment une très belle découverte.
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Aux douze vents du monde est un beau recueil de nouvelles pour qui veut découvrir l'auteur. Je n'avais jamais eu l'occasion de la lire même si plusieurs de ses livres sont dans mon pense-bête.

J'aime beaucoup les thèmes qu'elle aborde et sa façon de les traiter : l'hérésie dans Les maîtres, les clones dans Neuf existences, l'autisme et les facultés exceptionnelles dans Plus vaste qu'un empire. J'ai quand même un peu de mal avec le style, mais je pense que ça vient simplement du format "nouvelles", dont je ne suis pas fan. le style m'a un peu fait penser à Tanith Lee, dont le style me donnait également du fil à retordre.

Je me lancerai prochainement dans un autre Le Guin, pas un recueil, histoire de vraiment m'immerger dans une histoire de son cru, et voir si le style est vraiment un obstacle pour moi.
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Aux douze vents du monde
Ursula K. le Guin
traductions diverses révisées par Pierre-Paul Durastanti
Le livre de poche 2021

Ce recueil comprend 17 fictions courtes écrites de 1963 à 1974 – dont un prix Hugo et un prix Nebula –, la plupart en lien avec des romans ultérieurs, et présentées par Ursula le Guin elle-même. Suit une bibliographie d'Alain Sprauel, actualisée au printemps 2018.
Le collier de Semlé
Sur Fomalhaut II coexistent plusieurs espèces vivantes hautement évoluées dont les Angyars ou « Seigneurs », à peau foncée et cheveux blonds. Semlé appartient à cette ethnie, mais se désespère de devoir repriser toujours la même robe bleue alors que certains de ses sujets affichent leur richesse. Elle décide alors de retrouver un collier fabuleux appartenant à sa famille, mais perdu bien des générations avant la sienne. Dans cette nouvelle, on rencontre Rocannon, seigneur des étoiles, qui prendra toute sa dimension dans le premier roman d'Ursula : le Monde de Rocannon.
Avril à Paris
Dans une chambre de bonne avec vue sur Notre-Dame de Paris, un rituel magique initie la rencontre d'un alchimiste du Moyen-Âge, d'une anthropologue interstellaire, d'une esclave gauloise et d'un professeur américain du XXe siècle. Ah ! sans oublier la petite chienne perdue Jolie.
Les Maîtres
Comment un homme seul et nu dans l'obscurité, tenant une torche fumante censée représenter l'intelligence humaine, va abandonner ce qu'elle représente pour découvrir le concept du calcul, de l'algèbre, des mathématiques… mais dans un environnement totalement empreint d'obscurantisme.
La boîte d'ombre
Dans cette nouvelle inspirée par une réflexion enfantine, la « boîte d'ombre » rendue par la mer va brouiller les cartes d'un combat entre deux frères ennemis pour la possession de la cité de leur père, réputée imprenable.
Le mot de déliement
Cette nouvelle présage la fin du troisième roman de Terremer : le dernier rivage. On y voit Festin, un mage prisonnier d'un autre mage renégat, Voll, dont le nom s'est imposé à lui mais qui n'apparait jamais. Comment alors le combattre ?
La règle des noms
Monsieur Taupin est un petit magicien, plutôt inefficace qui vit dans une taupinière, sorte de caverne dont il a calfeutré l'entrée par un sort, efficace celui-là. Un jour aborde dans l'île Barbenoire, colporteur assez sûr de lui, qui pose beaucoup de questions. le cas Taupin (ce n'est pas son vrainom, bien entendu) semble beaucoup l'intéresser.
Le roi de Nivôse
Qui a lu La Main gauche de la nuit sait que les habitants de Nivôse n'ont pas de sexe défini, sauf lorsqu'ils entrent en kemma, période qui précède l'accouplement. Depuis l'émergence de la question du genre, on a parfois reproché à Ursula le Guin d'avoir utilisé le pronom personnel générique “il” pour désigner ces personnes en principe neutres. Ne pouvant se faire aux “iel” ou “ille”, elle décide, dans cette nouvelle de remplacer le “il” par “elle”. C'est donc l'histoire d'Argaven, roi de Nivôse, qui va faire preuve d'une grande sagesse pour déjouer un complot visant à faire d'elle un tyran.
Voyage
Cette nouvelle d'août 1970, traduite par Alain le Bussy, est parue en français dans le fanzine L'Aube enclavée N°4 du 2e trimestre 1972 que j'ai justement sous les yeux. À l'époque, elle a été rapprochée du mouvement cinématographique de la Nouvelle Vague qui se faisait le miroir de son temps. Elle raconte l'histoire d'un garçon qui recherche désespérément sa femme disparue, aidé en cela par un stimulateur de l'acuité sensorielle et cérébrale.
Neuf existences
