J'ai apprécié découvrir ou redécouvrir la vie de ces pionniers dans un ouvrage avec une couverture super attirante et des illustrations très colorées. L'ouvrage se lit très rapidement, et un deuxième tome ne serait pas de refus ! Il y a autant de femmes que d'hommes, et dans des domaines variés : un ingénieur, une peintre, un couturier, une femme de lettres, un inventeur, une primatologue, un mathématicien, une médecin, un astronaute et une pédagogue.
Le portrait le plus étonnant, pour moi, est celui de Srinivasa Ramanujan, mathématicien indien qui a écrit des formules qui ne sont pas encore toutes comprises aujourd'hui.
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Au lieu de fonder l'enseignement sur l'autorité et la discipline, voire les châtiments corporels, qui étaient encore très fréquents, elle préfère miser sur la liberté et le respect de l'enfant. C'est un changement complet de vision, une nouvelle manière de voir l'éducation. [...]
Elle considère qu'un enfant doit utiliser toutes ses ressources mentales et physiques pour grandir de manière équilibrée. Cela veut dire qu'il doit bouger, se déplacer et manipuler des objets solides pour comprendre et mûrir. Pour Maria, apprendre avec le corps est essentiel. Elle observe aussi que l'imagination est un point d'appui extraordinaire pour grandir.
Tout est nouveau : matériaux, techniques, organisation du chantier... Le projet initial n'est pas de lui mais de ses collaborateurs Maurice Koechlin et Emile Nouguier. Néanmoins, une fois l'idée approuvée, Eiffel en devient le défenseur acharné. Et il a assez d'expérience pour comprendre que le projet est révolutionnaire.
Et en même temps, il peint, sculpte, grave, dessine sans relâche. Mais il termine peu d'oeuvres, sans cesse attiré par de nouveaux projets, de nouvelles techniques.
Seulement voilà, les brahmanes ne peuvent pas sortir d'Inde.