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4,11

sur 365 notes
Mon premier de cet auteur et certainement pas le dernier.
J ai bcp apprécié ma lecture, c est fluide, on l avale comme un rien. Je pensais avoir deviner le fin mot de l histoire alors qu il n en était rien, j ai été mené en bateau et c est très agréable.
Petit bémol qui empêche le 5/5, j aurais aimé avoir plus d'en xplications à la fin sur des informations données dans le roman mais bon pas grave non plus...
un très bon livre
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Un bouquin qui pourrait etre superbement adapté au cinema tant il fourmille d'idées. le perso principal de Mc Kenna, très humain se révèle très attachant et l'intrigue, plutôt prévisible (mais qui offre quand même quelques surprises) nous tient finalement en haleine grâce aux qualités d'écriture de Manzor qui offre un récit ultra-rythmé et sans temps mort. Un vrai plaisir de lecture.
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Attention : gros coup de coeur!!
Je découvre René Manzor avec son second roman et franchement c'est une grande claque!

Avec "Celui dont le nom n'est plus" vous êtes plongé au coeur d'un polar palpitant : des personnes sont assassinées de manières rituelles afin de leur prélever certains organes et leurs meurtriers sont les personnes qui les aiment le plus!
Vont se croiser dans cette enquête trois personnes aux passés bien lourds : un flic bourru de New Scotland Yard au caractère bien trempé, une criminologue du FBI spécialisée en meurtres rituels et mythologies comparées, et un avocat chargé de défendre les "éventreurs". Tout les sépare au début mais leurs destins seront peu à peu inexorablement liés.

L'auteur nous plonge immédiatement au plus profond de l'intrigue et ne nous lâchera plus jusqu'à la dernière page!
Son style est incisif, direct. Pas de temps mort inutiles, vous suivez l'enquête avec les flics, vous frissonnez avec eux, vous êtes shooté à l'adrénaline avec eux!
Une fois que vous avez entamé la lecture, impossible de l'abandonner! Plus d'une fois j'ai dû laisser le livre de côté pour continuer les travaux dans la maison et, à chaque fois que je passais devant ce bouquin, il me regardait et me lançait des "lis-moi lis-moi!!!" déchirant que je repoussais douloureusement avec beaucoup de difficultés!
Voici pour moi ce qu'est un vrai page turner!

Cette histoire m'a de suite fait penser à un film du genre "thriller" ou à un excellent épisode d'une série policière anglaise du genre "Broadchurch" mais bien speedé. La tension y monte crescendo jusqu'à un final bien percutant.
Alors oui, les personnages auraient pu être plus développés, leurs psychologie plus fouillée, l'intrigue est peut-être un peu trop balisée et on sent parfois venir les événements... mais merde quoi! ne boudons pas notre plaisir! En prime, la fin m'a offert une vraie surprise, genre une révélation qui m'a réellement laissé bouche bée! C'est tellement rare.

Les thèmes abordés sont multiples : la mort et la manière dont chacun aborde le deuil; l'ésotérisme et les cultes antiques de la vie après la mort; l'hypnose comme manipulation mentale. Autant de sujets que Manzor aborde de manière scientifique, sans être barbant, après de solides recherches, cela se sent.

Les meurtres sont effectivement bien sanglants et les images qu'on en retire sont dignes de films d'horreur de Clive Barker ou de David Cronenberg. Mais, contrairement à Maxime Chattam, les descriptions ne sont jamais dérangeantes, ou gratuites comme parfois chez Graham Masterton : elles sont là pour illustrer, pour expliquer le pourquoi du comportement du tueur.

Et pour une fois dans un thriller, le mobile de toutes ces atrocités n'est pas la vengeance, la haine ou la jalousie. Non, ici c'est l'Amour (avec un "A" taille XXL!!) tout simplement qui guide les actes de l'assassin... j'ai trouvé ça tellement romantique! (je sais, j'ai un coeur d'artichaut!)

