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3,6

sur 180 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Chef d’œuvre ? Non ! A lire ? Oui absolument.

Résumé en une phrase de mon sentiment sur ce premier tome multiprimé d'une trilogie annoncée.

L'ancillaire Un Esk 19, extension humaine de l'IA du Justice de Toren est la seule survivante de la destruction de son vaisseau. Évoluant sous la couverture d'un extérieur nommé Brecq. Son unique but désormais, la vengeance. Contre qui ? Pas moins qu'Annaander Mianaaï la chef suprême de la société du Radch, un empire plurimillénaire expansionniste complexe.

Un mix entre la Geste des princes-démons et la voie des furies de Weber. La vengeance, le meilleur des moteurs pour une histoire réussie.
Évacuons tout de suite les choses qui fâchent. En VO tous les membres du Radch sont she (elle en VF). Et l'on retrouve bien cette volonté de ne pas faire de distinction de sexe quand Brecq doit s'adresser à des membres extérieurs à la société Radch qui n'ont pas fait ce choix entre lui et elle. Est-ce que cette volonté féministe (?) de l'auteure fonctionne bien en VO où l'on peut finir par ne plus faire attention au sexe du personnage pour se concentrer sur sa fonction et/ou sa compétence ? Peut-être (je ne sais pas, je ne l'ai pas lu en VO). Par contre en français, on se retrouve avec un style assez désagréable à base de « nouvelle citoyen », « sa cousin », « quelqu'une » et j'ai bien passé les trois quart du roman à pester, non pas de mon ignorance du sexe du personnage, mais à pester parce que cela nuisait énormément à la fluidité du récit, je butais sur chaque phrase, ça accrochait mon cerveau peu habitué à lire ce qu'il considérait comme de détestables fautes d'accord. (Était-ce l'effet voulu par l'auteure ? Ou un bug de traduction où il aurait été beaucoup plus facile de tout coller au féminin et parler de citoyenne, cousine et quelqu'un (qu'il soit mâle ou femelle)) ? La question est posée.

La construction du roman se fait sur l'histoire de Brecq qui, vingt ans après, a trouvé les éléments de sa vengeance et va tenter de la mettre en œuvre, ponctué de nombreux flashback qui vont nous permettre de comprendre pourquoi le vaisseau a été détruit et d'aborder peu à peu la complexité de l'univers crée par l'auteure.
Même s'ils ne sont pas annoncés, ces flashback sont très digestes. On ne se perd pas dans des méandres temporels ; la compréhension et notre intérêt pour l'univers grandit peu à peu.
Même si ce premier tome manque réellement d'action et de rythme, au point qu'on pourrait le qualifier de mou (ce qui est un problème souvent récurent dans les trilogies), l'histoire est vraiment passionnante, l'univers original et détaillé (parfois trop ? Non, cela ajoute au charme du roman, notamment concernant la religion, les habitudes vestimentaires, la cérémonie du thé etc).

Bref : A lire, mais ne vous attendez pas à la révélation de l'année.
Lu et publié dans le cadre de l'opération Masse critique. Merci à Babelio et aux éditions J'ai lu, nouveaux millénaires.
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En Résumé : J'ai passé un très agréable moment de lecture avec ce premier tome de cette trilogie qui nous offre une histoire de vengeance efficace et entrainante, qui monte doucement en tension et a réussi à me happer de plus en plus au fil des pages. Certes un léger essoufflement se ressent dans le dernier tiers et certains dialogues paraissent un peu trop verbeux, mais rien de non plus bloquant. La grande originalité de l'univers vient de la fonction du genre qui se perd pour le radchaaï où le seul genre qui existe est le genre féminin, cela peut dérouter, mais qui, je trouve pourtant, offre quelque chose au récit dans notre approche des héros comme dans les réflexions que cela ouvre. le reste de l'univers se révèle certes classique, mais solide et efficace. Concernant les personnage le jeu sur les genres fait que j'ai pris un peu de temps à complètement m'accrocher à eux, mais une fois cette barrière tombée je me suis lié à eux et à leurs aventures avec plaisir. Je reprocherai juste certains protagonistes secondaires qui ne sont là que pour faire avancer l'intrigue. le principal soucis de ce livre, je pense, vient de sa liste de prix assez impressionnante, ce qui peut amener certaines attentes assez importantes, mais qui ne trouvent pas obligatoirement de réponse lors de la lecture. Alors attention ce livre est bon dans le genre Space-Opera militaire avec complots et trahisons, mais si vous cherchez la claque de l'année ou le roman original du moment vous risque peut-être d'être déçu. À vous de voir. La plume de l'auteur se révèle fluide, simple et efficace et je lirai sans soucis la suite de cette trilogie.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Dans sa quête incessante d'expansion, le Radch piétine tout sur son passage, y compris parfois ses propres forces. A 19 ans d'écart, nous suivons une ancillaire dans l'occupation d'une planète nouvellement annexée et les conséquences des évènements qu'elle y a vécu sur son présent.

