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3,8

sur 1356 notes
Un super-ordinateur chargé de détecter le génie chez des enfants trouve une similiude chez sept d'entre eux, alors qu'ils ne se connaissent pas. le responsable du programme informatique les réunit, mais ils sont victimes d'une agression, et mettent leur génie au service du mal. Un bon roman, au style parfois trop haché, aux idées à la limite du fantastique, et toujours mystérieux.
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Première incartade dans l univers de M. LENTERUC ... dont nous avons pu parler avec ma Kiné qui l a rencontré... et nous avons convenu ensemble que dans cet univers violent, ces oeuvres étaient de celles qu'on a bien du mal à lâcher.

Totalement amoral, surprenant, mais alors addictif. Je me suis surprise à marcher dans la rue le nez dans le livre pour ne pas remettre la suite des aventures de ces sept génies.

Je voulais savoir l issue car dès le début on n imagine que ce sera quitte ou double et la force de LENTERIC est de nous rappeler combien rien ne peut être ni tout blanc ni tout noir ... même la fin d un roman.

La fondation Killian a investi dans un programme informatique de détection de génies en herbe, programme confié à Jimbo Farrar informaticien de haut vol mi homme mi enfant. Il est le créateur de Fozzy un ordinateur surpuissant doté d une partie de la personnalité de Farrar et qui parle en imitant les grands acteurs américains.

Un jour Fozzy détecte 7 enfants qui simultanément ont adressé une ligne de Traits et de points ... 7 enfants de 5 ans... 7 enfants dans des états américains différents, de milieux différents qui ne se connaissent pas.
Seul Jimbo perçoit le génie mais aussi le danger. Il décrypte le code mais décide de tout effacer tout en s attachant à eux. Chaque année il s arrange pour croiser leur regard et leur insuffler l idée qu ils ne sont pas seuls. Ils sont 7.

10 ans plus tard, la fondation les réunit avec 23 autres enfants surdoués à Harvard. La première nuit où ils se rencontrent et découvrent le bonheur de ne plus être seuls, leur première nuit ensemble tourne au drame et le danger n est plus que supposé il est déjà en route.

J ai plus qu apprécié cette lecture que je vous recommande vivement si vous aimez les chasses à l homme, un peu de violence même si peu de description (ce n est pas du Thilliez qu on lit), des sentiments ambigus, douter, et les fins qui sont amorales mais presque rassurantes.
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"Tu vas voir, c'est un classique. Tu vas adorer." Ma collègue en fait parfois trop et ça me joue des tours.
Alors oui je comprends que ce soit une lecture scolaire: le poids de la technologie (datée mais technologie tout de même), le harcèlement, la différence. Je me suis aussi dit que la prochaine fois que je verrais une lueur de fierté briller dans les yeux de parents me disant "Mon fils est HP", je lui balancerai le roman à la figure. Lenteric fait aussi monter le suspense et nous tient en haleine (ce roman est parfait pour un aller-retour en train) même si soyons honnête la fin que l'on espérait plus sombre fait pssscht.
Mais, surtout, ce roman a mal vieilli passons la technologie mais les clichés sociaux, l'humour poussif, je m'en serais bien passé. du coup même si j'ai apprécié le lire, je ne ressors pas délirante d'enthousiasme pour le récit ou même pour la plume.
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L'intrigue, l'ambiance et les personnages sont intéressants et bien construits. La tension est là, mais ne vous attendez pas à de l'hémoglobine : ici, on a affaire à un thriller purement psychologique, un vrai duel de cerveaux. Malgré le décor un peu vieillot qui nous rappelle que ce livre date un peu, le récit n'en perd pas son intérêt et mérite d'être lu. Parce que c'est une lecture qui change, et parce qu'elle peut, je pense, marquer certains lecteurs. Pour ma part, ça a été un bon divertissement, même si le coup de coeur n'est pas là et que j'ai finalement eu un rapport assez froid et objectif avec les personnages.
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je pense qu'on pourrait comparer Bernard Lentéric à Michael Chrichton. Ce roman repose sur une intrigue très bien huilée jouant des codes du thriller et intégrant de nombreux éléments high tech. L'inconvénient de ce genre de procédé est que l'évolution technologique finit toujours par rendre complètement obsolète les éléments les plus innovateurs. Il faut alors que l'intrigue soirt suffisamment prenante pour que le livre reste lisible.
Par exemple je me rappelle de cette scène de Bullit au cours de laquelle Steve McQueen attend fébrilement que le téléscripteur crache le portrait du suspect, ligne après ligne après ligne après ligne après ligne après ligne...
Plus près de nous, j'avais été frappé de voir à quel point Stephen King me semblait "dépassé" du point de vue technologique dans Mr Mercedes. Aussi bien construit que soit son intrigue, il faisait traîner en longueur l'explication du "comment diable Mr Mercedes a pû s'emparer de l'arme de son premier massacre" , Je ne trouvais même pas la question de plus petit intérêt tant la solution semble évidente.
Dans cette nuit des enfants-rois, il est beaucoup question d'ordinateurs, de bandes magnétiques, de piratage informatique d'ordinateur grâce à des télétype et des téléphones à touches... on ne parlait même pas encore d'internet et de modem. Autant dire que certains passages prêtent franchement à sourire tant l'informatique de 1981 est balbutiante. Heureusement que l'intrigue est réussie. Un vaste proghramme est mis en place pour détecter des enfants surdoués. L'informaticien en charge découvre qu'au sein des enfants identifiés par ce programme se trouvent 7 enfants différents, aux capacités telles qu'il faut les protéger autant des autres que d'eux-mêmes. le côté thriller est bien amené malgré un manque de psychologie. Bernard Lentéric privilégie clairement l'efficacité à la subtilité. le résultat reste plaisant plresque 40 ans plus tard.
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J'ai beaucoup aimé ce livre, qui tient plus d'un mysticisme autour de la perception de l'intelligence que de vrais génies.