Sur la planète Libra, des équipes de décaclones (dix clones issus de la même souche) sont utilisés pour l'exploitation des mines. Ils sont au top de leur potentiel et la décade forme un tout quasi autosuffisant. Mais qu'arrive t-il lorsqu'accidentellement l'un d'eux se retrouve seul ?
Les choses
Très belle nouvelle métaphorique qui exprime l'incomplétude des « choses » matérielles.
La forêt de l'oubli
Étrange dialogue entre « l'autre » et un homme qui a perdu son nom.
Plus vaste qu'un empire
Le Gum est parti de la Terre pour découvrir une planète lointaine et verdâtre baptisée Monde 4470, avec à son bord, une équipe de dix explorateurs à l'esprit plus ou moins dérangé. Et la cohabitation va se révéler très problématique.
Étoile des profondeurs
C'est l'histoire d'un astronome qui doit se réfugier dans une mine après que des soldats ont brûlé son observatoire. Et là, que découvre-t-il ?
« C'est une chose inimaginable, mais dans la nuit de l'espace règne la lumière : une orgie de lumière solaire. Je l'ai vu. Je l'ai vu nuit après nuit, et j'ai dressé la carte des étoiles, les phares de Dieu sur les rivages de la nuit. Et ici aussi, dans la mine, il y a de la lumière ! Nul lieu au monde n'est privé de la lumière, du bien-être et du rayonnement de l‘esprit créateur. Nul lieu au monde n'est proscrit, banni, abandonné. Nul n'est livré à la nuit. Là où s'est posé le regard de Dieu, la lumière brille. Il faut approfondir les choses. Il y a de la lumière pour qui veut la voir. Ce ne sont pas seulement nos yeux, mais nos mains, notre esprit, notre coeur, notre foi qui nous révèlent l'invisible et lèvent le voile du mystère. Et les ténèbres de la terre brillent comme une étoile dormante. »
Le champ de vision
Dans le cadre de la création d'une ville sous dôme sur Mars, la mission Psyché XIV, contrairement aux précédentes, n'est pas une réussite. À leur retour sur Terre, le commandant de bord est mort et les deux autres membres de l'équipage ont un comportement totalement aberrant. S'agit-il d'un virus martien ? d'une altération des fonctions cérébrales ? et dans cette hypothèse, quelle en serait la cause ?
Le Chêne et la mort
Et si notre perception du monde était fausse. Et si les objets inanimés augmentaient et rapetissaient autour de nous pour nous faire croire que nous nous déplaçons. Partir de cette hypothèse permet d'envisager les choses d'une manière pour le moins saisissante, surtout du point de vue du chêne.
« Voilà donc cinquante ou soixante ans que je m'érige en défenseur de l'Ordre Naturel et que j'entretiens les créatures humaines dans leur illusion d'aller quelque part. »
Ceux qui partent d'Omelas
En guise de variation sur le thème du bouc émissaire, déjà exploité par William James ou Dostoïevski dans Les Frères Karamazov, Ursula le Guin échaffaude une cité utopique dont le bonheur repose sur le malheur d'un seul, un enfant qui plus est !
À la veille de la révolution
Cette dernière nouvelle est en relation directe avec l'un des chefs-d'oeuvre de l'auteure : Les Dépossédés (Sur Anarres, les proscrits d'Urras ont édifié, il y a cent soixante-dix ans, une utopie concrète fondée sur la liberté absolue des personnes et la coopération. Ce n'est pas un paradis, car Anarres est un monde pauvre et dur. Mais cela fonctionne.) Elle se déroule juste avant le roman, alors qu'Odo est encore vivante :
«Odo, qui était Odo ? Une célèbre révolutionnaire qui avait écrit L'Analogie, Communauté, etc. Elle, qui était-elle ? Une vieille femme aux cheveux gris et au visage rougi, assise sur le perron poussiéreux d'un taudis et qui parlait toute seule.»
Ce recueil est idéal pour toute personne qui ne sait comment aborder l'oeuvre d'Ursula le Guin, écrivaine essentielle du XXe siècle, saluée par le National Book Award pour l'ensemble de sa carrière. CB
Chronique parue dans Gandahar 29 en septembre 2021
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J'ai surtout voulu lire « le Collier de Semlé »
parce que c'est un prologue à
la série des quatre livres composant « La Ligue de tous les mondes »
et aussi parce que
à part « La cité des illusions » et « Planète d'exil »
je ne peux pas mettre la main sur « le Monde de Rocannon ».
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Dix-sept nouvelles disséminées aux douze vents du monde depuis un des piliers de la littérature de l'imaginaire.
Dans ce recueil, introduit et commenté par Ursula K. le Guin elle-même, on voyage dix-sept fois, dans le temps, l'espace, les dimensions, la pensée... Préparez-vous à vous faire souffler !