Mon résumé n'est probablement pas très clair, mais je vous déconseille de lire la quatrième de couverture, qui dévoile des éléments qui ne sont amenés qu'une fois bien avancé-e-s dans le récit.

Ce roman a reçu de nombreux prix, ce qui me faisait un peu appréhender cette lecture, parce que je trouve que souvent les livres primés sont parfaitement ennuyeux ou carrément inaccessibles ^^ Je peux vous confirmer que ce n'est pas très facile d'accès, mais je ne regrette pas d'avoir pris le temps nécessaire pour me plonger dedans, ni la concentration que m'a demandé ce livre, parce que c'est un récit très original tant dans le fond que dans la forme.

L'histoire en elle-même relève de la SF pure, dans le genre space-opera à concept avec malgré tout pas mal d'action. Les premières 100-120 pages sont assez déroutantes, du fait qu'on ne sait pas trop ce que l'autrice essaie de nous raconter. Il est question d'un empire expansionniste dont la puissance se base en grande partie sur un système d'IA et la force guerrière qui en résulte. En parallèle, nous découvrons une société que l'autrice étudie à travers les évènements qu'elle nous raconte.

Le style est extrêmement original également et contribue à la difficulté du texte: le Radch est un empire où le genre en tant que construction sociale n'existe pas et où les personnes sont désignées par défaut par le féminin. Au début je butais beaucoup là-dessus: c'est difficile de se défaire de l'habitude de se référer aux personnages en fonction de leur genre, en particulier quand l'auteur ne leur attribue pas un neutre grammatical (comme le faisait par exemple Ian McDonald dans le Fleuve des Dieux, ce qui était déjà déstabilisant au premier abord). Finalement on s'habitue au fil de la lecture, même si le fait que certains mots soient au féminin et d'autres pas rend la chose assez complexe. J'imagine que le travail de traduction n'a pas dû être de la tarte!

Une très bonne lecture malgré ses difficultés, j'ai vraiment hâte de lire la suite 🙂 Par contre je ne recommande pas si vous n'êtes pas déjà aguerri-e en SF.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Pour se lancer dans cette lecture et être dans un état d'esprit qui permet de l'apprécier, il faut avoir conscience de certains partis pris qui peuvent braquer le lecteur : la traduction, l'action et le thé. Les traductions font souvent débats mais il m'a semblé que c'est particulièrement le cas de celle-ci. C'est lié au choix de l'autrice et aux contraintes de la langue française qui sont différentes de l'anglaise. 
Dans cette saga, on suit une civilisation conquérante, non genrée et par défaut on utilise le féminin pour parler des individus. L'anglais étant moins genré que le français, le traducteur a du faire un choix pour illustrer ce peuple. Il a choisi utiliser les pronoms féminins mais associés aux noms masculins ce qui donnerait la boulanger par exemple. La conséquence est que la lecture n'est pas fluide, il y a beaucoup de combinaisons saugrenues qui hache la lecture. J'avoue que j'aurais préféré aller au bout et mettre tout au féminin et c'est d'ailleurs ce que mon cerveau a fait fait d'instinct pour fluidifier la lecture.
Second point qui peut bloquer le lecture : la quasi absence d'action dans tout ce tome 1. Il ne se passe pas grand chose, on a une quête de vengeance mais on centre l'histoire sur la justification du pourquoi se venger. C'est très introductif, il ne se passe rien et pourtant il est impossible à lâcher.
La construction de l'univers et les réflexions sur les tenants et les aboutissements sont vraiment intéressantes. C'est rythmé même s'il n'y a pas spécialement d'actions. le rythme est régulièrement coupé par l'obsession de la pause thé. Ça peut énerver, moi ça m'a fait sourire mais c'est omniprésent.
C'est un très bon récit de vengeance avec un univers intéressant. J'ai particulièrement apprécié les interrogations linguistiques car qui dit conquête dit peuple différent et langue différente. Voir les réflexions sur comment adapté son système neutre quand on parle dans une autre langue, comment ne pas vexer un interlocuteur, ne pas se tromper de genre… c'est vraiment chouette.
Pour conclure, il a beaucoup été dit que d'autres romans traitaient mieux chaque choix fait par l'autrice. Oui chaque élément peut exister en mieux ailleurs mais le tout forme un roman original dont la combinaison globale fonctionne.
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Un roman original tant par l'histoire que par le style utilisé. J'avoue avoir lu ce livre en VO il y a quelques temps et avoir eu un peu de mal avec l'écriture. L'auteur a choisi de ne pas donner de genre à une partie de ses personnages et l'on passe donc constamment du masculin au féminin dans un savant mélange… plus facile à appréhender en français qu'en anglais ou le genre est indiqué généralement par le pronom et non par la féminisation du nom. Au départ cela m'avait gêné car cela ajoutait de la confusion et une certaine difficulté de compréhension (pour donner un exemple on parle de "La première inspecteur" ou de "La grande prêtre"). Excepté certains des principaux personnages que l'on considère féminins, pour le reste vous avez le choix du genre et j'avoue que c'est très déstabilisant. Si la VO compliquait un peu la compréhension, je trouve que la traduction n'est pas formidable non plus car cela alourdit le style de l'ensemble sans rien ajouter à l'histoire (exemple : c'était la cousin…).