On assiste à la découverte d'une poignée jeunes "génies" qui sont plus ou moins capable d'une certaine sorte de élépathie. Il grandissent et ne deviennent pas de grands gentils génies, contrairement à ce que tout le monde avait cru. Et c'est la partie que j'ai bien aimé dans l'histoire. On fait ici face à des ados, et comme ils sont super-ultra intelligent (de manière plus fantastique que réaliste, certes) personne ne doute de leur bonnes intention, on leur laisse des passes-droits et on leur fait globalement confiance. Pourtant, ils sont sujet aux même vices que beaucoup de gens, dont la mégalomanie. On va donc les voir exploité cette part d'ombre, jouer avec le mal et se moquer des règles, légale ou humaines. L'amitié mystique de ses ados en perdition avec leur "coach" ajoute pour moi beaucoup au roman.

La cruauté des adoledcents à leur capacité à blesser ceux qui les entoure est un thème que je trouve interessant et rarement exploité, et c'est ce qui m'a fait aimer ce roman.
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EN QUELQUES MOTS : Il m'a fallu un Baby Challenge de l'année passée pour que je découvre cette lecture et je n'en suis pas peu fier... La Nuit des Enfants Rois raconte l'histoire de sept adolescents surdoués qui se sentent bafoués par la société et décident de se retourner contre elle, s'enfermant dans une spirale de folie meurtrière. Bizarrement, j'ai plus été attiré par le personnage de Jimbo que par ceux des petits génies (peu approfondis pour ma part). La plume de Bernard Lenteric est fluide, inventive et maîtrisée. L'intrigue, qui est très bien construite, s'immerge dans un climat fantastique dépassant l'imagination pure, le rythme effréné tient le lecteur en haleine de A à Z, le récit est digne d'un film hollywoodien (adaptation cinématographique sortie !), les rebondissements sont plus spectaculaires les uns que les autres, etc. Un savant mélange que nous propose l'auteur ! Par contre, dois-je encore vous dire mille choses pour que vous lisiez ce roman culte ? En parlant de l'adaptation cinématographique, c'est une animation produite par Warner Bros.
Lien : http://bibliodekorto.blogspo..
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Un bon roman prenant et rapide à lire, mi fantastique mi policier, que j'ai lu trop jeune, vers douze ans, et qui m'a fasciné, choqué et traumatisé en même temps. Il faudra que je retente une lecture avec trente ans de plus... Mais j'ai encore trop de scènes en mémoire...
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Ce roman m'avait beaucoup plu il y a 35 ans. Mais aujourd'hui, sa relecture me laisse un petit goût de déception. Il a plutôt mal vieilli et cela se comprend facilement. L'ordinateur qui partage la vedette avec Jimbo, héros de ce livre, me semblait alors extraordinaire. Il est aujourd'hui complètement ringard. du coup, une bonne partie de l'histoire tombe un peu à plat. Il n'en reste pas moins que l'idée de départ est excellente et que l'écriture est fluide, facile à lire et que ça reste malgré tout un bon roman. Les personnages sont bien typés et le suspens maintenu. Beaucoup de pointes d'humour viennent rendre cette lecture plutôt agréable.
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J'ai, peut être, déjà lu cet auteur par le passé, mais en garde aucun souvenir, j'ai trouvé ce livre dans une boite à livre, le résumé m'a bien plu ; c'est le genre de roman que je dévoré à un époque ; cette lecture ( ou relecture) m'a passionné ; j'y ai fait le rapprochement avec " des fleurs pour Algernon", l'intelligence entraine t'elle de la violence? car c'est le coeur du sujet ; on est intrigué par le comportement de ses enfants surdouées, on ne sait pas trop qu'elle est le rôle de Jimbo dans les vol et meurtres, c'est le créateur du programme "petit génie" créé à partir de ordinateur, Fozzy qui ressence les jeune génie dès l'âge de 5 ans; ils sont 30, mais parmi ces 30, il y en a 7 qui font qu'un avec Jimbo comme rassembleur...
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