Avec une vertigineuse maîtrise narrative,
le mardi de la forêt plonge dans l'inconscient d'un village, ses rumeurs, sa vénalité et surtout son incapacité à accepter la moindre différence. Ce premier roman de AndreasMaier est un caricature grinçante, d'une sourde violence. Il nous révèle pourtant, dans une prose dense, le portrait d'hommes égarés dans leur ratiocinations.