À la lumière du petit matin

Un plaisir de retrouver la plume d'Agnès Martin Lugand qui m'a une fois de plus transporté en Provence avec de très belles descriptions.

J'ai beaucoup aimé trouver l'univers de la danse au coeur de cette histoire et l'auteure a bien travaillé le sujet. Concernant les personnages, hélas, je n'ai pas eu de coup de coeur. J'ai apprécié Sandro, mais il est vraiment en second plan. Hortense m'a énervé à plusieurs reprise. J'avais envie de lui hurler « Ouvres les yeux et quitte le ».

Au final, la « belle romance » commence très tardivement et cela a un goût de trop peu pour moi. J'aurais aimé quelques chapitres supplémentaires pour suivre la nouvelle vie d'Hortense.

En bref, ce dernier roman a été une lecture agréable, mais je regrette que l'histoire avec Aymeric dure aussi longtemps. le « après » aurait été plus captivant à mes yeux. Je laisse voguer mon imagination…

J'ai passé un bon moment dans le coeur et l'esprit d'Hortense. Ses questionnements, la quarantaine arrivée, même s'ils sont différents des miens, trouvent quand même un écho pour la partie : qu'ai-je fait de ma vie jusqu'à présent et que vais-je en faire à présent ?
Facile à lire, avec des personnages fragiles et attachants, une lecture détente, agréable pour moi.
Merci

Mon avis est un peu mitigé.
L'histoire traîne un peu en longueur et on en devine la fin assez rapidement.
J'ai quand même apprécié le comportement de l'héroine^et m'y suis attachée
Il ne faut pas passer à coté de la vie pour sa passion .

Même si l'intrigue est un peu convenue, Agnès Martin Lugand nous raconte une belle histoire d'amour , de reconstruction.
Les personnage sont attachants . J'avoue ,j'ai eu un petit ( gros) faible pour Elias ;)
En plus, la plume est toujours aussi agréable à lire et la couverture magnifique .
Mais il m'a manqué un petit quelque chose pour que ce soit un coup de coeur peut être parce que j'ai été interrompu par un coup de téléphone alors qu'il ne me restait que trois pages à lire !

J'ai découvert Agnès Martin Lugand avec les gens heureux que j'avais adoré. Depuis je lis chacun de ses livres... et je suis addicte ! Je me laisse totalement porter par ses personnages ! Ici, l’intrigue se passe entre Paris, que j’adore et le Luberon, où habite mon frère. Je suis donc touchée par ces lieux et par leur histoire. Un bon moment de lecture ! Merci 😉

C'est avec beaucoup de plaisir que je me suis procurée le dernier roman d'AGNES MARTIN-LUGAND, j'ai retrouvé son écriture fluide avec une trame qui tient les lecteurs en haleine même si l'on parvient à deviner l'épilogue.
Les personnages sont toujours attachants. Je reste une inconditionnelle de cette auteure.

Quel bonheur de retrouver la plume d'Agnès Martin-Lugand et comme pour chacun de ses romans, je n'ai pu lâcher ma lecture avant la fin! Dans « A la lumière du petit matin », Agnès Martin-Lugand met en avant une femme, une femme forte qui maitrise sa vie, du moins en apparence. Hortense, son personnage, est amoureuse d'un homme marié et comme l'affirme Blaise Pascal, « la coeur a ses raisons que la raison ne connaît point ». Cette relation n'est pas idéale pour Hortense mais elle aime Aymeric, l'attend, se fait belle pour lui, lui fait plaisir, vit cet amour clandestinement.
Hortense est la preuve que l'amour ne se contrôle pas, tombe sur soi comme ça… Comme pour ses précédents romans, l'auteure parle de l'amour: amour charnelle, amour familiale, amour amicale, amour d'une passion. Elle parle aussi d'un sujet douloureux qui est la mort et pour Hortense, c'est la mort tragique de ses parents, parents qui sont pour elle, comme pour moi, son pilier… Agnès Martin-Lugand aborde ce sujet avec délicatesse et sensibilité tout comme l'histoire d'amour d'Hortense avec cet homme marié, amour qui est là, réel mais qui ne peut se vivre au grand jour… Comme il est difficile d'aimer dans ces conditions… On se sent bien seule alors qu'on est aimée par l'autre… On se doit d'être disponible quand l'autre l'est… On ne peut qu'attendre des nouvelles… Cet amour peut amener à s'oublier… Grâce (ou à cause, tout dépend du point de vue de chacun) à un malheureux accident, Hortense va se « réveiller » et à ce moment là, il est question de remise en question, de s'interroger sur ce que l'on veut de sa vie, des questions qui bousculent, qui peuvent être douloureuses mais qui sont nécessaires pour avancer et enfin prendre soin de soi et construire sa vie. Et il n'est jamais trop tard pour ça et c'est souvent le destin qui peut nous forcer à s'interroger sur soi, un coup du sort mais qu'il faut être capable d'entendre et d'agir dans le bon sens!! Et quelle belle place à l'amitié que fait l'auteure tout au cours de son roman!
Lien : https://unbrindesyboulette.w..

