Le Pape, devenu souverain temporel, ne fut jamais, même aux heures les plus glorieuses de ses victoires ou de son faste, qu'un assez petit souverain. De tout temps, il eut à compter avec les autres souverains, plus légers d'obligations morales, plus avides de gains immédiats et positifs, et surtout lorsqu'il lui fallut, dans les temps modernes, se maintenir parmi les grandes monarchies nationales ou fédérales issues du Moyen Âge finissant, il dut avoir recours à cet...
>Voir plus