Passé cette difficulté, j'avoue que l'histoire m'a beaucoup plu. On suit l'un des éléments composant le vaisseau Justice de Toren, qui quelques années auparavant, a réussi à échapper à la destruction. On parle d'éléments car ce ne sont pas des humains mais une partie à part entière du vaisseau, ce dernier étant une sorte d'IA connectée aux autres éléments du même genre, des sortes de marionnettes directement contrôlées par le Justice de Toren. Suite à un complot le condamnant à la destructon, l'IA de ce dernier va réussir à s'échapper en s'incarnant dans l'un des ancillaires qu'il dirigeait, va prendre son indépendance et mettre en place sa vengeance contre ceux qui ont donné l'ordre de sa destruction.

Les chapitres alternent son histoire et sa quête présente avec le récit des éléments déclencheurs de ce complot. C'est intelligemment construit et cela rythme particulièrement bien l'histoire qui alterne avec les deux époques. Les personnages sont assez troublants car bizarrement, la froideur de Breq au départ, volontaire pluisque Breq est l'IA du vaisseau, semble s'humaniser au fur et à mesure que l'on progresse dans le récit. Sa relation aux autres devient alors plus complexe et moins formatée, et donc moins attendue. J'ai aussi beaucoup aimé le monde construit par l'auteur et les problèmes soulevés par l'histoire : la religion, la place des êtres humains dans une société qui n'est plus vraiment faite pour eux, l'évolution de la technologie… C'est un bon premier tome qui donne vraiment envie d'en savoir plus sur ce monde et sur l'évolution des personnages. le récit peut sembler complexe et déstabilisant mais passé les premières pages on rentre très facilement dans l'histoire et l'ensemble est vraiment prenant. J'ai passé un très bon moment de lecture.

Je remercie Babelio et Les Editions J'ai Lu pour ce partenariat de lecture et je poursuivrai la série avec plaisir.
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Ca va être vite fait. le traducteur par-dessous la jambe a encore frappé. Après le désastre du Chant de feu et de glace charcuté par son traducteur, le n'importe quoi commence ici déjà avec le titre. Ancillaire en français signifie "qui se rapporte à la domesticité, à une servante - amours ancillaires "- et c'est tout !
En anglais, ce faux ami signifie auxiliaire, surtout pour un service ou une administration. C'est exactement ce que sont les détachement de l'IA, des auxiliaires. Et le reste est à l'avenant. Les conditions de travail et les paies des traducteurs sont-elles donc si médiocres qu'il faille se coltiner de plus en plus de traductions approximatives ?
Si vous le pouvez, lisez l'original : le style est simple, direct, et les ambiguïtés de genre bien plus légèrement amenées qu'en français, l'anglais étant déjà bien asexué.
Après la passionnante pentalogie de J.S. Corey (the expanse), la saga Harrigton de Weber, l'uchronie (1633) et la couronne des esclaves de E. Flint, la trilogie de A. Leckie se lit avec plaisir. Les space-opera anglais & américain se portent bien.
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Un livre passionnant dont le personnage principal est une ex intelligence artificielle qui décide de se rebeller contre l'entité qui l'a créée. Cette entité à la particularité de coexister dans une infinité de corps ce qui bien évidemment complique sérieusement les choses.
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Un début difficile pour se livre à cause du style sans genre (homme ou femme) sur les personnages et des incompréhensions sur des événements et des personnages qui rend un peu difficile la lecture. Mais au fur et à mesure de la lecture, on s'habitue au style et les incompréhensions se résolvent petit à petit. L'univers décrit par l'auteur est très riche, ca fait plaisir de lire un tel livre. En résumé, je recommande. Si vous avez quelques difficultés au début du livre, persévérez, vous prendrez de plus en plus de plaisir à le lire.
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En bref, ce livre a été une un plaisir à lire, je me suis vraiment attaché aux personnages et j'ai trouvé la situation très intéressante, mais j'ai été déçue que tout se finisse si vite.
Avis complet sur le blog.
Lien : http://delivreenlivres.blogs..
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Chronique datant de 2018 des 3 tomes des Chroniques du Radch : La justice de l'Ancillaire, L'épée de l'ancillaire, La Miséricorde de l'ancillaire.

