Héritière du siècle des " lumières ", et surtout de Jean-Jacques Rousseau, Julie de Vietinghoff, baronne de Krüdener, aborda le seuil du XIXe siècle avec une sensibilité toute romantique. Sa passion des lettres et son amour pour la France l'incitèrent à écrire en notre langue des " Pensées et Maximes " (1802) et un roman, " Valérie " (1803), qui se situe entre " René " et " Corinne ". Elle fut l'amie de Bernardin de Saint-Pierre, Mme de Staël, Chateaubriand, Benjami...
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