Verdict : une vraie réussite à mes yeux!
Bravo et encore merci Monsieur Manzor.

Note : 9/10
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Celui dont le nom n'est plus est un excellent thriller. Je l'ai fort apprécié car il traite un thème qui me touche beaucoup : le trafic d'organe. Enfin… En apparence car l'on va de surprises en surprise tout au long du livre.

René Manzor nous englobe très facilement dans un univers glauque sans être morbide, il réussit à nous toucher en disséminant les victimes d'éventration, et il nous entraîne dans une histoire folle où le mot à redouter est l'hypnose.

Je connaissais l'auteur uniquement côté cinéma, avec le Passage et Un amour de sorcière, 2 films que j'ai beaucoup aimés. Alors, découvrir qu'il avait déjà écrit un livre et que celui-ci était son deuxième, je me suis ruée dessus. Et j'ai totalement adhéré à son écriture, à son style, à son histoire, au dénouement… Au livre entier. J'ai déjà lu plus horrible comme descriptions, mais j'ai préféré ses approches, plus subtiles même si elles restent parfois sanglantes.

Dahlia et Nils furent les deux personnages qui m'ont le plus touchée. Ce sont deux écorchés de la vie et on aimerait qu'ils réussissent à prendre leur revanche.

Et ce qui a terminé ma lecture en beauté, c'est le dénouement… Roman à apprécier pleinement ! N'hésitez pas à tenter !

A noter : une carte de donneur d'organes à découper et remplir sur la dernière page du roman broché. Initiative qui a ma considération ! Même si ma carte de donneur est sur moi depuis une dizaine d'années déjà..
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Une nouvelle fois, je remercie très chaleureusement Benoît et les éditions Kero de m'avoir fait découvrir un autre de leurs super romans.

Cette fois, c'est un style un peu différent : un thriller, un vrai. Un de ceux qui me font tourner les pages à une vitesse folle pour savoir le fin mot de l'histoire et découvrir l'effroyable vérité. J'ai été accaparée par le texte dès les premières lignes. Il faut dire que le style est particulièrement agréable : direct, et franc. Tout ce que j'aime.

Quant à l'histoire, elle est saisissante. Je rassure ceux qui ont pu grimacer à la lecture de ce résumé, non ce n'est pas sanglant ou gore. Ce roman ne vous procurera pas de visions d'horreur dans la mesure où l'auteur s'est abstenu de nous faire part des descriptions. Et on l'en remercie, car on ne s'imagine que trop bien ce que cela aurait pu donner ! En même temps, ce type de descriptions n'auraient pas eu lieu d'être, car c'est l'enquête qui, de toute façon, accapare notre attention. L'enquête et le trio de personnages qui tentent de la résoudre.

Ce trio était tout à fait sympathique. Dahlia, profileuse américaine, porte dans sa chair l'horreur de son enfance ; Nils, avocat, se remet petit à petit d'une opération salvatrice ; et McKenna tente tant bien que mal d'élever seul ses quatre enfants après la mort de sa femme. Ces trois personnages ont une histoire déchirante, et une personnalité qui leur est propre, et ceci est vraiment très appréciable. Surtout que l'auteur a su utiliser ces éléments au bénéfice de l'enquête afin de nous en faire voir de toutes les couleurs, et nous faire frissonner un bon nombre de fois !