J'ai adoré, sa vision du monde, et ce qu'est la littérature imaginaire pour elle: de l'intelligence, du recul, de la réflexion, de la critique et de l'auto-critique, de l'humour, et un grand amour pour la nature, un respect fondamental pour l'égalité des genres.

Toutes ces histoires ont un point commun : l'exploration du et des mondes, la relation à l'autre - qu'il soit de la même espèce ou non, la nature, la peur de ce qui nous dépasse, la censure, le progrès, la mort et la solitude.

Je n'avais jamais lue de livre de cette grande dame auparavant, et je me trouve chanceux, car un nouvel horizon s'ouvre a moi.

Un conseil, pour vraiment profiter de ces histoires et ce qu'elles apportent, lisez ce livre plutôt petit à petit pour bien en savourer les tenants et aboutissants et apprécier le décor.

Dernières chose, la traduction est juste parfaite !
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Ce recueil se compose de quelques textes relatifs aux deux cycles les plus réputés d'Ursula le Guin que sont L'Ekumen et Terremer. Il permet surtout de découvrir la plume de cette grande dame, une conteuse hors pair, qui parvient à captiver le lecteur quelque soit le registre choisi. Elle verse avec élégance et intelligence aussi bien dans la SF que dans la fantasy, même si les thématiques sont plus emblématiques et perceptibles dans le cas de la première.

Cependant, que ce soit sous l'apparence d'un conte, d'un récit de fantasy ou encore d'un texte « plus vecteur » comme la SF, Ursula glisse toujours des idées, et remet en question nos certitudes. Sa prédilection pour l'étude du coeur de l'homme est le fil rouge de ce recueil, autrement assez divers en dramaturgie, levier, ressort ou sous-genre, tandis que son attachement transparait systématiquement.

Cet ouvrage s'adresse ainsi à tous ceux qui souhaite se familiariser avec l'auteur sans s'investir directement dans un de ses cycles phares, aux lecteurs qui veulent approfondir la connaissance des textes et tous ceux qui sont sensibles à la chaleur d'une plume et la pertinence d'un propos.

critique bien plus complète sur mon blog
Lien : https://albdoblog.com/2019/0..
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Ursula K. le Guin figure tout en haut de mon Panthéon personnel des auteurs de SF/Fantasy. Cet ouvrage est un recueil de nouvelles, initialement paru en 1975. Il s'agit donc de textes écrits entre le début de sa carrière d'écrivaine et la parution de chefs d'oeuvre (La Main gauche de la nuit - Les Dépossédés notamment). Malheureusement cet assemblage de textes tombe dans le travers, il est vrai presque inévitable, d'être trop disparate. Tout n'a pas le même intérêt mais vaut quand même d'être connu. A noter que cette édition du Bélial est vraiment soignée avec en fin de volume une impressionnante bibliographie complète.
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