On regrettera plus tard

Je suis bien embêtée après la lecture de ce livre. J'ai beaucoup aimé les précédents livres d'Agnès Ledig mais celui-ci...bof bof. déjà je n'aime pas du tout aimé le personnage de Valentine. de plus l'histoire est trop "impensable.." par exemple:. une petite fille qui est invitée chez une autre au bout de 2 jours d école.... une femme qui déteste un homme qui est d'une froideur extrême qui le rejoint la nuit en petite tenue dans son lit... je n'ai pas trop non plus accroché à l'histoire du collègue de travail qui est bien gentil mais je ne trouve pas l'histoire très intéressante au milieu de tout ça. Je note 3 sur 5 car le flashback sur l'histoire de la grand-mère de l'héroïne m'a beaucoup touché et le comportement de ce jeune garçon qui l'a sauvée également on retrouve cependant la belle plume d'Agnès Ledig avec ses belles descriptions et sa façon d'exposer les éléments de la vie.

Un soir d'orage un inconnu vient frapper à la porte de Valentine. le toit de la roulotte dans laquelle il vit n'a pas survecue aux intempéries et sa fille de 8 ans est malade. Il a besoin d'aide. Une rencontre inattendue qui peut bien venir chambouler de quotidien et les certitudes de tout le monde.
C'est le premier roman que je lis d'Agnès Ledig. S'il n'y a pas de grande surprise quant à l'issue de l'histoire, la lecture est facile et plutôt agréable. Ça ne sera pas le roman de l'année, mais j'ai passé un bon moment.

Découverte d'Agnès ledig pour ma part avec ce roman. Un début d'histoire assez simple, qui se lit facilement dû aux chapitres courts et au style d'écriture. On bascule entre passé et présent qui finissent par relier les deux histoires. Les protagonistes sont attachants, ayant chacun leurs fêlures, essayant de se reconstruire. C'est doux, agréable à lire, l'amitié entre Valentine et Gael est très forte et touchante. L'histoire se termine sur une fin ouverte qui nous laisse imaginer la suite prévisible. Je suis tout de même curieuse de connaître l'évolution de la relation entre Valentine et Éric dans "de tes nouvelles".

Un joli petit roman sur la vie. On suit Valentine, Eric et Anna-Nina, trois personnages qui vont apprendre à vivre ensemble. C'est mignon, mais j'avoue que ça ne m'a pas transporté plus que ça. J'ai l'impression que c'est un peu du déjà vu. L'écriture est très fluide et les personnages plutôt attachants. 

J'ai écouté ce roman en audio le soir pour m'endormir et j'ai mis beaucoup de temps à le terminer. Je ne sais pas si j'aurais eu la même expérience de lecture en version papier. Dans l'ensemble, je l'ai bien aimé mais je m'attendais à mieux. Ce qui m'a plu, c'est la construction de l'histoire avec des narrateurs différents. le ton est juste, et le côté "feel-good" réussi. Mais la fin m'a un peu déçue. Je la trouve un peu abrupte. Un roman pour la détente.

Facile à lire
Agréable à lire
Un bon moment.

Dimanche 13 juin 2010. Par un soir d'orage, on sonne à la porte de Valentine, une institutrice qui vit en rase campagne. Lorsqu'elle ouvre la porte armée d'une poêle à frire, elle se trouve face à un homme et sa petite fille totalement trempés.

Anna-Nina est malade, brûlante de fièvre et Eric, son père lui apprend que le toit de leur roulotte est endommagé par la tempête et qu'il cherche un abri pour la nuit. Valentine appelle le médecin et propose sa chambre d'amis aux deux voyageurs.

L'homme est taiseux mais peu à peu dévoile leur histoire : père et fille vivent dans leur roulotte depuis la naissance de la petite qui n'est pas scolarisée.

Très vite, des liens étroits vont se nouer entre eux, mais chacun doit faire face à de vieux démons surgis d'un passé douloureux et surtout deux mondes se télescopent. Valentine ne comprend pas cette vie de nomade qu'elle estime nuisible pour l'enfant tandis qu'Eric refuse de vivre à nouveau la vie de monsieur tout le monde.

En parallèle, on suit le destin de Suzanne et d'un jeune garçon de 14 ans en 1944 pendant la seconde guerre mondiale.

Comme tout le monde, j'ai découvert Agnès Ledig avec son plus grand succès à ce jour Juste avant le bonheur mais contrairement à beaucoup de lectrices, ce fut loin d'un être coup de coeur pour moi, j'avais beaucoup aimé le personnage de l'enfant Lulu et son destin tragique m'avait ému aux larmes mais le reste de l'histoire ne m'avait pas semblé crédible.

J'ai donc préféré On regrettera plus tard dont l'histoire est plus crédible même si elle est très prévisible et qui s'éloigne du registre lacrymal pour aborder des thèmes intéressants comme la psycho généalogie, notre rapport à la consommation, nos modes de culture et nous vante de vivre l'instant présent et le courage à travers ses deux personnages principaux : courage d'aimer, courage de continuer à vivre, d'avancer….

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Eric est veuf. Il vit avec sa fille Anna-Nina âgée de sept , qu'il élève seule depuis sa naissance. Père et fille seuls sur les routes, avec une roulotte et deux chevaux. Mais, un soir d'orage violent, la nécessité le pousse à frapper à la porte d'une maison isolée, dans un petit village d'Alsace. La porte de la maison de Valentine, une solitaire.
Une rencontra peut parfois tout bouleverser. Quel avenir va se dessiner pour ces deux bousculés de la vie ?
Une plume tout en tendresse qui explore les chemins du coeur. Un clin d'oeil à l'histoire donne plus de profondeur, ajoutant un contexte familial lourd.

Valentine institutrice, vit seule dans un petit village des Vosges. Un soir d'orage Eric frappe à sa porte. Sa petite fille Nina a beaucoup de fièvre et le toit de leur roulotte a été saccagé par une chute d'arbre pendant l'orage. Petit à petit on découvre leur existence, leur passé. Un passé qui les empêche d'avancer sereinement dans la vie. A côté de Valentine il y a son collègue et ami Gaël. Leur amitié est tellement belle qu'on les envie. Il y a aussi Gustave voisin bienveillant, silencieux et présent. L'histoire se passe en 2010. Mais on découvre aussi Suzanne, son histoire vient s'intercaler, elle commence en mars 1944, elle est interrogée à la kommandantur. Avec habilité et doigté, l'auteure nous fait entrer dans leurs histoires et tissent les liens qui les relient. Se sont de beaux portraits d'hommes et de femmes vrais droits et bons comme Agnès LEDIG sait les peindre.

Clairement pas ce que j'attendais. Ce livre était vraiment prometteur pour moi, mais je n'ai pas su m'attacher aux personnages et encore moins à Valentine. Pourtant, elle a un mode de vie proche de celui que je souhaite vivre, malgré ça son caractère, ses décisions tout au long de l'histoire n'ont fait que m'écarter un peu plus. Éric et sa fille étaient plus touchants, en un sens, mais j'ai trouvé qu'ils étaient assez enfermés dans leur personnage et qu'il n'y avait pas vraiment d'évolution, réelle, possible. de plus, les différentes directions prises en cours de route ne m'ont pas plu et ce n'est vraiment que pour l'histoire des années 40 que je restais, intriguée par le personnage de Suzanne, mais tout cela pour être déçue par la finalité des choses. C'est la première fois que je découvrais Agnès Ledig et si j'ai trouvé la plume agréable, l'histoire m'a simplement laissé de côté.