Par contre, pour ce qui est du mystère de l'enquête j'ai eu la grande joie de résoudre le problème vers le milieu du livre ! Disons que l'orientation de l'histoire m'a tout de suite fait penser à une solution possible, et tout concordait, de plus en plus, jusqu'à la fin, où j'ai pu confirmer ce que j'avais redouté. Mais ce n'est pas un point négatif, car j'adore avoir raison, et l'auteur a traité le sujet avec beaucoup de brio. J'attends maintenant de voir qui parmi vous aura le courage d'affronter Celui dont le Nom n'est plus et résoudre cette énigme vraiment captivante !
Lien : https://mes-reves-eveilles.b..
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Moins aimé que "À vif" mais l'écriture de l'écrivain est très agréable on rentre vite dans le sujet . Une bonne intrigue . Je n'aime pas les polars action d'habitude, mais j'avoue avoir trouvé bien celui-ci grâce à l'intrigue, même si on découvre rapidement une partie de celle-ci, et grâces aux personnages principaux auxquels je me suis attachée dès le début.
En résumé une bonne lecture.
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Ce roman de René Manzor, je le gardais bien au chaud dans ma PAL, comme un bonbon que l'on sait avoir, dans son placard et que l'on garde pour les temps difficiles… Finalement, pas de temps difficiles, juste une famille en or, qui a fait 100 kilomètres pour aller me faire dédicacer son dernier opus, Apocryphe, et me le glisser au pied du sapin! Alors, d'allégresse, je me suis laissée aller à déguster mon bonbon : Celui dont le nom n'est plus. Pour la peine, d'ailleurs, je vais aussi vous spammer avec une chronique sur Dans les Brumes du Mal et sur Les âmes rivales dans les semaines qui viennent… Il n'y a aucune raison pour que vous y coupiez, et ce sera tellement agréable pour moi de vous en parler!

le titre de ce roman est énigmatique, « Celui dont le nom n'est plus », et nous sommes une fois de plus face à des crimes sordides mêlant cruauté humaine (ou désespoir?) et religion, mythes et croyances. Au petit matin, des corps sont retrouvés, éventrés, vidés de leurs organes. L'éventreur est toujours déconcertant de douceur, oiseau inoffensif ayant becqueté – et ingéré- le Mal… Dahlia Rhymes est dépêchée pour aider Scotland Yard à résoudre ces crimes insolubles d'éventreurs mi-coupables mi-victimes, et, aidée de l'inspecteur Mc Kenna et de l'avocat Nils Blake, l'équipe cherche à trouver un sens à l'inexplicable.

Autant le dire tout de suite : quel bonheur de retrouver Dalhia! C'est un de mes personnages favoris. Elle m'avait déjà conquise Dans les Brumes du mal, et ce que j'ai particulièrement apprécié ici, c'est son évolution. Bien entendu, son savoir sur les mythes et les croyances restent absolument époustouflant et la distance qu'elle met entre elle et les êtres reste sa marque de fabrique. Mais dans ce roman, sa carapace se fissure, l'humain apparaît… et cela la rend encore plus attachante qu'elle ne l'était. Je crois que j'ai un coup de coeur absolu pour cette femme, malmenée par la vie (et par son créateur! Les lecteurs des autres opus verront le jeu de mot, je laisse le soin aux novices de le découvrir…) plus qu'aucune autre. J'ai déjà hâte de la retrouver.

L'enquête menée ici est très différente des autres : le profil des criminels d'abord, le mode opératoire, ensuite, mais surtout nous arrivons – comme les inspecteurs – assez vite à trouver un suspect tangible. Cela aurait pu gâcher le livre, beaucoup de lecteurs préfèrent découvrir le criminel dans un twist final savoureux, mais en fait, ce montage littéraire impose un autre tempo et met en avant d'autres aspects essentiels à la narration. L'humain, le cheminement, trouver des raisons à l'impensable, trouver du sens à l'inconcevable. En plus de cela, cette structure a l'avantage de démarquer ce tome de Dans les Brumes du Mal , que j'ai lu d'abord, bien que ce ne soit pas le premier, et de lui conférer son originalité propre.

Très vite donc l'enquête tourne plus autour du brio du criminel, véritable anguille qu'il va falloir réussir à saisir et à garder, mais aussi autour de la manière de sauver les dernières victimes tout en trouvant la cause de cette boucherie. D'ailleurs, le mobile est particulièrement creusé, recherché et travaillé, et cela donne toute sa profondeur à ce triller. Non seulement nous avons le récit de crimes terribles à élucider – ce qui en soi est savoureux- mais nous avons aussi une plongée dans l'âme humaine, lorsque la souffrance touche aux croyances, lorsque l'esprit n'a d'autre choix pour survivre que d'imaginer l'impensable. Ainsi, le bourreau imaginé par René Manzor est en réalité d'une humanité folle et nous touche malgré nous. Figure humaine désespérée, génie du Mal et de l'Amour, personne en détresse aussi bien que les éventreurs ou que nos enquêteurs.

