Il a fallu que je me creuse les méninges pour arriver à pondre un résumé cohérent de ce roman. En fait, je crois, cela raconte le quotidien d'une propriétaire d'un aréna après la mort accidentelle d'un être cher (le Mort) dont le coupable n'a pas été condamné à cause de sa notoriété (le Chanteur) et qui vit une séparation (d'avec Merle (sic))
Malheureusement, ce n'est pas parce qu'on est capable de décliner sur trois pages, en changeant les mots mais sans en approfondir le sens, un état d'âme, une sensation, une situation, qu'on fait un bon roman. Ce livre relève plus de la liste d'épicerie que d'un récit. L'ennui éprouvé à la lecture de ce texte s'est doublé de plus d'un grincement de dent devant l'utilisation maladroite des mots Mort et Chanteur (avec des majuscules) pour essayer de nous faire deviner l'origine de la profonde dépression dont semble souffrir le personnage principal du roman. Si ce n'avait été une lecture "obligée" dans le cadre d'un club des premiers romans, je l'aurais abandonnée dès les premières pages.
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