Bon le moins qu'on puisse dire c'est que c'est un livre qui ne nécessite pas une grande concentration ! On peut même le lire tout en regardant une série sur netflix, faire son drive ou appeler sa grand-mère pour lui souhaiter un joyeux anniversaire sans être perdu !!

Je ne vais pas dire que la lecture a été désagréable, je l'ai même terminé mais il est certain que ce n'est pas palpitant. Des personnages clichés, Hortense la superbe danseuse qui a une relation avec un homme marié. Évidemment un bel apollon au charisme incroyable. Mais Hortense, suite à un accident se pose des questions. Pendant 250 pages on tourne donc en boucle dans la tête d'Hortense qui se pose encore et toujours les mêmes questions jusqu'à ce qu'un mystérieux inconnu fasse irruption dans sa vie par hasard. Et il se trouve que ce bel inconnu est lui aussi torturé et se pose des questions !

Bref, rien de bien passionnant...

Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu un roman d'Agnès Martin-Lugand, et j'étais plus que ravie de retrouver sa plume que j'apprécie énormément.

Encore une fois, l'auteure a ce don pour nous transmettre les émotions de ses personnages. On plonge dans sa bulle, on ressent chaque mot, chaque phrase.

A la lumière du petit matin, c'est prendre conscience qu'un seul événement peut remettre en question toute votre vie.

Est-ce que j'aime ce que je fais ? Ce que je vis ? Est ce que je vis pour moi? Ou plus pour les autres ? Suis-je toujours moi-même?

On parlera de danse, de passion, d'amour décalé, mais ce que je retiendrais le plus, sera une Hortense qui va continuellement se chercher. Elle va vivre des moments de souffrance, de déni, mais son évolution est intéressante.

Agnès Martin-Lugand nous livre une histoire qui semble encore bien réaliste, comme à son habitude.
Ma vie ne ressemble en rien à celle d'Hortense, et c'est peut-être pour cela que cet opus de l'auteure ne sera pas mon préféré mais j'ai tout de même apprécié les messages laissés parce que qu'importe nos vies, nous passerons toujours par une période de remise en question qui pourrait s'accorder à ce récit.

"Peut-on être heureux quand on se ment à soi-même ?"

A l'approche de la quarantaine, Hortense se partage entre son métier de professeur de danse et sa liaison avec un homme marié. Elle se dit heureuse, pourtant elle devient spectatrice de sa vie et est peu à peu gagnée par un indicible vague à l'âme qu'elle refuse d'affronter.
Jusqu'au jour où le destin la fait trébucher... Mais ce coup du sort n'est il pas l'occasion de raviver la flamme intérieure qu'elle avait laissée s'éteindre ?

Un des pouvoirs de la littérature est de vous emmener ailleurs, loin de votre quotidien. Au fil des pages, j'ai voyagé entre Paris et la Provence, j'ai senti la grisaille et le doux parfum du soleil et des oliviers.
Je suis entrée dans l'intimité d'Hortense, dans sa salle de danse, dans ses pensées les plus profondes. Je l'ai aussi comprise coincée dans une relation amoureuse sans issue, entre ses sentiments et sa conscience.

C'est un coup de coeur car l'auteure à l'art à la manière de sublimer les histoires, de nous plonger dans les secrets et les tourments des personnages. J'ai eu beaucoup de mal à laisser partir Hortense et pourtant j'étais si émue de la tournure que prend son histoire.

Je n'en dirais pas plus pour les personnes souhaitant découvrir ce livre, mais je l'ai terminé les larmes aux yeux tant j'ai été touchée et emportée.