Nous touchons du doigt un autre aspect qui me plaît beaucoup dans les romans de René Manzor : chaque être a des fêlures, qui finalement entrent plus ou moins en écho avec celles du lecteur. Pas de héros parfait, pas d'enquêteur sans peur et sans reproche, juste des êtres humains avec leurs forces et leurs faiblesses qui se débattent face à une vie et un destin bien souvent injuste et cruel. Mc Kenna illustre particulièrement bien cela. le twist final concernant le criminel a été déplacé et a concerné un autre personnage, et pour être honnête avec vous, les révélations m'ont prise à la gorge et m'ont serré le coeur, marque d'une chute réussie! Chapeau bas. Quelle belle manière de retravailler le thriller, en jouant avec ses codes tout en conservant le bonheur du lecteur en ligne de mire!

de la plume, je ne dirai pas grand chose, hormis que je l'ai retrouvé avec bonheur. Mélange de fluidité et d'érudition avec Dalhia, elle est parfaite pour moi, et les pages filent et défilent sans que je ne m'en rende compte. J'arrive toujours bien trop tôt au mot « fin », mais jamais déçue.

Je ne sais pas vraiment s'il est nécessaire de le dire après cette chronique que d'aucuns trouveront trop dithyrambique, mais Celui dont le nom n'est plus est un coup de coeur, comme je m'y attendais, et ni l'attente ni les espoirs placés entre ses pages n'ont réussi à en gâter la saveur particulière. L'humain, le sens de la nuance, le rythme, l'originalité et l'art de la chute, tout y est.
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René Manzor est un scénariste et réalisateur. Il a travaillé en France et aux Etats-Unis principalement. On retrouve dans ce second roman ses compétences de scénaristes avec une intrigue parfaitement ficelée et un message fort.

J'ai tout de suite adhéré au style de l'auteur ainsi qu'à ses personnages. Ils sont un peu clichés et typiques des romans policiers mais ils se fondent parfaitement dans le décor et l'histoire. Et puis, le mode opératoire des tueurs est novateur ! L'idée est brillante mais je ne peux pas vous en dire plus.

J'ai beaucoup aimé le message de l'auteur en fin de roman dans lequel il parle de greffe d'organes. A l'intérieur du livre, une carte de donneur est à découper si vous le souhaitez. J'ai déjà la mienne alors je n'y ai pas touché 🙂

Ce second roman est mon premier de l'auteur mais certainement pas le dernier ! J'ai eu beaucoup de mal à le lâcher tellement c'est addictif et prenant ! Une belle découverte et de futurs achats sur un prochain salon !
Lien : https://www.loeildeluciole.c..
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" Puissent ces sacrifices apaiser l'âme de Celui dont le nom n'est plus." Voilà le message laissé sur plusieurs scènes de crime. Derrière ses crimes, des victimes sans aucun lien, et différents assassins que rien ne relient non plus. Les seules choses communes entre ces meurtres : ce fameux message, la mise en scène religieuse faîte autour des cadavres, l'absence de leurs organes, ainsi que l'amnésie des bourreaux qui ont tué l'être qu'ils aimaient le plus au monde...

Des meurtres bien étranges, et c'est le commissaire McKenna travaillant à Scotland Yard, ainsi que le docteur Dahlia Rhymes, criminologue du FBI envoyé sur place à la demande de l'ambassadeur américain, qui vont devoir comprendre qui est derrière tout ça, et pourquoi. Ils vont pouvoir compter aussi sur l'aide d'un avocat, Nils Blake.