Un space-opéra délicat et singulier

Cher imagineur, chère imagineuse, chers explorateurs de l'imaginaire, navigateurs et navigatrices des histoires, vous êtes un peu lassé, rêveuse, mélancolique. Vos dernières lectures ne vous ont pas assez fait voyager, vous n'avez pas entraperçu un rivage incertain dans la brume, vous ne vous êtes plus plongé dans un univers subtilement étrange depuis longtemps. Chère Alice, voilà trop de temps que vous n'êtes plus passée de l'autre côté du miroir. La rentrée vous a happée, un quotidien sympathique mais dénué de poésie ne vous laisse plus l'interstice de liberté après lequel toutes vos fibres soupirent.

Alors, poussez la porte de l'étrange empire du Radch.

Ce n'est pas un endroit fait pour les pragmatiques, ni pour les machistes. C'est un lieu où la distinction de genre n'existe plus. Plus personne ne s'inquiète de votre sexe, tout le monde est une « quelqu'une », en une oeuvre grammaticale de haute voltige : « sa cousin ». Les prénoms sont féminins, les noms peuvent rester masculins, comme un neutre étonnant. Ne vous fiez pas aux terminaisons féminines de la suite de cette chronique, j'ignore tout du sexe des protagonistes.

C'est un monde dont seules les habitantes, les radchaaïs, sont civilisées, « radchaaïe » et « civilisé » étant le même mot. C'est un monde où l'on boit du thé, à la japonaise, avec moult rituels et spiritualité. C'est un univers où l'on tire les augures, y compris chez les militaires et les politiques. C'est un monde où l'on porte des gants, où le contact direct des mains est intensément outrageant – ou érotique.

C'est un monde composé de milliers de mondes, un empire intergalactique immense, dominé depuis trois mille ans par l'unique et éternelle Annaander Mianaaï, dictateur immense et infinie, représentée par des milliers de clones sur tous les mondes conquis – annexés – et devenus depuis radchaaïs, civilisés. La force militaire est centrale. Les stations spatiales et les vaisseaux sont opérés par des IA. Et comme une IA peut investir de nombreux corps, une partie des habitantes des planètes annexées sont stockées pour servir de corps aux IA des vaisseaux et de troupes d'annexion. Ces corps, qui étaient des gens non radchaaïs et sont devenues des troupes, des appendices des IA, sont les ancillaires.

C'est un livre où rien n'est amené frontalement, où l'auteur tisse une histoire comme les peintres impressionnistes peignent leurs tableaux : par touches de couleur, en créant une oeuvre qui n'est compréhensible que lorsque l'on s'en éloigne, lorsque l'on recule de quelques pas pour apprécier un ensemble, un sens. Lecteurs, lectrices, vous n'êtes pas radchaaï. Vous n'êtes pas civilisées. Alors soyez patients, laissez faire Ann Leckie, laissez-vous imprégner par les coutumes radchaaï, laissez infuser les étrangetés. Vous voyagerez bien plus loin avec ces quelques touches de délicatesse et ces trames de lenteur qu'avec certains romans plus rapides et frontaux !

Brecq en est le personnage principal. C'est un ancillaire, et le dernier réceptacle d'un vaisseau, le Justice de Toren, détruit bien avant le début de la trilogie, suite à une machination politique unique en son genre. le vaisseau n'existe plus, tous ses ancillaires n'existent plus, il n'en reste qu'un, Breq. Et Breq/Justice de Toren est animé par un but : tuer Annaander Mianaaï.

Je ne vais pas vous mentir, ces romans sont loin de faire l'unanimité, malgré la pluie de prix remportés par le premier, notamment de par leur style et les partis-pris (non)grammaticaux. Moi, je les apprécie beaucoup – de façon légèrement anticipée, puisque je finis de lire le 2e tome à l'instant où j'écris ceci.

[Ajout tardif après avoir fini la trilogie] Autant le premier tome vaut bien son 4/5, autant les deux autres s'endorment quelque peu sur les acquis de premier et souffrent d'une boursouflure de pages : deux tomes auraient probablement suffi. Ce serait donc plutôt un 3,5/5 ! Cela m'amène quelques réflexions sur les trilogies dans les littératures de l'imaginaire, dont je vous ferai sans doute part quand j'aurai mûri ma réflexion (= quand l'aurai lu encore plein de trilogies de 3000 pages !)
Lien : https://lesmecaniquesimagina..
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