Ce qui m'a passionné plus que l'histoire, ce sont les personnages, l'auteur les a très bien construit, je n'ai pu que m'attacher à eux, avec leur force, mais surtout leur faiblesse. McKenna a perdu un être cher ; Dahlia doit faire face aux fantômes de son enfance ; Nils Blake doit apprendre à vivre avec quelque chose de nouveau pour lui. Trois personnages très fort, ils ne pourront que retenir votre attention.

Quant à l'histoire, elle très bien ficelée, j'étais bien loin de m'imaginer ce qui se cache derrière ses meurtres. Entre rîtes religieux d'aujourd'hui et de temps plus ancien, ésotérisme et médecine, nos enquêteurs sont menés par des chemins de traverses. Car c'est bien le commanditaire de tout ça, qui arrive à emmener les personnes là où il le souhaite. Nos enquêteurs en sont bien conscient, et si eux aussi été manipulés ?

Ce que je peux reprocher à ce roman, c'est de ne pas avoir été embarquée dans une frénésie de recherche et de révélation dès les premières pages. D'un côté cela ne me dérange pas, je pense que sinon je n'aurais pas été aussi attaché aux personnages. Cette frénésie que j'aime retrouver dans les thrillers, se trouve en tournant les pages, plus vous les tournerez, plus vous vous sentirez emporté par l'intrigue, pour atteindre une apothéose vers la fin du roman.
Lien : https://leslecturesdecristy...
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René Manzor, réalisateur et scénariste à la base, écrivain à ses heures, signe avec ce roman intitulé « Celui dont le nom n'est plus » un thriller parfait, sensationnel, dont je ne suis pas prête d'oublier le nom !

J'ai trouvé l'intrigue proposée par l'auteur plus qu'originale et tout à fait passionnante.

Londres est secouée par une série de meurtres atroces. La scène de crime est à chaque fois la même : un cadavre dépouillé de ses organes, une mise en scène suivant le rite funéraire de la religion pratiquée par la victime et cette étrange signature en lettres de sang « Puissent ces sacrifices apaiser l'âme de Celui dont le nom n'est plus. »
Les assassins, n'ayant de prime abord rien en commun et ne se connaissant pas, présentent cependant un comportement similaire : ils ne nient aucunement avoir perpétré le meurtre de la personne qu'ils chérissaient le plus au monde mais ne parviennent pas à se rappeler l'avoir commis.
Et que deviennent les organes prélevés ? Dans quel but le sont-ils ? Servent-ils à alimenter un trafique?
C'est face à une véritable épidémie d'homicides que doit faire face le Détective Chief Inspecteur McKenna, vieux roublard de Scotland Yard et la jeune criminologue américaine Dahlia Rhymes.

René Manzor ne ménage pas ses personnages à qui la vie n'a pas fait de cadeaux !
McKenna, sous ses apparences bourrues et ses fréquentes crises de colère, se voue corps et âme à son travail pour tenter d'échapper à un épouvantable drame personnel l'ayant marqué à jamais au fer rouge.
Dahlia quant à elle, s'est forgée une carapace totalement hermétique au moindre sentiment affectif, douloureux héritage d'une enfance humiliante et traumatisante. Son périple londonien mettra cependant ses certitudes à rude épreuve. Est-elle prête à aimer à nouveau ?
Et tous ces meurtriers qui s'apparentent plus à des victimes qu'à de sanguinaires assassins ? Comment vivre avec le fardeau de la mort d'un être proche que l'on a tué de ses propres mains ? Sont-ils coupables ou de simples pantins à la merci d'un psychopathe agissant dans l'ombre ?

Entre compassion, impuissance, tristesse, horreur et malaise, l'auteur ne ménage pas non plus ses lecteurs qu'il entraine à toute allure aux fil des pages qui défilent à une vitesse affolante tant il est primordial, sinon vital, de connaître la suite de cette enquête aux frontières de la conscience et de la volonté humaine.

« Celui dont le nom n'est plus » est un thriller captivant, noir à souhait, et un véritable coup de coeur !
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